Salons littéraires au 18ème siècle
Tenu par les femmes, les premiers salons littéraires apparaissent au XVIe siècle et prospérer dans le siècle prochain. Protection et soutien financier pour les femmes qui gardaient entre eux ont contribué à de grands projets d’importance pour l’histoire de la pensée, en présidant la genèse de la préciosité ou la création de l’Encyclopédie au XVIIIe siècle. À bien des égards, la prodigieuse fertilité suivants les salons informels intellectuelle supporte joyeusement la comparaison avec l’Académie française, où les femmes seront autorisées seulement trois siècles et demi après sa création.
Clubs de Cercles, bureaux d’esprit, les entreprises, sous l’Ancien Régime
Légèrement derrière l’apparence d’aristocrates et intellectuels modernes qui défient les conventions sociales de leur temps à apparaître intellectuelle ouverte à des plus grands esprits de son temps mêlant leurs salles de séjour des politiciens, des universitaires et des scientifiques des deux sexes et tous les termes. Instruites et, la plupart des l’époque, les écrivains eux-mêmes, ils maintiennent une volumineuse correspondance avec tout le temps que l’Europe pourrait compter des esprits ouverts: la seule correspondance de Marie de compte Deffand, par exemple, des lettres 1400. Le plus célèbre de ces correspondances est celle de Marie de Sévigné.Ces rencontres un assez grand nombre d’esprits d’élite ou des personnes liées à la «bonne société» qui a existé jusqu’en début du XIXe siècle formé de nombreux centres, foyers que la connaissance littéraire est essentiel de comprendre en détail et les nuances de l’histoire de la littérature. Comme les salons littéraires furent presque toujours dirigées par des femmes, l’histoire de la première ne peut être considérée indépendamment de la seconde. Il est dans la salle des femmes distinguées par l’esprit, goût et de tact qui a pris l’habitude de la conversation et est né l’art de la fonction de chat de society.These français montre où nous avons parlé des belles choses en général, et surtout des choses de la l’esprit exercé une influence considérable sur la moralité et la littérature.
Le premier salon littéraire fut celui de l’Hôtel de Rambouillet, dont la formation a été en 1608 et a duré jusqu’à la mort de sa logeuse, Catherine de Rambouillet, appelé «Arthénice» en 1659. D’autres réunions moins célèbres mais néanmoins digne de mention, existait au XVIIe siècle, non compris les rues, réduits et alcôves, où précieuses et précieuses ont essayé d’imiter l’Hôtel de Rambouillet.
Sous Louis XIII, on trouve le salon de Marie-des-Loges Bruneau, que ses admirateurs appelé la dixième muse, qui Conrart, a déclaré:
‘Elle a été honorée, visitée et divertir tous les plus importants, sans en excepter les plus grands princes et princesses les plus célèbres … Tout semblait muses résider sous sa protection et l’honneur, lui et sa maison a été une académie ordinaire.’
Balzac, Malherbe, Beautru fréquenté la maison et surtout parmi les grands personnages qui ont montré leur estime Marie Bruneau des Loges, nous avons remarqué le roi de Suède, duc d’Orléans et le duc de Weimar.
Vers le milieu du XVIIe siècle, le salon de Madeleine de Scuderi, qui accède à la notoriété. Les frondes des deux troubles ont dispersé la plupart des habitués de l’Hôtel de Rambouillet, la réforme de cet écrivain dans sa maison dans la rue de Beauce, dans le Marais. Aumônier est venu ici, Conrart, Pellisson, Ménage, Sarrasin, Isarn, Godeau, le duc de Montausier, la comtesse de la Suze, la marquise de Sablé, la marquise de Sévigné, Mme de Cornuel, aragonais, etc.
Dans les réunions, qui a eu lieu le samedi, il y avait le flirt et raffinée.On pouvait y lire des petits morceaux de poésie, nous discutions des mérites et des lacunes de la littérature récente, nous allons commenter longuement, et souvent avec une touche d’humour, des choses de moindre valeur et moins importance.During ces conversations, les dames qui travaillent dans les ajustements de deux poupées a été appelé le grand et le petit ver, qui étaient destinées à servir de modèles à la mode. Chacun d’eux avait un surnom utilisé, presque toujours issus de Conrart romans appelé ‘Théodamas’ Pélisson, ‘Acanthe’ Sarrasin ‘, polyandres’ Godeau, «Mage de Sidon’ Aragon ‘princesse Philoxène’ Madeleine de Scudéry, «Sapho».
