Le rouge et le noir
le rouge et le noir, sous-titré Chronique de 1830, est un roman de Stendhal, publié à Paris en Levasseur en 1830. C’est le deuxième roman de Stendhal, après Armance. Il est cité par William Somerset Maugham en 1954, dans son essai: une dizaine de romans et leurs auteurs des dix plus grands romans.
le rouge et le noir et son époque
Le cas Berthet
Le cas Berthet (1827) est la première source d’inspiration pour le cadre du roman de Stendhal. Cet incident était préoccupé surtout depuis qu’elle a eu lieu à Brangues, un petit village dans sa région: l’Isère. Passer aux assises de l’Isère, il lié à l’exécution d’Antoine Berthet, fils d’artisans, un prêtre a remarqué très tôt pour son intelligence et il n’a entrer au séminaire. Frail, Berthet a dû quitter le séminaire et les conditions de vie sont trop difficiles à trouver un emploi. Il est devenu le précepteur des enfants dans la famille Michoud, puis très vite, l’amant de Mme Michoud, il a dû quitter quickly.After un autre séjour dans un séminaire plus célèbre que le précédent (celui de Grenoble), Berthet est un nouveau position en tant que précepteur dans une famille noble de cette époque: le cordon, où il séduit la fille de son employeur, sans attendre la chasse.Très amers de n’avoir pas trouvé un exutoire à son intelligence, Berthet décide de se venger. Il a rejoint l’église de son village quand le vieux prêtre disait la messe, et il tire un pistolet sur son ancienne maîtresse, madame Michoud. Son procès a eu lieu en Décembre 1827 et est exécuté Février 23, 1828. Il avait vingt-cinq ans.
Etude sociale, politique, historique
le rouge et le noir est aussi un roman historique, comme Stendhal tente de dévoiler les coulisses de la révolution de 1830, avec l’ombrage de la structure sociale de la France à l’époque, l’opposition entre Paris et les provinces, entre la noblesse et la bourgeoisie, entre les jansénistes et les jésuites.
le rouge et le noir et son époque
Le cas Berthet
Le cas Berthet (1827) est la première source d’inspiration pour le cadre du roman de Stendhal. Cet incident était préoccupé surtout depuis qu’elle a eu lieu à Brangues, un petit village dans sa région: l’Isère. Passer aux assises de l’Isère, il lié à l’exécution d’Antoine Berthet, fils d’artisans, un prêtre a remarqué très tôt pour son intelligence et il n’a entrer au séminaire. Frail, Berthet a dû quitter le séminaire et les conditions de vie sont trop difficiles à trouver un emploi.Il est devenu le précepteur des enfants dans la famille Michoud, puis très vite, l’amant de Mme Michoud, il a dû quitter rapidement. Après un autre séjour dans un séminaire plus célèbre que le précédent (celui de Grenoble), Berthet est un nouveau poste de précepteur dans une famille noble en ce moment: le cordon, où il séduit la fille de son employeur, sans attendre la chasse . Très amers de n’avoir pas trouvé un exutoire à son intelligence, Berthet décide de prendre revenge.He rejoint l’église de son village quand le vieux prêtre disait la messe, et il tire un pistolet sur son ancienne maîtresse, madame Michoud. Son procès a eu lieu en Décembre 1827 et est exécuté Février 23, 1828. Il avait vingt-cinq ans.
Etude sociale, politique, historique
le rouge et le noir est aussi un roman historique, comme Stendhal tente de dévoiler les coulisses de la révolution de 1830, avec l’ombrage de la structure sociale de la France à l’époque, l’opposition entre Paris et les provinces, entre la noblesse et la bourgeoisie, entre les jansénistes et les jésuites.
Résumé
Le roman comporte deux parties: les premières traces de la carrière de Julien Sorel dans la petite ville de l’entrée particulière souillé dans rénaux et son séjour dans un séminaire.Le second, le héros de la vie à Paris comme secrétaire de M. de La Mole et déchiré entre les ambitions et les sentiments, y compris son amour pour la fille de ce dernier, et assassiner tenté contre madame de Rénal, menant à sa condamnation à mort.
Partie
Épigraphe, le rouge et le noir Chronique 1830 est «La vérité, l’amère vérité. Danton.’ Immédiatement, l’usine de Stendhal précisément l’ensemble de la petite ville de Franche-Comté Verrières (ville fictive), sur le Doubs, et le social et situation politique, définissant l’atmosphère dans laquelle les formes de l’esprit du héros.
