La négritude mouvement littéraire: La négritude
Photo par Presse IndéPicarde(CC BY 2.0)
La négritude est une œuvre littéraire et politique, créé après la Seconde Guerre mondiale, réunissant des écrivains de langue française « en noir », dont Aimé Césaire, Léopold Sédar Senghor, Léon Damas Gontran, Guy Tirolien, Birago Diop et René Depestre particulière. Lié à l’anti-colonialisme, le mouvement influencé par le nombre suivant de personnes proches du nationalisme noir, s’étendant bien au-delà du monde francophone.
Origine
Le terme a été inventé en 1935 par Aimé Césaire dans le numéro 3 du magazine L’Etudiant Martinique étudiants noirs. Il affirme l’identité noire et la culture, d’abord contre une francité perçue oppressante et instrument de l’administration coloniale française (Discours sur le colonialisme, Cahier d’un retour au pays natal). Césaire va l’utiliser de nouveau en 1939 lorsque la première publication de l’Cahier d’un retour au pays natal. Le concept est alors pris par Léopold Sédar Senghor dans ses Chants d’ombre, qui approfondit, opposant ‘la raison grecque’ à ‘émotions noir’:
‘Nuit me délivrer des raisons foires sophismes, des pirouettes des excuses, la haine de humanisés, Nuit sang calculée qui fond toutes mes contradictions, toutes contradictions dans la première unité de ta noirceur’
Signification
La naissance de ce concept, et que d’une revue, Présence africaine, publiée simultanément en 1947 à Dakar et à Paris, sera l’effet d’une explosion. Il rassemble des Noirs de tous les horizons du monde, et les intellectuels français, dont Sartre. Il définit ensuite la négritude comme « la négation de la négation de l’homme noir ».
Selon Senghor, la négritude est « l’ensemble des valeurs culturelles de l’Afrique noire » . Selon Senghor, « Négritude est un fait, une culture. C’est tout ce que la vie économique, politique, intellectuelle, morale, artistique et social des peuples africains et les minorités de l’Amérique noire, d’Asie et d’Océanie » . Pour Césaire, « le mot signifie premier rejet . Le rejet de l’assimilation culturelle, le rejet d’une certaine image de la Black pacifique, incapable de construire une civilisation culturelle La prime sur la politique ».
Origine
Le terme a été inventé en 1935 par Aimé Césaire dans le numéro 3 du magazine L’Etudiant Martinique étudiants noirs. Il affirme l’identité noire et la culture, d’abord contre une francité perçue oppressante et instrument de l’administration coloniale française (Discours sur le colonialisme, Cahier d’un retour au pays natal).Césaire va l’utiliser de nouveau en 1939 lorsque la première publication de l’Cahier d’un retour au pays natal. Le concept est alors prise par Léopold Sédar Senghor dans ses Chants d’ombre, qui approfondit, opposant ‘la raison grecque’ à ‘émotions noir’:
‘Nuit des raisons que je vous livre la sophistique foires, des excuses pirouettes, la haine de humanisés,
Nuit sang calculée qui fond toutes mes contradictions, toutes contradictions dans la première unité de ta noirceur’
Avis
Par la suite, des écrivains noirs ou créoles ont critiqué ce concept comme étant trop réductrice: » Le tigre ne proclame pas sa tigritude, il bondit sur sa proie et la dévore » (Wole Soyinka). Stanislas Spero Adotevi analyse est sévère dans son essai et Négritude négrologues « Souvenir de la nuit et la connivence, la noirceur est l’offrande du poète lyrique dans ses propres ténèbres désespérément au passé » .
Une réponse pour "La négritude mouvement littéraire"
quelles sont les caractéristiques de la négritudes et son influence sur la littérature.