Le plus célèbre était Samedi 20 Décembre 1653, a été appelé la «Journée des madrigaux’ Conrart avait offert ce jour-là, un timbre avec un madrigal de cristal envoyer l’hôtesse qui a répondu à une autre madrigal, et les personnes présentes, l’émulation piquant, improvisé à son tour une série des madrigaux. C’était à une autre réunion le samedi que la carte a été développée tendres, puis transporté par Madeleine de Scuderi dans la Clélie roman.
Une autre réunion a eu lieu à la marquise de Sablé, où elle a été retirée en haut du faubourg Saint-Jacques de vivre dans un appartement appartenant au monastère de Port-Royal.’Dans cette demi-retraite, dit Sainte-Beuve, qui avait un jour au couvent et une porte entrouverte sur le monde nouveau, ce vieil ami de La Rochefoucauld, toujours-pensée et s’intéresse à tout, continué à se réunir autour d’elle, jusqu’à ce que l’année 1678, où elle mourut, les noms des amis les plus distingués et les plus diversifiés anciens restés fidèles, qui venaient de loin, la ville ou la cour, pour la visite, la population semi-isolée dans le monde, comme elle, dont l’esprit avait seulement rehausser la beauté et aiguiser la retraite de la profession solitaire, elle a déchiré parfois, à force d’obsession gracieuse, leur vœu de silence. ‘
La comtesse de Verrue, un ancien favori de la Seconde duc Victor-Amédée de Savoie, un ami de la littérature, les sciences et les arts, aussi sa accueillis à l’Hôtel Hauterive, une entreprise de sélectionner des écrivains et des philosophes, dont Voltaire, l’abbé Terrasson, Rothelin , le ministre de la Justice Chauvelin, Jean-François Melon, Jean-Baptiste de Montulli, le marquis de Lassay et le fils de Léon de Madaillan de Lesparre, comte de Lassay et de nombreux autres qui sont venus s’installer près de son domicile.
Ninon de Lenclos également eu lieu dans sa vieillesse, un salon où les femmes du monde et de la cour, comme Marguerite de la Sablière, Marie Anne de Bouillon, Marie-Angélique de Coulanges, Anne-Marie de Cornuel, etc. sont venus rejoindre le cercle de ses admirateurs. Françoise de Maintenon, à l’époque où elle était l’épouse de Scarron a également organisé une exposition qui a gagné une grande notoriété. Dans les salons de l’Hôtel d’Albret et de Richelieu d’au dernier, qui a donné un rendez-vous toutes les personnes de distinction, brillant Marie de Sévigné, Marie-Madeleine de La Fayette, Marie-Angélique de Coulanges.
Depuis le début du XVIIIe siècle, on trouve le salon de la duchesse a ouvert dans le château de Sceaux, où elle a accueilli les écrivains et les artistes, mais aussi donné les nuits de Noël costumée. Elle était, selon la remarque d’un écrivain, le temple de la frivolité galanterie délicate et gracieuse, elle avait un contraste piquant, au Palais de Versailles ou désactiver les années sombres de Louis XIV à son déclin. Malézieu Genest et le Père a présidé divertissements littéraires que la duchesse a offert ses plus fidèles habitués qui comprenait ‘l’ordre de l’abeille à miel’, que les courtisans spirituels avaient imaginé en son honneur.Parmi les person
nes intelligentes que nous avons vu du Timbre de Noël, ont été distingués, avant tout, Fontenelle, La Motte et Houdar Chaulieu.The Maid of the Launay duchesse Marguerite de, baronne de Staal avenir, fut bientôt sortir et joué son rôle dans la société amicale dans laquelle vous pouvez aussi frotter Voltaire, Emilie du Châtelet, Marie Du Deffand, Montesquieu, d’Alembert le président Hénault, le futur cardinal de Bernis, Henri François d’Aguesseau, le poète Jean-Baptiste Rousseau, le dramaturge Antoine Houdar de la Motte, Saint- . Aulaire, l’abbé Mably, le cardinal de Polignac, Charles-Auguste de La Fare, l’helléniste André Dacier, abbé de Vertot, le comte de Caylus, etc ..