Julien Sorel est le fils aîné du tiers de Sorel, scieur, qui n’a que mépris pour les choses intellectuelles, et donc pour Julien qui est très bon au début des études. Contrairement à ses frères, le garçon n’est pas construit pour les travaux lourds, et sa curiosité le pousse à apprendre par tous les moyens possibles (ce que le père a appelé balade Sorel). Si le garçon peut réciter par cœur le Nouveau Testament, il jouit de la protection de ses curé du village, l’abbé Chélan, il connaît aussi tous les détails du Mémorial de Sainte-Hélène, paradoxalement parce qu’il consacre une admiration sans borne de Napoléon Bonaparte qu’il considérait à la fois comme Dieu et comme un modèle de réussite.Abusé de sa famille qui fonctionne en permanence ou se moque de subir des violences, il est protégé par l’abbé Chélan recommande que le maire de Verrières M. de Rénal, comme précepteur de ses enfants, puis porté à ce séminaire.
Ce sont les débuts de Julien dans le monde de la bourgeoisie provinciale. Malgré sa timidité naturelle, il a réussi progressivement à séduire Mme de Rênal, une jeune femme si belle, mais aussi une timidité naïve. La vie de Sorel dans le rein est marquée par la passion profonde pour Mme de Rênal et de son ambition. Il rêve de devenir un nouveau genre de Napoléon Bonaparte. Sa vie est dominée par son château du hypocrisy.The M. de Rênal, il doit cacher ses sentiments pour l’hôtesse, et l’abbé Chélan son admiration pour Napoléon.
Au château, le jeune homme gagne rapidement le coeur des enfants et de s’habituer à passer ses soirées d’été en compagnie de Mme de Rênal qu’une agréable surprise en essayant de lui faire un cadeau. La fierté du jeune homme comme ce rêveur provinciaux qui tombe en amour avec lui sans s’en rendre compte. Mais le tempérament fier et piquante Julien va bientôt tout gâcher: il a refusé une augmentation salariale proposée par M. de Rênal et repousse les avances d’Eliza, servante de Mme de Rênal.
Elisa se hâta de courir une rumeur (basé) sur les sentiments qui animent sa maîtresse et Julien, les jaloux, commencent à parler à Verrières (Julien était devenu un homme du monde) et du coup, M. de Rênal reçoit une lettre anonyme dénonçant l’adultère de sa épouse. Bien que ces contes fantaisistes semblent lui, le maire de Verrières a décidé de se séparer de son tutor.Julien, sur les conseils de l’abbé Chélan, quitte le terrain de rein et est entré au grand séminaire de Besançon. Avant de partir, il a une dernière entrevue avec Mme de Rênal, qui semble très froid, donc elle a toujours un amour profond. D’où l’incompréhension conduit à la tragédie. Julien réserve et confond l’indifférence impatient.
Le séminaire de Besançon, Julien est haï par ses camarades, des espèces de paysans affamés dont l’aspiration est suprême ‘dîner choucroute’, où il fait la connaissance de l’abbé Pirard qui reçoivent beaucoup d’ambition, mais pour protéger aussi. Il a passé beaucoup de moments douloureux jusqu’à l’abbé Pirard lui a demandé de devenir le secrétaire du marquis de La Mole. Il part pour Paris pour prendre ses fonctions avec l’aristocrate célèbre.
Deuxième partie
Le marquis de La Mole, figure de proue dans le faubourg Saint-Germain, dit le renseignement rapidement
Julien, qui a également rencontré Mathilde, fille du marquis, une remarquable personnalité et de la jeunesse aristocratique de ses prétendants nombreux hauts et des origines humbles de Julian Paris.Despite, elle tombe bientôt amoureuse de lui en qui elle voit un esprit noble et fier et un rapide qui contraste contre l’apathie des aristocrates de son salon. Une passion (ou l’ambition d’échapper à l’ennui de Mathilde) tumultueuse commence entre les deux jeunes hommes. Elle a ensuite avoué qu’elle est enceinte et prévient son père de son désir d’épouser la jeune secrétaire. Mathilde ne réussira pas à convaincre tout père de la laisser épouser Julien, mais, en attendant une décision, le Marquis est noble et Julien lui donne un lieutenant de hussards à Strasbourg. Le fils du charpentier devient le chevalier de la Vernaye Julien Sorel.
