Salon litteraire
Un salon littéraire est un rassemblement d’hommes et de femmes de lettres, se réunissant régulièrement dans un milieu intellectuel, souvent banales, pour discuter des nouvelles de la journée en question, la philosophie, la littérature, la morale, etc. Avant le XIXe siècle, que nous appelons de telles réunions de la société, cercle, cercle ou bulle de fou.
Avant le règne de Louis XIV, existait déjà, mais pas les salons de groupes littéraires. Le plus célèbre fut celle de Malherbe Boileau, qui a salué l’arrivée. Ce spectacle a été jugé ne pas aider, mais pour détruire ses contemporains. Par exemple, Racan, voyant que Malherbe avait éliminé environ une page sur deux a récemment publié un livre, fait l’erreur de demander si le reste était bon. Ce, d’abord interloqué, a passé la première heure de leur réunion de supprimer toutes les pages qui avaient échappé au premier massacre.
Puis il ya eu jusqu’à ce que le début du XIXe siècle, plusieurs réunions d’esprits d’élite ou des personnes liées à la ‘bonne société’, qui a formé de nombreux centres, foyers littéraires dont la connaissance est essentielle pour comprendre dans ses détails et les nuances de l’histoire de la littérature.Comme les salons littéraires furent presque toujours dirigées par des femmes, l’histoire de la première ne peut être considérée indépendamment de secondes qui distingue l’esprit, le goût et l’aide directe tact.Pour leur chambre qu’ils emploient serviteurs habillés des vestes et des bérets blancs e pour aider à servir des boissons , des livres … En outre, ils paient un philosophe de lancer des débats, des discussions, des livres actuels et amener les participants.
Il est dans leur salon qui a pris l’habitude de la conversation, et il est né l’art de la fonction de chat de la société française. Ces spectacles, où nous avons parlé de belles choses en général, et surtout des choses de l’esprit exercé une influence considérable sur la moralité et la littérature scientifique la première réunion de ce genre fut celui de l’Hôtel de Rambouillet, dont la formation a été en 1608 et a duré jusqu’à la la mort de son hôtesse, Catherine de Rambouillet, appelé «Arthénice» en 1659. Cette exposition réunit les grands écrivains de l’époque: Malherbe, Racan, Vaugelas, Voiture, Corneille, La Rochefoucauld, Mme de Sévigné, Mme de La Fayette, etc.
Le deuxième salon littéraire à émerger est celui de Conrart ne date que de 1629.Malgré cela, comme cela a été une exposition des hommes, la réunion est devenue littéraires privé, après quelques années, sous la protection de Richelieu, et malgré une certaine résistance, avec Boisrobert et aumônier, un organisme officiel dont les l’Académie française.
Vers le milieu du XVIIe siècle, l’abbé était une réunion d’Aubignac littéraires, il serait également une Académie. Il écrit à ce sujet un discours devant le roi sur l’établissement d’une académie de seconde dans la ville de Paris (1664) qui ont cherché le titre de «Royal Academy» Mais ni le roi ni les ministres ont pris soin de ces objectifs ambitieux, cependant, avec l’appui le dauphin, le protecteur de l’abbé.
Madeleine de Scuderi en 1652 a créé son propre salon littéraire. La plupart des célébrités de l’époque honorée régulièrement ‘Mademoiselle de Scuderi samedi’ de leurs conversations galantes et érudit.
Scarron, dont le style burlesque autant que sa date était souvent épigrammes amères ont traversé les siècles pour nous, a ouvert au début du règne de Louis XIV, un salon qui a acquis une grande visibilité après son mariage avec Françoise d’Aubigné, future Madame Mme de Maintenon où seize années vieux.Son amitié avec Ninon de Lenclos, elle l’a pris sous sa protection, et la légèreté de leur jeunesse a rapidement attiré mondains et les esprits et, enfin, l’élite intellectuelle de l’époque.
Le XVIIIe siècle a été le salon de la baron d’Holbach, «le premier dispensateur de la philosophie’ qui a rencontré avec Diderot, d’Alembert, Helvétius, Marmontel, Raynal, Grimm, l’abbé Galiani, etc. Nous pouvons dire que l’Encyclopédie est né à cette réunion, Rousseau, appelé après sa rupture avec les Lumières, la «holbachique club» dont Morellet, qui avait aussi son propre cercle, a écrit que ‘Il dit des choses à tonner le bas d’une centaine de fois au cours la maison, s’il tombait pour cela. ‘
Un salon célèbre dans le XIXe siècle fut celui de Charles Nodier à la bibliothèque de l’Arsenal où étaient les hommes les plus illustres dans le monde de la littérature et l’art que la France a produit au cours du XIXe siècle. À l’arrivée au poste de bibliothécaire de Monsieur, pour remplacer le Père Grosier, Nodier a conduit Arsenal à la galaxie brillante d’écrivains et d’artistes de l’école romantique, qui a trouvé dans son aînée vingt à trente ans, un guide et de soutien.Victor Hugo, Lamartine, Alfred de Musset, Alexandre Dumas, Balzac, Sainte-Beuve, Alfred de Vigny, Emile Deschamps, Jules Janin, Eugène Delacroix, le Johannot frères, Robert-Fleury, Liszt, Amable Tastu, et beaucoup plus ont été les habitués de ce spectacle sur le premier étage de l’Arsenal.
Sous la Troisième République, à Paris, de nombreux salons littéraires ont été créés: celui de la princesse Mathilde, la comtesse Potocka, Juliette Adam, Geneviève Halévy Rosalie von Gutmann ou, comtesse de Fitz-James. Nous rencontrons des hommes de lettres tels que Marcel Proust, Paul Bourget, Paul Hervieu, Jules Lemaître, Robert de Montesquiou ou de Maupassant.
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Lorsque David lui apparut en rêve, Raj se retrouve jeté dans son enfance: les champs de canne, un père à la violence prévisible, la tendresse maternelle, jouant près de la rivière avec ses frères, le soleil brûlant, les pluies torrentielles. Un bonheur précaire balayé par un cyclone, et l’installation de la famille près de la prison où vivent les réfugiés mystérieux.
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