Dans le même temps, le salon d’Anne-Thérèse Courcelles, marquise de Lambert, le plus grave et plus populaire, en partie, par les mêmes auteurs, a ouvert en 1710 et seulement fermé en 1733. La plupart des clients sont ensuite réunis dans le célèbre salon de Mme de Tencin, qui a brillé jusqu’à la mort de ce dernier en 1749. La marquise de Lambert a reçu tous les mardis. «C’était, dit Fontenelle, la seule maison qui a été préservée de la maladie épidémique du jeu, le seul où il était raisonnable de parler les uns aux autres, avec l’esprit et l’occasion.’Il a montré en particulier avec Houdar Fontenelle et La Motte, Le Père Mongault, l’arpenteur de Dortous de Mairan, l’abbé de Bragelonne et président Hénault. C’est le mardi de la marquise de Lambert qui ont été discutés avant d’être livré au public, les questions de la supériorité des modernes sur les anciens, à l’inutilité de la poésie pour la poésie, l’absurdité d’obstacles personnifications mythologiques aux règles sans autre valeur que leur ancienneté apporté au libre jeu de l’intelligence, des questions dont les critiques de l’époque fait l’objet de nombreuses controverses.
Le salon de l’Hôtel de Sully, qui a également ouvert dans la première partie du XVIIIe siècle, n’est pas moins digne d’attention par la manière dont il a été détenu et les personnages qui s’y retrouvent. «L’esprit, la naissance, le bon goût, le talent, dit le rédacteur en chef du Journal des débats, Jean-François Barrière, leur donna un rendez-vous. Jamais, il semblerait, n’était pas meilleure entreprise choisie, ni de connaissances plus variées se montra sans pédanterie, et de liberté qui lui permettant semblait tempérée par convenances morales.«Les habitués de cet hôtel étaient Chaulieu, Fontenelle, Caumartin, le comte d’Argenson, le président Hénault, Voltaire et le chevalier Ramsay, la marquise Marie de Villars, la marquise de Flamarens Agnès Anne, duchesse Amélie de Gontaut etc.
Parmi les nombreux salons littéraires ont été ouverts à Paris dans le milieu du XVIIIe siècle, il faut citer d’abord celle de l’Deffand marquise Marie du, dont le rare et forte parce qu’elle a dans les négociations et les discussions qu’elle a présidé a été encouragé par Voltaire comme suit:
La société qui s’est réuni, de 1749 à la marquise de Deffand, rue Saint-Dominique, dans l’ancien couvent des Sœurs de Saint Joseph, a été soudainement réduite par sa querelle et sa rupture avec sa nièce Julie de Lespinasse naturelles, qui a servi comme sa dame de compagnie, car elle porte avec elle la plupart des écrivains, en particulier l’encyclopédie, d’Alembert à l’esprit, quand il a ouvert en 1764, son propre salon où madame rue de Bellechasse de Luxembourg avait fait de lui un appartement meublé.Les contemporains sont plein d’éloges pour le tact parfait avec lequel Julie de Lespinasse, dont le duc de Choiseul lui donna une pension sur sa cassette et que Marie-Thérèse avait Geoffrin, à son tour, une pension de 3000 francs, a été capable de garder son salon . Trente à quarante personnes se sont rassemblées dans la soirée à la maison, seulement pour cause, car elle avait un revenu trop faible pour leur donner le souper. Elle a dirigé la conversation avec un art admirable, afin que chacun puisse tourner et son rôle, et pourtant, en dehors des amis de d’Alembert, son cercle n’était pas composé de personnes liées entre elles. On a dit que la marquise du Deffand était le siècle avant Jean-Jacques Rousseau et Julie de Lespinasse siècle après l’invasion du roman en toutes choses.
