Les mouvements littéraires du 19eme siecle
La littérature française du XIXe siècle se trouve dans une période définie par deux dates: 1799, lorsque le coup d’Etat qui a établi le Consulat de Bonaparte et est une manière de mettre fin à la période révolutionnaire, et en 1899, lorsque la résolution des tensions de l’affaire Dreyfus et la menace du boulanger et, enfin, où les valeurs appropriées de la Troisième République. La modernité littéraire s’affirme dans ce siècle de l’histoire mouvementée avec des courants importants qui affectent les arts, tels que le romantisme, réalisme, naturalisme et symbolisme. Les créateurs de la plus importante, cependant, au-delà d’une étiquette étroites et proposer des œuvres multiples et encore près de nous, en particulier dans le domaine de la poésie (avec Lamartine, Vigny, Musset, Hugo, Baudelaire, Rimbaud, Verlaine, Mallarmé …) tant dans le domaine du roman (avec Stendhal, Balzac, Dumas, Hugo, Flaubert, Zola, Maupassant, Verne …) et dans une moindre mesure dans le théâtre avec le drame romantique et ses partisans (avec Musset, Hugo, Edmond Rostand …).
Siècle, Rich fonctionne toujours proche de nous, la littérature du dix-neuvième siècle, le français demeure un âge d’or de la poésie et le roman, avec de nombreux chefs-d’œuvre qui laissent percevoir, au-delà des courants littéraires réussir, les concepteurs de fortes personnalités artistiques.
Contexte
L’Âge des Révolutions (Restauration – Juillet Révolution de 1830 et 1848 – la Commune de Paris en 1871) se déploie dans les différents systèmes politiques (Premier Empire – Monarchie restaurée Ancien Régime – la monarchie constitutionnelle – de courte durée Deuxième République – Second Empire – III République) qui cherchent pour répondre (ou s’opposer) les nouvelles aspirations démocratiques et de la transformation économique qui s’accélère l’industrialisation, la colonisation et les conflits entre les puissances européennes.
Les changements dans la société sont tous extrêmement important pour le long siècle de l’éducation publique telle, qui est devenu général et qui, accompagné par le progrès scientifique et technique remarquable, participe à l’évolution des mentalités. L’aristocratie et l’Église perdent progressivement leurs positions de pouvoir et d’une société laïque déplacé à la fin du siècle a également marqué par le poids croissant de la bourgeoisie et la classe ouvrière contre l’autre. La République avait besoin pour mettre fin à toutes les lois sociales et de voter, tout en organisant les conquêtes coloniales et la préparation de vengeance contre l’Allemagne.Le compte des auteurs de ces changements dans leur travail et en partie d’entre eux pratiquent dans les camps politiques, progressistes (tels que Lamartine, Hugo et Zola) ou parfois réactionnaires comme Maurice Barrès et Léon Daudet (Le siècle Stupide XIXe). Ils se réunissent souvent, cependant, pour exalter la figure de l’auto de l’artiste contre le matérialisme bourgeois et vulgaire, en créant le mythe de l’artiste bohème et rejeté notamment illustré sur la figure du peintre ou du poète du cursed.While la grande majorité des auteurs de la XVIIe siècle ont été les courtisans à la recherche de mécènes et protecteurs, ce siècle est emblématique d’une nouvelle éthique de la vérité (contre la morale religieuse sous la Restauration et la morale bourgeoise qui règne dans le second Empire) par l’écrivain, a exprimé à l’origine par Voltaire, composé de l’autonomisation progressive par rapport aux pouvoirs (politiques, religieux). Cette éthique se construit à travers la lutte pour la liberté d’expression et l’avènement d’un régime de liberté de la presse avec une plus grande responsabilité en tant que corollaire de ces écrivains dont les pouvoirs qu’ils veulent maintenant répondre de leurs œuvres: ce siècle est marqué par essai littéraire et d’emprisonnement dont l’auteur (comme Flaubert, Paul-Louis Courier, Pierre-Jean de Béranger) fait une réclamation à la renommée.
