Le monde litteraire
Le Monde est un journal quotidien français fondé par Hubert Beuve-Méry en 1944. Ceci est un journal ‘Soir’ qui apparaît dans l’après-midi, datée du lendemain, le seul en France à garder cette formule en 2011. Française journalier de référence pendant des décennies, il est encore le plus largement distribué à l’étranger, avec un tirage quotidien hors de France 40 000.
Autres publications
Le Monde est à l’origine de plusieurs publications dont la ligne éditoriale est indépendante de la journée:
Le Groupe Mondial est un actionnaire avec 51% de l’mensuel Le Monde Diplomatique, mais la ligne éditoriale de ce dernier est indépendant, comme celle de tous les titres du groupe La Vie-Le Monde. Le Monde diplomatique publie également le bimestriel «manières de voir» et, tous les trois ans, fait le point sur la situation internationale avec l’Atlas du Monde Diplomatique.
Diffusion et le public
Selon l’OJD en 2003, plus de la moitié des abonnés à la version en ligne sont abonnés à papier en utilisant leur droit à la consultation:
Les critiques
The Far Side of the World
En 2003, une série de livres et d’études ont critiqué la neutralité de la revue.Dans la revue Actes de la recherche en sciences sociales, le sociologue Patrick Champagne Ecole Bourdieu a analysé l’évolution de la vie quotidienne et l’influence de Jean-Marie Colombani dans l’article «Le médiateur entre deux mondes.’
Ces accusations est devenue critique dans l’essai La Face cachée du «Monde», où Pierre Péan et Philippe Cohen affirment, entre autres choses, que l’équipe de direction, composée alors de Jean-Marie Colombani, Edwy Plenel et Alain Minc, a pris le parti d’aller vers une logique de rentabilité et les ventes au mépris, disent-ils, les règles de conduite. L’échec de la raison d’État a également été au cœur de la critique de La Face cachée du «Monde». Enfin, les critiques des points aussi à certains parti pris éditorial.
Daniel Schneidermann à l’employé à temps du monde, chroniqueur pour le supplément du quotidien radio-TV lui et animateur d’une émission télévisée sur France 5, a critiqué dans son livre La réaction du Cauchemar médiatique envers le quotidien estimant qu’elle ne répondait pas aux arguments du livre La Face cachée du «Monde». Les dirigeants du monde ont rejeté en Octobre 2003 pour ‘réelle et sérieuse», à leur avis, un passage du livre de Daniel Schneidermann était «préjudiciable à l’entreprise pour laquelle il travaille.’Le journaliste est allé au tribunal de journaux de Paris, qui a donné avec succès en mai 2005. La décision a été confirmée en appel en Mars 2007. Alain Rollat, journaliste au Monde de 1977 à 2001, a engagé, à son tour, à une auto sévères -critique de l’erreur ne s’est produite dans la gestion de l’entreprise sous la direction de Jean-Marie Colombani, la cause principale, de ses yeux, l’influence croissante des «puissances d’argent» dans le «journal de référence». La publication de son témoignage a été délibérément occultée par ses anciens camarades.
La thèse de Pierre Péan et Philippe Cohen a été principalement basé sur le fait que la rédaction initiale a été modifiée pour répondre aux objectifs de la puissance des écrivains et un petit groupe affilié à la collusion dans les milieux économiques. Pierre Péan et Philippe Cohen, a critiqué, par exemple, le salaire mensuel du directeur de la rédaction du Monde (26 000 euros par mois), malgré une perte estimée à 25 millions d’euros pour 2003 au niveau du Groupe (périmètre de CA 460 M €, année de l’acquisition de la Vie Catholique Mondiale). Les avocats du monde et ceux de Péan-Cohen ont préféré éviter le procès et ont accepté la médiation de Guy Canivet, Premier Président de la Cour de cassation.
Autres
Michel Legris, publié en 1976 que Le Monde.According à un ancien journaliste du Monde, le journal de référence, derrière son apparente objectivité, appliquer plusieurs méthodes de désinformation au service de son implication dans l’intelligentsia de gauche par une ligne éditoriale de gauche. Il montre également comment le monde a minimisé les atrocités des Khmers rouges au Cambodge.
En mai 2011, irrité par le contenu d’un article dans Le Monde consacré à François Mitterrand signé par le historien François Cusset, l’actionnaire Pierre Bergé a déclaré «désolé» d’avoir investi dans le journal. Il affirme ainsi: «Je considère que, contrairement à … comme annoncé, les journalistes du monde ne sont pas libres, mais les prisonniers de leurs idéologies, leur installation et leur mauvaise foi.’
Finances
Le Monde ne divulgue pas ses revenus, mais les lecteurs de la Ligue du Monde, cotée sur le marché libre d’Euronext Paris, a annoncé un chiffre d’affaires de 462 millions d’euros en 2002. En 2007, il était 628 650 000 Monde euros.Le accusé en 2006 une perte nette de 14,3 millions d’euros, contre une perte nette de 27,9 millions d’euros en 2005 et 54,2 millions en 2004.En Juin 2010, la recherche de journaux de 10 millions d’éviter de faire défaut sur sa dette en Juillet et s’élève à 94 millions d’euros.
Comme la plupart des titres de la presse française, Le Monde reçoit des subventions de l’Etat. Ainsi, il a reçu € 2,95 millions en aide pour aider à financer la modernisation de la presse de 2003 à 2010.
Controverses
En Janvier 2008, Le Monde a été condamné par un tribunal de Barcelone, 300.000 euros en dommages et intérêts pour avoir publié un article jugé diffamatoire référant à la pratique du dopage dans Barcelone.
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