C’est alors que Mathilde de La Mole appelle son amant à la rejoindre à Paris en particulier: le marquis de La Mole refuse toute idée de mariage depuis qu’il a reçu une lettre de Mme de Rênal dénonçant (en appuyant sur les conseils de son confesseur) l’immoralité de son ancien amant consommé par ambition.Julien, intrépide, puis se rendit de Paris à Verrières, entre l’église et ont tiré à deux reprises, pendant la messe sur son ancienne maîtresse.Il ne se rendent pas compte quand il a échoué pour la tuer.
Julien attend ensuite en prison le jour de son procès, la prison où Mathilde va le voir une fois par jour, mais sa profondeur d’héroïsme éventuellement fatigués son amant. Mathilde de La Mole, sous un pseudonyme d’abord, puis sous son vrai nom multiplie alors les tentatives pour lui faire payer, surtout avec la promesse d’afficher les plus influents de l’église de l’évêque de Besançon. Dans le même temps, Mme de Rênal tente de faire pencher en faveur de l’essai de Julien écrit aux jurés que ce serait une erreur de le condamner et volontiers lui pardonner ses actes»maladroite’.
Malgré l’opinion publique à la cause de l’Sorel jeunes, M. Valenod (qui fait partie du jury) pour condamner parvient à Julien à la guillotine, en partie à cause d’un discours provocant dénonçant les castes et les order.At établie à la fin de la phrase , Mme de Rênal et Mathilde sont toujours dans l’espoir d’un appel, mais Julien n’a pas d’autre alternative que la hache. Mme de Rênal, qui a déménagé à Besançon, malgré les réticences de son mari, a réussi à obtenir la permission d’aller à Julian, qui a trouvé une passion pour son infinie. Malgré tous les sacrifices qu’il est prêt à accorder, Julien se résigne à la mort.
Immédiatement après l’exécution de Julien, Fouqué (son ami de toujours) a acheté son corps au bourreau. Mathilde demande à voir la tête du père de son enfant, puis empoigne la tête de Julien et de baisers son front. Elle s’enfonça dans la tête à côté de sa tombe dans une grotte non loin de là où Verrières Julien utilisé pour régler. Leur enfant aurait dû être repris par Mme de Rênal, mais elle est morte trois jours après Julien.
le rouge et le noir et son époque
Le cas Berthet
Le cas Berthet (1827) est la première source d’inspiration pour le cadre de l’incident novel.This Stendhal était préoccupé surtout depuis qu’elle a eu lieu à Brangues, un petit village dans sa région: l’Isère. Passer aux assises de l’Isère, il lié à l’exécution d’Antoine Berthet, fils d’artisans, un prêtre a remarqué très tôt pour son intelligence et il n’a entrer au séminaire. Frail, Berthet a dû quitter le séminaire et les conditions de vie sont trop difficiles à trouver un emploi. Il est devenu le précepteur des enfants dans la famille Michoud, puis très vite, l’amant de Mme Michoud, il a dû quitter rapidement.Après un autre séjour dans un séminaire plus célèbre que le précédent (celui de Grenoble), Berthet est un nouveau poste de précepteur dans une famille noble en ce moment: le cordon, où il séduit la fille de son employeur, sans attendre la chasse . Très amers de n’avoir pas trouvé un exutoire à son intelligence, Berthet décide de se venger. Il a rejoint l’église de son village quand le vieux prêtre disait la messe, et il tire un pistolet sur son ancienne maîtresse, madame Michoud.His procès a eu lieu en Décembre 1827 et est exécuté Février 23, 1828. Il avait vingt-cinq ans.
Etude sociale, politique, historique
le rouge et le noir est aussi un roman historique, comme Stendhal tente de dévoiler les coulisses de la révolution de 1830, avec l’ombrage de la structure sociale de la France à l’époque, l’opposition entre Paris et les provinces, entre la noblesse et la bourgeoisie, entre les jansénistes et les jésuites.
Adaptations
L’intrigue de ce roman a été inspiré par Stendhal dans une histoire dont l’issue a été Nouvelles de la Fondation pour une partie de l’Isère, le département d’origine.En 1827, Berthet, fils d’un artisan et un jeune séminariste a été jugé et condamné à mort pour avoir assassiné pendant la messe son ancienne maîtresse, l’épouse d’un notable qui a été embauché comme précepteur de ses enfants.
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