Le salon de Marie-Thérèse Geoffrin, qui a pris la plupart des invités de Mme de Tencin, a moins d’importance littéraire et d’un noble bienfaiteur faisant usage de sa fortune, ramener chez eux ceux à qui elle était d’aider, mais en gardant, sous une apparence de douceur , les façons despotiques d’agir, comme pour rappeler le bien qu’elle avait fait. Elle a essayé d’éviter les imprévus de la conversation, en mettant toujours ensemble les mêmes personnes, et divisé les habitués de son salon en trois catégories.Ont été admis les gens le soir de la noblesse et les étrangers de distinction. Ils pourraient rester pour le dîner, qui était très simple, tandis que le dîner, qui était contraire à la somptueuse, a été le moment où elle a reçu son guests.On lundi, il a reçu les artistes, peintres, sculpteurs, architectes, mercredi, les hommes de lettres et de universitaires parmi lesquels en particulier Diderot, d’Alembert, Dortous de Mairan, Marmontel, Raynal, Saint-Lambert, Thomas, d’Holbach D ‘, comte de Caylus, etc.
En plus de ces trois salons du XVIIIe siècle, il y avait encore ceux de Louise d’Épinay, de Quinault Cadette et Doublet en persan. Nous avons vu dans le salon de Louise d’Épinay, qui a été limité à un petit cercle d’écrivains et de philosophes les plus éclairés, le baron Grimm, Diderot et d’Holbach.Les réunions de ce qu’on a appelé la Société de l’extrémité du banc, debout dans l’actrice distinguée de la Comédie-Française, bien connue dans le monde littéraire, Jeanne-Françoise Quinault, Quinault Cadette déclaré inclus un grand nombre de quantités utilisées, parmi lesquelles étaient des hommes de lettres comme d’Alembert, Diderot, Duclos, Rousseau, Destouches, Marivaux, Caylus, Voltaire, Piron, Voisenon, Grimm, Lagrange-Chancel, Collé, Moncrif, Grimod de La Reynière, Crébillon fils, Saint-Lambert, Fagan de Lugny , l’abbé de La Marre, Destouches Knight et les hommes du pouvoir comme Maurepas, Honoré-Armand de Villars, le duc de Lauragais, le duc d’Orléans, le Grand Prieur d’Orléans, le marquis de Livry, Antoine Fériol de Pont-de-Veyle etc. La conversation a eu lieu principalement à la table pour le dîner. Dans le milieu de la table était un encrier, chacun des convives sont servis à tour de rôle pour écrire un impromptu. De là est venu les livres publiés sous le titre de Collection ces messieurs et à essayer les John.These Saint productions étaient petites mais la plus petite partie de ce qui était en fin de l’entreprise de la banquette. La philosophie a une place importante dans ses repas quand il a émis le plus audacieux des idées sur des questions religieuses ou politiques jusqu’à ce que la société est devenue si nombreuse avait dîners de se démarquer.Les philosophes ont expulsé les poètes, la gaieté a disparu, et la société a été dissoute.
Situé dans un appartement hors du couvent des Filles St. Thomas, dont l’hôtesse, madame Doublet Persique, ne franchit pas le seuil une fois dans l’espace de quarante ans ressemblait à la situation qu’il a occupé à ceux de la marquise de Sable et la marquise du Deffand. Il s’agit de la réunion du ‘bureau d’esprit», qui a reçu la «paroisse» a eu lieu à la maison, qui a laissé les nouvelles-et célèbre une grande partie des Mémoires secrets Bachaumont.Do pas oublier le salon de la marquise de Turpin, où il ont été Favart, Voisenon et Boufflers, et où ils ont fondé l’Ordre de la Table ronde, qui a produit un petit livre intitulé Le Jour de l’Amour.
Enfin, à la veille de la Révolution, il ya encore place Suzanne Necker, où Germaine de Staë
l, quand l’enfant prodige, parler à Grimm, Thomas Raynal, Gibbon, Marmontel et le salon d’Anne-Catherine Helvétius si elle est connue par le nom de «Société d «Auteuil», qui rassemblait Condillac, d’Holbach, Turgot, Chamfort, Cabanis, Morellet, Destutt de Tracy, et ainsi de suite.
