Recherche livre
Google Livres, Google ou en anglais, est un service en ligne donnant accès à des livres numérisés. Autrefois appelé Google Print, le début de la numérisation des livres a été annoncé par Google en Décembre 2004. Avec des moyens considérables, cette bibliothèque virtuelle ont été plus de sept millions de livres en Novembre 2008. Google numérise des livres de nombreuses universités américaines et de toutes origines et de les distribuer ensuite sur ses serveurs. Droit d’auteur nécessitent, certains ne sont que partiellement publiée. Pour l’instant, les livres imprimés entre 1839 et 1922 sont rarement disponibles dans leur intégralité pour les utilisateurs basés hors des Etats-Unis. En 2010, 15 millions de livres ont déjà été numérisés dans la bibliothèque numérique, mais seulement 3 millions sont disponibles (Etats-Unis).
Justice
Le vendredi, Septembre 18, 2009, les Etats-Unis Département de la Justice a demandé à un juge fédéral à New York de ne pas valider, en Octobre 2009, un accord entre Google et les syndicats d’éditeurs et d’auteurs pour le groupe internet américain à numériser des millions de livres et fournit que Google va recevoir 37% des bénéfices liés aux opérations d’investissements en ligne, les auteurs et les éditeurs reçoivent 63%.Dans le document envoyé à la nouvelle cour York, qui doit se prononcer sur l’accord, le ministère indique qu’il soulève des questions concernant le droit d’auteur et d’abus de position dominante. Après l’audience jeudi, 18 Février 2010 à New York, le juge fédéral Denny Chin a reporté sa décision de garder «l’esprit clair’ pour l’écriture. Le juge a répété l’opinion exprimée par un plaignant, Sarah Canzeroni, les livres de la Guilde (américain) pour les enfants, que l’objectif de Google, plutôt que de créer une «grande bibliothèque» numérique est d’ouvrir ‘un magasin’ Il aurait un monopole. Le gouvernement américain et d’autres plaignants ne contestent pas le principe de la numérisation des livres, mais la plupart citent le risque d’entente monopolistique flagrante signé par Google et à droite une entorse au droit d’auteur qu’elle implique. Par exemple, un avocat de Microsoft a affirmé que Google aurait pratiquement garanti l’accès à tout livre publié depuis 1923, et serait bénéfique, entre autres, une connaissance des goûts Internet exclusif à la lecture – un avantage considérable pour la publicité des annonceurs. Le 22 Mars 2011, le juge Chin a rejeté l’accord conclu entre Google et les éditeurs, qui comprend le règlement de leur différend sur le projet Google Books. L’affaire doit être portée à nouveau le 25 avril 2011.
Jeudi, Septembre 24, 2009, le groupe La Martinière (propriétaire des Éditions du Seuil) a attaqué Google en justice en France, en disant: «Le système de Google est illégal, il est dangereux et dommageable pour les éditeurs accent sur contraires aux commerciaux dimension du service ‘Google est gratuit, gratuit pour l’utilisateur, mais pas pour l’annonceur», ce qui permet à la firme américaine à payer, et seulement elle. L’avocat a demandé 15 millions d’euros en dommages et intérêts pour sa cliente, d’une amende de 100.000 euros par jour et par infraction: «Les dégâts sont considérables, car elle est irréversible. Comment revenir en arrière?». L’avocat de Google a contesté la compétence des tribunaux français au motif que la numérisation des livres serait aux États-Unis, et a ajouté:’ Quel est Google est absolument légal. Nous n’avons jamais nié que les Editions du Seuil détiennent les droits sur le papier fonctionne, mais ils n’ont jamais prouvé qu’ils avaient le droit aux versions numériques de ces oeuvres. ‘La décision a été adopté le vendredi 18 Décembre:Le tribunal de grande instance de Paris a interdit au groupe américain de poursuivre la numérisation et la diffusion d’œuvres sans autorisation des auteurs et des éditeurs, des exécutables, après un mois avec 10 € 000 par jour de retard à la fin de cette période, ainsi que condamnée à payer 300.000 euros de dommages et intérêts à La Martinière. Les auteurs et les éditeurs ne veulent pas couper tout lien avec le géant américain: «Nous avons besoin de Google pour numériser s’arrête derrière notre dos et comprendre que nous sommes prêts à parler», explique Eyrolles, le président de l’Union nationale de l’édition (SNE). ‘Il se pourrait bien scannés correctement», affirme Absire, le président de la compagnie des hommes de lettres de France (SGDL), qui cite le projet Gallica, mené par la Bibliothèque nationale de France, «Gallica garantit que l’auteur accepte que les ses livres à numériser. D’après ce qu’il accepte de rencontrer certaines normes de qualité. ‘
Mars 31, 2010, nous apprenons pour Gallimard de poursuivre Google pour son service.
