Les chatiments victor hugo
Le chat (ou de la peine, sans l’article, conformément à l’editio princeps) est un recueil de poèmes satiriques de Victor Hugo, publié en 1853.
Après le coup du 2 Décembre, 1851, qui a vu la montée en puissance du prince Louis Napoléon Bonaparte, Hugo s’exile. Ces lignes sont, pour le poète, une arme destinée à discréditer et à faire tomber le régime de Napoléon III à laquelle Hugo consacre une fureur vengeresse et sans limite du mépris.
Hugo l’habitude de prendre le thème principal de ses collections (comme en Afrique orientale et Autumn Leaves) et la punition ne fait pas exception à la règle.
Qui a dit que la punition, dit aussi crime et même la pensée de l’expiation dans Hugo fortement influencés par la Bible. Le crime, la punition et l’expiation sont donc trois fils rouges de notre étude.
Selon Pascal Melka, auteur de Victor Hugo, un combat pour la oppressed.Study de son développement politique, dans une lettre à l’éditeur Hetzel Jules, en date du 7 Septembre 1852, dans laquelle il a annoncé la rédaction de punition pour dénoncer le coup de Napoléon III, Victor Hugo a écrit: Je pensais qu’il était impossible de publier un volume au moment de poésie pure.Cela ferait l’effet d’un désarmement, et je suis armé et la lutte que jamais.
La punition du crime comme un poème
Les châtiments eux-mêmes la tâche de dénoncer deux crimes: l’Brumaire et le coup du 2 Décembre commis par Louis-Napoléon Bonaparte – le second crime est le résultat de la première (voir l’expiation et de la fable ou l’histoire)
Le dix-huitième brumaire est un crime contre la France, parce que Bonaparte a pris le pouvoir par la violence. 2 décembre est un crime en raison de la violence de la répression (la Nuit du Souvenir 4, II, 3, Pauline Roland, V, 11), parce que le parjure est de Louis Bonaparte (il avait juré fidélité à la Deuxième République) et parce qu’il viole les lois de la République (voir Nox).
Les chats sont la poésie de la dénonciation du crime. Discours poétique dénonçant le crime en parlant. L’acte de verbalisation est dénonciation. (Cf. ultima verba: même les dernières paroles du poète sera la dénonciation et d’attaque contre Louis Bonaparte).
Parole devient la langue poétique de la population: par exemple, Hugo parle grand-mère dont le petit-fils fils a été tué (la Nuit du Souvenir 4). La langue poétique parle aussi pour le peuple, pour encourager, même dans les essais (voir l’eschatologie Lux).
Le poète peut sanctionner par une évocation des faits réels, mais retravaillés par le langage poétique (voir l’Expiation, V, 13: les faits historiques deviennent épiques grandiose qui prend le merveilleux).
Le poète peut traiter différentes tonalités: l’épopée (voir l’Expiation où Hugo dépeint une épopée de la chute de Napoléon Ier), la satire et l’ironie et même une épopée du grotesque, épique ‘à l’envers» (cf. l’Expiation et Splendeurs, III , 8: Louis Bonaparte est un tentatives nain malhonnête d’utiliser la gloire de son oncle pour ses propres fins), le poète peut utiliser l’émotion (la Nuit de la mémoire 4, Pauline Roland), la colère et la rage (voir A l’obéissance passive, II, 7 et les derniers versets de Nox).
Le poète peut traiter une variété de formes: chanson, un dialogue imaginaire (Le Bord de la Mer, III, 15), l’alexandrin et de courte durée (environ 4 pieds dans le Chasseur Noir, VII, 3) ou l’idylle (voir Idylle, II, 1) …
La punition du crime comme un poème
Les châtiments eux-mêmes la tâche de dénoncer deux crimes: l’Brumaire et le coup du 2 Décembre commis par Louis-Napoléon Bonaparte – le second crime est le résultat de la première (voir l’expiation et de la fable ou l’histoire)
Le dix-huitième brumaire est un crime contre la France, parce que Bonaparte a pris le pouvoir par la violence. 2 décembre est un crime en raison de la violence de la répression (la Nuit du Souvenir 4, II, 3; Pauline Roland, V, 11), parce que le parjure est de Louis Bonaparte (il avait juré fidélité à la Deuxième République) et parce qu’il viole les lois de la République (voir Nox).
Les chats sont la poésie de la dénonciation du crime. Discours poétique dénonçant le crime en parlant. L’acte de verbalisation est dénonciation. (Cf. ultima verba: même les dernières paroles du poète sera la dénonciation et d’attaque contre Louis Bonaparte).
La parole poétique est le mot peuple: Hugo parle par exemple le petit-grand-mère dont le fils a été tué (la Nuit du Souvenir 4). La langue poétique parle aussi pour le peuple, pour encourager, même dans les essais (voir l’eschatologie Lux).
Le poète peut sanctionner par une évocation des faits réels, mais retravaillés par le langage poétique (voir l’Expiation, V, 13: les faits historiques deviennent épiques grandiose qui prend le merveilleux).
Le poète peut traiter différentes tonalités: l’épopée (cf.Atonement où Hugo dépeint une épopée de la chute de Napoléon Ier), la satire et l’ironie et même une épopée du grotesque, épique ‘upside down’ (cf.l’Expiation et Splendeurs, III, 8: Louis Bonaparte est un tentatives nain malhonnête d’utiliser la gloire de son oncle pour ses propres fins), le poète peut utiliser l’émotion (la Nuit de la mémoire 4, Pauline Roland), la colère et l’emporte (voir A l’obéissance passive, II, 7 et le dernier à NOx).
Le poète peut traiter diverses formes: chanson, un dialogue imaginaire (Le Bord de la Mer, III, 15), l’Alexandrin et de courte durée (environ 4 pieds dans la mer Noire Hunter, VII, 3), voir idylle (voir Idylle, II, 1) …
La punition comme un poème de l’Expiation
Dieu, selon Hugo, de gauche à la criminalité et la peine infligée pour permettre à l’expiation. L’arrivée d’un meilleur temps de la liberté et de fraternité sera le résultat «positif» du crime, la punition et l’expiation. Hugo développe une eschatologie politique grandiose (mais plutôt vague), où la société sera heureuse et libre. (Cf. notamment Stella Lux).
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