Clubs de Cercles, bureaux d’esprit, les entreprises, sous l’Ancien Régime
Légèrement derrière l’apparence d’aristocrates et intellectuels modernes qui défient les conventions sociales de leur temps à apparaître intellectuelle ouverte à des plus grands esprits de son temps mêlant leurs salles de séjour des politiciens, des universitaires et des scientifiques des deux sexes et tous les termes. Instruites et, la plupart des l’époque, les écrivains eux-mêmes, ils maintiennent une volumineuse correspondance avec tout le temps que l’Europe pourrait compter des esprits ouverts: la seule correspondance de Marie de compte Deffand, par exemple, des lettres 1400. Le plus célèbre de ces correspondances est celle de Marie de Sévigné. Ces rencontres un assez grand nombre d’esprits d’élite ou des personnes liées à la «bonne société» qui a existé jusqu’en début du XIXe siècle formé de nombreux centres, foyers que la connaissance littéraire est essentiel de comprendre en détail et les nuances de l’histoire de la littérature. Comme les salons littéraires furent presque toujours dirigées par des femmes, l’histoire de la première ne peut être considérée indépendamment de la seconde. Il est dans la salle des femmes distinguées par l’esprit, goût et de tact qui a pris l’habitude de la conversation et est né l’art de la fonction de chat de la société française.Ces spectacles, où nous avons parlé des belles choses en général, et surtout des choses de l’esprit exercé une influence considérable sur la moralité et la littérature.
Le premier salon littéraire fut celui de l’Hôtel de Rambouillet, dont la formation a été en 1608 et a duré jusqu’à la mort de sa logeuse, Catherine de Rambouillet, appelé «Arthénice» en 1659. D’autres réunions moins célèbres mais néanmoins digne de mention, existait au XVIIe siècle, non compris les rues, réduits et alcôves, où précieuses et précieuses ont essayé d’imiter l’Hôtel de Rambouillet.
Sous Louis XIII, on trouve le salon de Marie-des-Loges Bruneau, que ses admirateurs appelé la dixième muse, qui Conrart, a déclaré:
‘Elle a été honorée, visitée et divertir tous les plus importants, sans en excepter les plus grands princes et princesses les plus célèbres … Tout semblait muses résider sous sa protection et l’honneur, lui et sa maison a été une académie ordinaire.’
Balzac, Malherbe, Beautru fréquenté la maison et surtout parmi les grands personnages qui ont montré leur estime Marie Bruneau des Loges, nous avons remarqué le roi de Suède, duc d’Orléans et le duc de Weimar.
Vers le milieu du XVIIe siècle, le salon de Madeleine de Scuderi, qui accède à la notoriété. Les frondes des deux troubles ont dispersé la plupart des habitués de l’Hôtel de Rambouillet, la réforme de cet écrivain dans sa maison dans la rue de Beauce, dans le Marais. Aumônier est venu ici, Conrart, Pellisson, Ménage, Sarrasin, Isarn, Godeau, le duc de Montausier, la comtesse de la Suze, la marquise de Sablé, la marquise de Sévigné, Mme de Cornuel, aragonais, etc.
Dans les réunions, qui a eu lieu le samedi, il y avait le flirt et raffinée. On pouvait y lire des petits morceaux de poésie, nous discutions des mérites et des lacunes de la littérature récente, nous allons commenter longuement, et souvent avec une touche d’humour, des choses de moindre valeur et moins importance.During ces conversations, les dames qui travaillent dans les ajustements de deux poupées a été appelé le grand et le petit ver, qui étaient destinées à servir de modèles à la mode. Chacun d’eux avait un surnom utilisé, presque toujours issus de Conrart romans appelé ‘Théodamas’ Pélisson, ‘Acanthe’ Sarrasin ‘, polyandres’ Godeau, «Mage de Sidon’ Aragon ‘princesse Philoxène’ Madeleine de Scudéry, «Sapho».
Le plus célèbre était Samedi 20 Décembre 1653, a été appelé la «Journée des madrigaux’ Conrart avait offert ce jour-là, un timbre avec un madrigal de cristal envoyer l’hôtesse qui a répondu à une autre madrigal, et les personnes présentes, l’émulation piquant, improvisé à son tour une série des madrigaux. C’était à une autre réunion le samedi que la carte a été développée tendres, puis transporté par Madeleine de Scuderi dans la Clélie roman.