Dans les arts, la France, à côté d’un néo-classicisme et académique officielle (parfois jusqu’à l’art pompier), on trouve les grandes tendances esthétiques du siècle comme le romantisme avec Delacroix et Berlioz, et plus tard, Courbet et le réalisme, à la même période dans la musique de Gounod et Bizet. Dans les dernières années du Second Empire gagne progressivement l’impressionnisme qui peuvent être liées Manet, Monet et Renoir, pour ne citer les plus grands. La fin du siècle est plus diversifiée, avec des mouvements comme le pointillisme ou groupe de figures telles que Nabis, Cézanne, Gauguin et Van Gogh, Rodin ou le sculpteur, tandis que Gabriel Fauré, Camille Saint-Saëns et Claude Debussy dominent la composition musicale française .
Pour un panorama littéraire du siècle dernier nous nous référons à la littérature française du XVIIIe siècle.
Contexte
L’Âge des Révolutions (Restauration – Juillet Révolution de 1830 et 1848 – la Commune de Paris en 1871) se déploie dans les différents systèmes politiques (Premier Empire – Monarchie restaurée Ancien Régime – la monarchie constitutionnelle – de courte durée Deuxième République – Second Empire – III République) qui cherchent pour répondre (ou s’opposer) les nouvelles aspirations démocratiques et de la transformation économique qui s’accélère l’industrialisation, la colonisation et les conflits entre les puissances européennes.
Les changements dans la société sont tous extrêmement important pour le long siècle de l’éducation publique telle, qui est devenu général et qui, accompagné par le progrès scientifique et technique remarquable, participe à l’évolution des mentalités. L’aristocratie et l’Église perdent progressivement leurs positions de pouvoir et d’une société laïque déplacé à la fin du siècle a également marqué par le poids croissant de la bourgeoisie et la classe ouvrière contre chaque république other.The nécessaires pour mettre fin à toutes les lois sociales et de voter en organisant les conquêtes coloniales et la préparation de vengeance contre l’Allemagne. Le compte des auteurs de ces changements dans leur travail et en partie d’entre eux pratiquent dans les camps politiques, progressistes (tels que Lamartine, Hugo et Zola) ou parfois réactionnaires comme Maurice Barrès et Léon Daudet (Le siècle Stupide XIXe). Ils se réunissent souvent, cependant, pour exalter la figure de l’auto de l’artiste contre le matérialisme bourgeois et vulgaire, en créant le mythe de l’artiste bohème et rejeté notamment la figure illustrée du peintre ou du poète maudit.Alors que la grande majorité des écrivains du XVIIe siècle ont été les courtisans à la recherche de mécènes et protecteurs, ce siècle est emblématique d’une nouvelle éthique de la vérité (contre la morale religieuse sous la Restauration et la morale bourgeoise qui règne dans le second Empire) par l’écrivain , exprimée à l’origine par Voltaire, composé de l’autonomisation progressive par rapport aux pouvoirs (politiques, religieux). Cette éthique se construit à travers la lutte pour la liberté d’expression et l’avènement d’un régime de liberté de la presse avec une plus grande responsabilité comme un corollaire de ces écrivains dont les pouvoirs qu’ils veulent maintenant répondre de leurs œuvres: ce siècle est marqué par des essais littéraires et l’emprisonnement dont l’auteur (comme Flaubert, Paul-Louis Courier, Pierre-Jean de Béranger) fait une réclamation à la renommée.
Dans les arts, la France, à côté d’un néo-classicisme et académique officielle (parfois jusqu’à l’art pompier), on trouve les grandes tendances esthétiques du siècle comme le romantisme avec Delacroix et Berlioz, et plus tard, Courbet et le réalisme, à la même période dans la musique de Gounod et Bizet. Dans les dernières années du Second Empire gagne progressivement l’impressionnisme qui peuvent être liées Manet, Monet et Renoir, pour ne citer les plus grands.La fin du siècle est plus diversifiée, avec des mouvements comme le pointillisme ou groupe de figures telles que Nabis, Cézanne, Gauguin et Van Gogh, Rodin ou le sculpteur, tandis que Gabriel Fauré, Camille Saint-Saëns et Claude Debussy dominent la composition musicale française .
