Une critique de livre
Examen critique des idées et des livres (1908-1924), le magazine français littéraire et politique bimestriel lancé en avril 1908 par l’éditeur et l’écrivain Jean Rivain et critique littéraire Eugène Marsan.
Rédacteurs
Les rédacteurs du magazine a été durement touchée pendant la Première Guerre mondiale: dix-sept de ses jeunes auteurs, plus d’un tiers de ses effectifs, sont tués ou disparus. Les survivants revivre la publication en 1919, mais le nouveau contexte politique et littéraire n’est pas vraiment un transporteur. Le groupe s’est dispersé mai 1924 pour rejoindre la Revue Universelle, récemment créé par Jacques Bainville et Henri Massis, Maurras en ligne qui exprime un avis plus traditionnel, ou d’autres du mouvement royaliste (Journal de l’Ouest latinité, le Journal du siècle)
Défense du classicisme, fait l’éloge de Stendhal, de la promotion de l’école et de la fantaisie romantique scolaires
Farouchement engagé à Stendhal, elle défend l’idée d’une expression vivante ouverte classique du génie français.Hébergement une grande variété de goûts littéraires, il supporte à la fois la renaissance des littératures régionales, faisant une large place pour les poètes dans le roman l’école, le Maurice Plessys, Raymond La Tailhède, Ernest Raynaud, Lionel des Rieux, le fantasme jeune école représentée dans ses colonnes par Paul-Jean Toulet, Francis Carco, Jean-Marc Bernard, Tristan Derem, Tristan Klingsor, Jean Pellerin et Léon Vérane. Pendant la campagne de l’Action française contre les idées d’Henri Bergson dans les années 1914, les principaux dirigeants de la revue a refusé de choisir entre leur fidélité à Maurras et d’admiration pour Bergson et le magazine prend ses distances du mouvement maurrassien.
Le journal publie plusieurs numéros spéciaux consacrés à Richelieu, Rousseau, Stendhal, Mistral, et Barrès Moréas.
Défense du classicisme, fait l’éloge de Stendhal, de la promotion de l’école et de la fantaisie romantique scolaires
Farouchement engagé à Stendhal, elle défend l’idée d’une expression vivante ouverte classique du génie français.Hébergement une grande variété de goûts littéraires, il supporte à la fois la renaissance des littératures régionales, faisant une large place pour les poètes dans le roman l’école, le Maurice Plessys, Raymond La Tailhède, Ernest Raynaud, Lionel des Rieux, le fantasme jeune école représentée dans ses colonnes par Paul-Jean Toulet, Francis Carco, Jean-Marc Bernard, Tristan Derem, Tristan Klingsor, Jean Pellerin et Léon Vérane. Pendant la campagne de l’Action française contre les idées d’Henri Bergson dans les années 1914, les principaux dirigeants de la revue a refusé de choisir entre leur fidélité à Maurras et d’admiration pour Bergson et le magazine prend ses distances du mouvement maurrassien.
Le journal publie plusieurs numéros spéciaux consacrés à Richelieu, Rousseau, Stendhal, Mistral, et Barrès Moréas.
Rédacteurs
Les rédacteurs du magazine a été durement touchée pendant la Première Guerre mondiale: dix-sept de ses jeunes auteurs, plus d’un tiers de ses effectifs, sont tués ou survivants missing.The revivre la publication en 1919, mais le nouveau contexte politique et littéraire n’est pas vraiment un transporteur.Le groupe s’est dispersé mai 1924 pour rejoindre la Revue Universelle, récemment créé par Jacques Bainville et Henri Massis, Maurras en ligne qui exprime un avis plus traditionnel, ou d’autres du mouvement royaliste (Journal de l’Ouest latinité, le Journal du siècle)
Lien externe
Conçu comme un «adieu à la littérature», le livre a rencontré un succès immédiat et a contribué à l’attribution du Prix Nobel en Octobre 1964, Sartre a refusé.
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