Une autre réunion a eu lieu à la marquise de Sablé, où elle a été retirée en haut du faubourg Saint-Jacques de vivre dans un appartement appartenant au monastère de Port-Royal. ‘Dans cette demi-retraite, dit Sainte-Beuve, qui avait un jour au couvent et une porte entrouverte sur le monde nouveau, ce vieil ami de La Rochefoucauld, toujours-pensée et s’intéresse à tout, continué à se réunir autour d’elle, jusqu’à ce que l’année 1678, où elle mourut, les noms des amis les plus distingués et les plus diversifiés anciens restés fidèles, qui venaient de loin, la ville ou la cour, pour la visite, la population semi-isolée dans le monde, comme elle, dont l’esprit avait seulement rehausser la beauté et aiguiser la retraite de la profession solitaire, elle a déchiré parfois, à force d’obsession gracieuse, leur vœu de silence. ‘
La comtesse de Verrue, un ancien favori de la Seconde duc Victor-Amédée de Savoie, un ami de la littérature, les sciences et les arts, aussi sa accueillis à l’Hôtel Hauterive, une entreprise de sélectionner des écrivains et des philosophes, dont Voltaire, l’abbé Terrasson, Rothelin , le ministre de la Justice Chauvelin, Jean-François Melon, Jean-Baptiste de Montulli, le marquis de Lassay et le fils de Léon de Madaillan de Lesparre, comte de Lassay et de nombreux autres qui sont venus s’installer près de son domicile.
Ninon de Lenclos également eu lieu dans sa vieillesse, un salon où les femmes du monde et de la cour, comme Marguerite de la Sablière, Marie Anne de Bouillon, Marie-Angélique de Coulanges, Anne-Marie de Cornuel, etc. sont venus rejoindre le cercle de ses admirateurs. Françoise de Maintenon, à l’époque où elle était l’épouse de Scarron a également organisé une exposition qui a gagné une grande notoriété. Dans les salons de l’Hôtel d’Albret et de Richelieu d’au dernier, qui a donné un rendez-vous toutes les personnes de distinction, brillant Marie de Sévigné, Marie-Madeleine de La Fayette, Marie-Angélique de Coulanges.
Depuis le début du XVIIIe siècle, on trouve le salon de la duchesse a ouvert dans le château de Sceaux, où elle a accueilli les écrivains et les artistes, mais aussi donné les nuits de Noël costumée.Elle était, selon la remarque d’un écrivain, le temple de la frivolité galanterie délicate et gracieuse, elle avait un contraste piquant, au Palais de Versailles ou désactiver les années sombres de Louis XIV à son déclin. Malézieu Genest et le Père a présidé divertissements littéraires que la duchesse a offert ses plus fidèles habitués qui comprenait ‘l’ordre de l’abeille à miel’, que les courtisans spirituels avaient imaginé en son honneur. Parmi les personnes intelligentes que nous avons vu du Timbre de Noël, ont été distingués, avant tout, Fontenelle, La Motte et Houdar Chaulieu.The Maid of the Launay duchesse Marguerite de, baronne de Staal avenir, fut bientôt sortir et joué son rôle dans la société amicale dans laquelle vous pouvez aussi frotter Voltaire, Emilie du Châtelet, Marie Du Deffand, Montesquieu, d’Alembert le président Hénault, le futur cardinal de Bernis, Henri François d’Aguesseau, le poète Jean-Baptiste Rousseau, le dramaturge Antoine Houdar de la Motte, Saint- . Aulaire, l’abbé Mably, le cardinal de Polignac, Charles-Auguste de La Far
e, l’helléniste André Dacier, abbé de Vertot, le comte de Caylus, etc ..