Pour un panorama littéraire du siècle dernier nous nous référons à la littérature française du XVIIIe siècle.
Contexte
L’Âge des Révolutions (Restauration – Juillet Révolution de 1830 et 1848 – la Commune de Paris en 1871) se déploie dans les différents systèmes politiques (Premier Empire – Monarchie restaurée Ancien Régime – la monarchie constitutionnelle – de courte durée Deuxième République – Second Empire – III République) qui cherchent pour répondre (ou s’opposer) les nouvelles aspirations démocratiques et de la transformation économique qui s’accélère l’industrialisation, la colonisation et les conflits entre les puissances européennes.
Les changements dans la société sont tous extrêmement important pour le long siècle de l’éducation publique telle, qui est devenu général et qui, accompagné par le progrès scientifique et technique remarquable, participe à l’évolution des mentalités.L’aristocratie et l’Église perdent progressivement leurs positions de pouvoir et d’une société laïque déplacé à la fin du siècle a également marqué par le poids croissant de la bourgeoisie et la classe ouvrière contre l’autre. La République avait besoin pour mettre fin à toutes les lois sociales et de voter, tout en organisant les conquêtes coloniales et la préparation de vengeance contre l’Allemagne. Le compte des auteurs de ces changements dans leur travail et en partie d’entre eux pratiquent dans les camps politiques, progressistes (tels que Lamartine, Hugo et Zola) ou parfois réactionnaires comme Maurice Barrès et Léon Daudet (Le siècle Stupide XIXe). Ils se réunissent souvent, cependant, pour exalter la figure de l’auto de l’artiste contre le matérialisme bourgeois et vulgaire, en créant le mythe de l’artiste bohème et rejeté notamment illustré sur la figure du peintre ou du poète du cursed.While la grande majorité des auteurs de la XVIIe siècle ont été les courtisans à la recherche de mécènes et protecteurs, ce siècle est emblématique d’une nouvelle éthique de la vérité (contre la morale religieuse sous la Restauration et la morale bourgeoise qui règne dans le second Empire) par l’écrivain, a exprimé à l’origine par Voltaire, composé de l’autonomisation progressive par rapport aux pouvoirs (politiques, religieux).Cette éthique se construit à travers la lutte pour la liberté d’expression et l’avènement d’un régime de liberté de la presse avec une plus grande responsabilité en tant que corollaire de ces écrivains dont les pouvoirs qu’ils veulent maintenant répondre de leurs œuvres: ce siècle est marqué par essai littéraire et d’emprisonnement dont l’auteur (comme Flaubert, Paul-Louis Courier, Pierre-Jean de Béranger) fait une réclamation à la renommée.
Dans les arts, la France, à côté d’un néo-classicisme et académique officielle (parfois jusqu’à l’art pompier), on trouve les grandes tendances esthétiques du siècle comme le romantisme avec Delacroix et Berlioz, et plus tard, Courbet et le réalisme, à la même période dans la musique de Gounod et Bizet. Dans les dernières années du Second Empire gagne progressivement l’impressionnisme qui peuvent être liées Manet, Monet et Renoir, pour ne citer les plus grands. La fin du siècle est plus diversifiée, avec des mouvements comme le pointillisme ou groupe de figures telles que Nabis, Cézanne, Gauguin et Van Gogh, Rodin ou le sculpteur, tandis que Gabriel Fauré, Camille Saint-Saëns et Claude Debussy dominent la composition musicale française .
Pour un panorama littéraire du siècle dernier nous nous référons à la littérature française du XVIIIe siècle.
Bibliographie
Voir «la littérature du XIXe siècle» sur Wikisource. ‘
‘
Une réponse pour "Les mouvements littéraires du 19eme siecle"
quel courant de peinture constitue l’art officiel du second empire