Édition littéraire
L’édition consiste à choisir des textes littéraires, d’imprimer et de les commercialiser. Les textes peuvent être anciennes ou modernes, originales ou des commandes. Le soutien est principalement du papier et du livre.
Sous l’influence de mauvaises traductions du verbe anglais ‘to edit’ (éditer, modifier, assembler), l’édition d’un texte inclut parfois aujourd’hui, telle que modifiée ou de processus de collage numériques (logiciels de traitement de texte, par exemple). Ce sentiment incorrecte n’est pas le sujet de cet article.
L’activité intellectuelle
Dans des domaines comme la paléographie, l’épigraphie et la philologie, l’éditeur retrouve son sens originel: il est celui qui offre une édition critique d’un texte, c’est-à-dire dans un écrit, modifiée, édité, corrigé et souvent noté sur un support moderne. Habituellement vieux, le texte est souvent une lecture directe difficile, voire impossible en commun: Par exemple, le texte est dans une situation difficile à déchiffrer l’écriture antique, il ne reste que dans le manuscrit de l’Etat, ou des copies sont trop vieux et précieux pour être facilement accessible ou le texte est connu par plusieurs versions.
Pour plus de détails sur le processus d’édition philologique, s’il vous plaît paléographie (la transcription des textes anciens est l’approche la plus souvent préalablement à toute édition critique).
Dans un sens plus large liée à la précédente, l’éditeur est un texte moderne qui change pour le rendre plus accessible pour une utilisation dans un contexte donné, en ajoutant paratexte, pour les coupures, etc.
Choix de textes
L’éditeur sélectionne, parmi les ‘manuscrits’ qui lui sont soumises, les travaux déjà publiés, des ouvrages publiés dans d’autres langues, ou de contrôle, les oeuvres qui correspondent à la ligne éditoriale de son (ou ses) collections. Après les corrections, il communique le texte à une imprimante en conviennent les caractéristiques techniques de l’ouvrage et le nombre de copies à imprimer.
L’éditeur prend la majeure partie du risque financier de l’édition. Les bénéfices vont principalement au diffuseur et distributeur de livres, qui sont responsables, pour la première fois, à démarcher les libraires et prennent leurs ordres, pour la seconde, pour acheminer les livres aux librairies, pour remplir les commandes faites par le premier. Ces opérations sont l’éditeur de 50 à 60% du chiffre d’affaires généré par le livre.Le reste des recettes va à l’auteur (environ 10%, ce chiffre de beaucoup plus bas, autour de 6% pour les illustrés, et peut atteindre 20% ou plus pour obtenir les meilleurs vendeurs) et l’éditeur, qui peuvent payer, en plus de ses employés (éditorial assistants, des attachés de presse, chargé de la fabrication, du modèle, etc.), l’œuvre entière du livre (imprimeurs, correcteurs, photographes indépendants, éventuellement les bibliothécaires, etc.).
Il est le rédacteur en chef qui coordonne le cours de la «chaîne du livre» et, souvent, qui établit également le plan financier intégrant les coûts et les gains attendus, comme dans toute entreprise.
Puis l’éditeur affirme que le sort de la livre pour le diffuseur et le distributeur qui, à son tour compter sur les soins du libraire.
Notez qu’il qualifie comme un éditeur, la personne faisant l’édition et les collections directe (pas seulement le directeur de la maison d’édition). Les éditeurs sont des employés d’une maison d’édition ou d’un contrat avec elle.
La «chaîne du livre»
Une autre forme de marketing est le club de lecture ou d’un éditeur contacté par lettre circulaire des membres connus ou potentiels, leur propose d’acheter un certain nombre de livres par mois pour les envoyer par la poste.
Choix de textes
L’éditeur sélectionne, parmi les ‘manuscrits’ qui lui sont soumises, les travaux déjà publiés, des ouvrages publiés dans d’autres langues, ou de contrôle, les oeuvres qui correspondent à la ligne éditoriale de son (ou ses) collections. Après les corrections, il communique le texte à une imprimante en conviennent les caractéristiques techniques de l’ouvrage et le nombre de copies à imprimer.
L’éditeur prend la majeure partie du risque financier de l’édition. Les bénéfices vont principalement au diffuseur et distributeur de livres, qui sont responsables, pour la première fois, à démarcher les libraires et prennent leurs ordres, pour la seconde, pour acheminer les livres aux librairies, pour remplir les commandes faites par le premier. Ces opérations sont l’éditeur de 50 à 60% du chiffre d’affaires généré par le livre. Le reste des recettes va à l’auteur (environ 10%, ce chiffre de beaucoup plus bas, autour de 6% pour les illustrés, et peut atteindre 20% ou plus pour obtenir les meilleurs vendeurs) et l’éditeur, qui peuvent payer, en plus de ses employés (éditorial assistants, des attachés de presse, chargé de la fabrication, du modèle, etc.), l’œuvre entière du livre (imprimeurs, correcteurs, photographes indépendants, éventuellement les bibliothécaires, etc.).
Il est le rédacteur en chef qui coordonne le cours de la «chaîne du livre» et, souvent, qui établit également le plan financier intégrant les coûts et les gains attendus, comme dans toute entreprise.
Puis l’éditeur affirme que le sort de la livre pour le diffuseur et le distributeur qui, à son tour compter sur les soins du libraire.
Notez qu’il qualifie comme un éditeur, la personne faisant l’édition et les collections directe (pas seulement le directeur de la maison d’édition). Les éditeurs sont des employés d’une maison d’édition ou d’un contrat avec elle.
Bibliographie
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