Dans le même temps, le salon d’Anne-Thérèse Courcelles, marquise de Lambert, le plus grave et plus populaire, en partie, par les mêmes auteurs, a ouvert en 1710 et seulement fermé en 1733. La plupart des clients sont ensuite réunis dans le célèbre salon de Mme de Tencin, qui a brillé jusqu’à la mort de ce dernier en 1749. La marquise de Lambert a reçu tous les mardis. «C’était, dit Fontenelle, la seule maison qui a été préservée de la maladie épidémique du jeu, le seul où il était raisonnable de parler les uns aux autres, avec l’esprit et l’occasion.’ Elle a montré en particulier avec Houdar Fontenelle et La Motte , le Père Mongault, l’arpenteur des Dortous de Mairan, l’abbé de Bragelonne et président Hénault. C’est le mardi de la marquise de Lambert qui ont été discutés avant d’être livré au public, les questions de la supériorité des modernes sur les anciens, à l’inutilité de la poésie pour la poésie, l’absurdité d’obstacles personnifications mythologiques aux règles sans autre valeur que leur ancienneté apporté au libre jeu de l’intelligence, des questions dont les critiques de l’époque fait l’objet de nombreuses controverses.
Le salon de l’Hôtel de Sully, qui a également ouvert dans la première partie du XVIIIe siècle, n’est pas moins digne d’attention par la manière dont il a été détenu et les personnages qui s’y retrouvent. «L’esprit, la naissance, le bon goût, le talent, dit le rédacteur en chef du Journal des débats, Jean-François Barrière, leur donna un rendez-vous. Jamais, il semblerait, n’était pas meilleure entreprise choisie, ni de connaissances plus variées se montra sans pédanterie, et de liberté qui lui permettant semblait tempérée par convenances morales. ‘Les habitués de cet hôtel étaient Chaulieu, Fontenelle, Caumartin, le comte d’Argenson, le président Hénault, Voltaire et le chevalier Ramsay, la marquise Marie de Villars, la marquise de Flamarens Agnès Anne, duchesse Amélie de Gontaut etc.
Parmi les nombreux salons littéraires ont été ouverts à Paris dans le milieu du XVIIIe siècle, il faut citer d’abord celle de l’Deffand marquise Marie du, dont le rare et forte parce qu’elle a dans les négociations et les discussions qu’elle a présidé a été encouragé par Voltaire comme suit:
La société qui s’est réuni, de 1749 à la marquise de Deffand, rue Saint-Dominique, dans l’ancien couvent des Sœurs de Saint-Joseph, a été soudainement réduite par sa querelle et sa rupture avec sa nièce Julie de Lespinasse naturelle de, qui lui servait de dame de compagnie, car elle porte avec elle la plupart des écrivains, en particulier l’encyclopédie, d’Alembert à l’esprit, quand il a ouvert en 1764, son propre salon où madame rue de Bellechasse de Luxembourg avait fait de lui un appartement meublé. Les contemporains sont plein d’éloges pour le tact parfait avec lequel Julie de Lespinasse, dont le duc de Choiseul lui donna une pension sur sa cassette et que Marie-Thérèse avait Geoffrin, à son tour, une pension de 3000 francs, a été capable de garder son salon . Trente à quarante personnes se sont rassemblées dans la soirée à la maison, seulement pour cause, car elle avait un revenu trop faible pour leur donner le souper. Elle a dirigé la conversation avec un art admirable, afin que chacun puisse tourner et son rôle, et pourtant, en dehors des amis de d’Alembert, son cercle n’était pas composé de personnes liées entre elles. On a dit que la marquise du Deffand était le siècle avant Jean-Jacques Rousseau et Julie de Lespinasse siècle après l’invasion du roman en toutes choses.
Le salon de Marie-Thérèse Geoffrin, qui a pris la plupart des invités de Mme de Tencin, a moins d’importance littéraire et d’un noble bienfaiteur faisant usage de sa fortune, ramener chez eux ceux à qui elle était d’aider, mais en gardant, sous une apparence de douceur , les façons despotiques d’agir, comme pour rappeler le bien qu’elle avait fait. Elle a essayé d’éviter les imprévus de la conversation, en mettant toujours ensemble les mêmes personnes, et divisé les habitués de son salon en trois catégories. Ont été admis les gens le soir de la noblesse et les étrangers de distinction. Ils pourraient rester pour le dîner, qui était très simple, tandis que le dîner, qui était contraire à la somptueuse, a été le moment où elle a reçu son guests.On lundi, il a reçu les artistes, peintres, sculpteurs, architectes, mercredi, les hommes de lettres et de universitaires parmi lesquels en particulier Diderot, d’Alembert, Dortous de Mairan, Marmontel, Raynal, Saint-Lambert, Thomas, d’Holbach D ‘, comte de Caylus, etc.