Justice
Le vendredi, Septembre 18, 2009, les Etats-UnisMinistère de la Justice a demandé à un juge fédéral à New York de ne pas valider, en Octobre 2009, un accord entre Google et les syndicats d’éditeurs et d’auteurs à l’Internet du groupe américain à numériser des millions de livres et prévoit que Google va recevoir 37% des bénéfices liés à opérations dans les investissements en ligne, les auteurs et les éditeurs reçoivent 63%. Dans le document envoyé à la nouvelle cour York, qui doit se prononcer sur l’accord, le ministère indique qu’il soulève des questions concernant le droit d’auteur et d’abus de position dominante. Après l’audience jeudi, 18 Février 2010 à New York, le juge fédéral Denny Chin a reporté sa décision de garder «l’esprit clair’ pour l’écriture. Le juge a répété l’opinion exprimée par un plaignant, Sarah Canzeroni, les livres de la Guilde (américain) pour les enfants, que l’objectif de Google, plutôt que de créer une «grande bibliothèque» numérique est d’ouvrir ‘un magasin’ Il aurait un monopole. Le gouvernement américain et d’autres plaignants ne contestent pas le principe de la numérisation des livres, mais la plupart citent le risque d’entente monopolistique flagrante signé par Google et à droite une entorse au droit d’auteur qu’elle implique.Par exemple, un avocat de Microsoft a affirmé que Google aurait pratiquement garanti l’accès à tout livre publié depuis 1923, et serait bénéfique, entre autres, une connaissance des goûts Internet exclusif à la lecture – un avantage considérable pour la publicité des annonceurs. Le 22 Mars 2011, le juge Chin a rejeté l’accord conclu entre Google et les éditeurs, qui comprend le règlement de leur différend sur le projet Google Books. L’affaire doit être portée à nouveau le 25 avril 2011.
Jeudi, Septembre 24, 2009, le groupe La Martinière (propriétaire des Éditions du Seuil) a attaqué Google en justice en France, en disant: «Le système de Google est illégal, il est dangereux et dommageable pour les éditeurs accent sur contraires aux commerciaux dimension du service ‘Google est gratuit, gratuit pour l’utilisateur, mais pas pour l’annonceur», ce qui permet à la firme américaine à payer, et seulement elle. L’avocat a demandé 15 millions d’euros en dommages et intérêts pour sa cliente, d’une amende de 100.000 euros par jour et par infraction: «Les dégâts sont considérables, car elle est irréversible. Comment revenir en arrière?». L’avocat de Google a contesté la compétence des tribunaux français au motif que la numérisation des livres serait aux États-Unis, et a ajouté:’Quel est Google est absolument légal. Nous n’avons jamais nié que les Editions du Seuil détiennent les droits sur le p
apier fonctionne, mais ils n’ont jamais prouvé qu’ils avaient le droit aux versions numériques de ces oeuvres.’ La décision a été adopté le vendredi 18 Décembre Le tribunal de grande instance de Paris a interdit au groupe américain de poursuivre la numérisation et la diffusion d’œuvres sans autorisation des auteurs et des éditeurs, des exécutables, après un mois avec 10 € 000 par jour de retard à la fin de cette période, ainsi que ordonné de payer 300.000 euros de dommages et intérêts à La Martinière. Les auteurs et les éditeurs ne veulent pas couper tout lien avec le géant américain: «Nous avons besoin de Google pour numériser s’arrête derrière notre dos et comprendre que nous sommes prêts à parler», explique Eyrolles, le président de l’Union nationale de l’édition (SNE). ‘Il se pourrait bien scannés correctement», affirme Absire, le président de la compagnie des hommes de lettres de France (SGDL), qui cite le projet Gallica, mené par la Bibliothèque nationale de France, «Gallica garantit que l’auteur accepte que les ses livres à numériser. D’après ce qu’il accepte de rencontrer certaines normes de qualité. ‘
Mars 31, 2010, nous apprenons pour Gallimard de poursuivre Google pour son service.
Accords signés
Jusqu’en Mars 2010, Google a réussi à conclure des accords avec quarante bibliothèques de numérisation, dont huit en Europe, par exemple avec la bibliothèque municipale de Lyon (500.000 actions) et la Bibliothèque cantonale et universitaire de Lausanne (100.000 actions). Convoité Google la numérisation d’une partie des fonds de la Bibliothèque nationale de France, mais a été jugée trop «Conquérant», le ministre de la Culture, Frédéric Mitterrand:. ‘Beaucoup ont ouvert la porte par la signature d’accords que je trouve inacceptable Elles sont basées sur une secret excessif, des exclusivités clauses impossibles occasionnel ou abusif en termes de droits d’auteur ‘, at-il dit Le Monde 13 Janvier 2010.
Mercredi, Mars 10, 2010, le gouvernement italien a signé à Rome un accord avec Google pour numériser et mettre en ligne un million de volumes, publiés avant 1860, appartenant à des bibliothèques de Rome et Florence.This C’est la première fois que la firme californienne atteint ce résultat, qui donne également accès à toutes les bibliothèques nationales de la péninsule.
Mardi, 15 Juin 2010 Google et la Bibliothèque nationale d’Autriche a signé un accord pour numériser 400 000 ouvrages libres de droit. Ils totalisent environ 120 millions de pages.
En Juillet 2010, Google et la Bibliothèque royale des Pays-Bas ont annoncé qu’ils avaient conclu un accord pour numériser 160 000 titres du néerlandais XVIIIe et XIXe siècles.
Bibliographie
Sur l’édition indépendante, des livres numériques et Google, nous pouvons lire: Jérôme Vidal, lire et réfléchir ensemble – sur l’avenir de l’édition indépendante et la publicité de la pensée critique (Paris, Editions Amsterdam, 2006, texte publié sous licence Creative Commons et qui sont extraites les points mentionnés ci-dessus), Lucien Polastron, La Grande Numérisation: Y at-il une pensée après le papier? (Paris, Denoël, 2006) de Michel Valensi (Les éditions de l’Eclat), ‘est une grande cuillère pour signer avec Google?’, Alexandre Laumonier (éditions Kargo), «petits éditeurs Google vote» (Libération, 6 Juin 2006) et «non-activité de Google Livres’.
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