En plus de ces trois salons du XVIIIe siècle, il y avait encore ceux de Louise d’Épinay, de Quinault Cadette et Doublet en persan.Nous avons vu dans le salon de Louise d’Épinay, qui a été limité à un petit cercle d’écrivains et de philosophes les plus éclairés, le baron Grimm, Diderot et d’Holbach. Les réunions de ce qu’on a appelé la société de la fin de l’ banc, debout dans l’actrice distinguée de la Comédie-Française, bien connue dans le monde littéraire, Jeanne-Françoise Quinault, Quinault Cadette déclaré inclus un grand nombre d’utiliser, parmi lesquels se trouvaient des hommes de lettres comme d’Alembert, Diderot, Duclos, Rousseau, Destouches, Marivaux, Caylus, Voltaire, Piron, Voisenon, Grimm, Lagrange-Chancel, Collé, Moncrif, Grimod de La Reynière, Crébillon fils, Saint-Lambert, Fagan de Lugny, l’abbé de La Marre, Destouches Knight et des hommes de pouvoir que Maurepas, Honoré-Armand de Villars, le duc de Lauragais, le duc d’Orléans, le Grand Prieur d’Orléans, le marquis de Livry, Antoine Fériol de Pont-de-Veyle etc. La conversation a eu lieu principalement à la table pour le dîner. Dans le milieu de la table était un encrier, chacun des convives sont servis à tour de rôle pour écrire un impromptu. De là est venu les livres publiés sous le titre de Collection ces messieurs et à essayer les John.These Saint productions étaient petites mais la plus petite partie de ce qui était en fin de l’entreprise de la banquette.La philosophie a une place importante dans ses repas quand il a émis le plus audacieux des idées sur des questions religieuses ou politiques jusqu’à ce que la société est devenue si nombreuse avait dîners de se démarquer. Les philosophes ont expulsé les poètes, la gaieté a disparu, et la société a été dissoute.
Situé dans un appartement hors du couvent des Filles St. Thomas, dont l’hôtesse, madame Doublet Persique, ne franchit pas le seuil une fois dans l’espace de quarante ans ressemblait à la situation qu’il a occupé à ceux de la marquise de Sable et la marquise du Deffand. Il s’agit de la réunion du ‘bureau d’esprit», qui a reçu la «paroisse» a eu lieu à la maison, qui a laissé les nouvelles-et célèbre une grande partie des Mémoires secrets Bachaumont.Do pas oublier le salon de la marquise de Turpin, où il ont été Favart, Voisenon et Boufflers, et où ils ont fondé l’Ordre de la Table ronde, qui a produit un petit livre intitulé Le Jour de l’Amour.
Enfin, à la veille de la Révolution, il ya encore place Suzanne Necker, où Germaine de Staël, quand l’enfant prodige, parler à Grimm, Thomas Raynal, Gibbon, Marmontel et le salon d’Anne-Catherine Helvétius si elle est connue par le nom de «Société d «Auteuil», qui rassemblait Condillac, d’Holbach, Turgot, Chamfort, Cabanis, Morellet, Destutt de Tracy, et ainsi de suite.
Cercles et «salons» de la Révolution à la Restauration
Contrairement à ce que certains historiens rapportés, n’ont jamais abusé cercles chambres nommés – le mot apparaît au XIXe siècle, notamment sous la plume de la duchesse d’Abrantès Laure Junot – et de sociabilité ont été plus importantes en France
et en Europe à la fin de la eighteenthcentury et début du XIXe siècle. Il ya encore à cette époque plusieurs expressions pour décrire ce qui fut plus tard appelé «salons littéraires». Il parlait couramment en effet sous Louis XVI de «bureaux d’esprit» pour se référer à une réunion à intervalles réguliers dans une dame du monde, et a utilisé le formulaire de «société».
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