Mouvement litteraire du 19 siecle
La littérature française du XIXe siècle se trouve dans une période définie par deux dates: 1799, lorsque le coup d’Etat qui a établi le Consulat de Bonaparte et est une manière de mettre fin à la période révolutionnaire, et en 1899, lorsque la résolution des tensions de l’affaire Dreyfus et la menace du boulanger et, enfin, où les valeurs appropriées de la Troisième République. La modernité littéraire s’affirme dans ce siècle de l’histoire mouvementée avec des courants importants qui affectent les arts, tels que le romantisme, réalisme, naturalisme et symbolisme. Les créateurs de la plus importante, cependant, au-delà d’une étiquette étroites et proposer des œuvres multiples et encore près de nous, en particulier dans le domaine de la poésie (avec Lamartine, Vigny, Musset, Hugo, Baudelaire, Rimbaud, Verlaine, Mallarmé …) tant dans le domaine du roman (avec Stendhal, Balzac, Dumas, Hugo, Flaubert, Zola, Maupassant, Verne …) et dans une moindre mesure dans le théâtre avec le drame romantique et ses partisans (avec Musset, Hugo, Edmond Rostand …).
Siècle, Rich fonctionne toujours proche de nous, la littérature du dix-neuvième siècle, le français demeure un âge d’or de la poésie et le roman, avec de nombreux chefs-d’œuvre qui laissent percevoir, au-delà des courants littéraires réussir, les concepteurs de fortes personnalités artistiques.
La riche littérature du XIXe siècle
La poésie du XIXe siècle
Romantisme
Romance nourrit de la première moitié de la poésie du XIXe siècle et plus précisément les années 1820 – 1850: par convention, les Méditations poétiques de Lamartine en 1820 à Contemplations de Victor Hugo en 1856. Le mouvement esthétique européenne est un endroit spécial dans le lyrisme et l’effusion du moi avec le goût de la mélancolie: les poètes seront ensuite exprimer leur malheur et la souffrance affective de méditation sur la mort, sur Dieu, sur l’amour et le passage du temps, la nature et la gloire , et au-delà de ces thèmes lyriques fonction du poète (Hugo) et une perception fantastique le plus original avec Gérard de Nerval, Charles Nodier ou Aloysius Bertrand traditionnels. Au-delà des thèmes pas toujours novateurs, des poètes romantiques se presse pour la relaxation du verset terme dans la recherche d’une plus grande musicalité et d’audace en quelques mots et en images, surtout Victor Hugo.
Cette nouvelle recherche se fera également par le terme «invention» du poème en prose d’Aloysius Bertrand (1807 – 1841) dans Gaspard de la nuit, publié après sa mort en 1842, où il nous emmène dans un monde de rêve, et introduit une forme qui va reprendre plus tard Baudelaire et Rimbaud.
Poésie d’une certaine sensibilité et la musicalité, la poésie romantique se complaît dans des poèmes plus longue que la prochaine génération trouverez lourds, oratoire, bavard et convenu (Rimbaud parle de «l’ancienne forme’), avec des exceptions notables comme Nerval et sa collection de rêves ( 1854), certains poèmes de cette période sont, cependant, les pièces de référence qui affectent encore le lecteur d’aujourd’hui.
Alphonse de Lamartine (1790-1869): l’initiateur, et les paroles religieuses. Code: Méditations Poétiques (1820) (poèmes:. Le lac – la vallée …) – Harmonies Poétiques et Religieuses (1830).
Alfred de Musset (1810-1857) sensible et émouvant: Nuits (1835-1837).
Alfred de Vigny (1797-1863), métaphysique et sombre: La Destinée (1864) (poèmes: La corne – Moïse – La Mort du Loup – La Maison du Berger …).
Victor Hugo (1802-1885) couvre l’ensemble des formes de poésie siècle. Collections: L’Est (1829) (poème Les Djinns) – les feuilles d’automne (1831) (Ce siècle avait deux ans …) – Les Chants du crépuscule (1835) (les graines) – les voix intérieures (1837) (A Eugene H. Vicomte) – Les Rayons et les ombres (1840) (Fonction du poète – Tristesse d’Olympio – Oceano Nox) – Les Châtiments (1853) (O soldats de l’an deux – Se souvenir de la nuit du 4 – Expiation!:«Il neigeait … / Waterloo’) – Les Contemplations (1856) (Demain dès l’aube … – A Villequier – Le Mendiant – Les mots de la bouche des ténèbres) – La Légende des Siècles (1859-1883) (Conscience: Caïn – Booz endormi – L’aigle du casque – les pauvres).
Gérard de Nerval (1808 – 1855), dense et mystérieuse: La Chimère
Parnasse
En réaction contre l’effusion égocentrique du romantisme, un mouvement se dessine: le Parnasse, qui mettra l’accent sur la poésie du poète et de travail formel développe une théorie de «l’art pour l’art». Cette école, héritière de Théophile Gautier, est représentée principalement par Leconte de Lisle (1818 – 1894) avec ses Poèmes antiques (1852 – 1874) et les barbares Poèmes (1862 – 1878), et Théodore de Banville (1823 – 1891) (Odelettes – Odes en 1857 et de l’animation contemporaine grotesque de la revue du Parnasse).
L’influence de ce mouvement ne doit pas être négligé: la densité et l’expression seront sélectionnés par les poètes suivants et ceci est à dédier Gautier Baudelaire Les Fleurs du Mal et de Théodore de Banville que les jeunes Rimbaud a écrit en 1870.Collection de trophées tardive de José-Maria de Heredia en 1893 reflète également la continuité de l’approche parnassienne, symbolisée par la forme contraignante du sonnet.
Charles Baudelaire (1821 – 1867) est l’un des grands poètes du XIXe siècle. Alliant le désir formel de courts poèmes (ou plutôt court) et le réalisme (une charogne – Tableaux parisiens …) à une expression de l’angoisse partagée entre le Spleen et Idéal (Harmonie du soir – La cloche fêlée – La mort du pauvre, il a un succès «alchimie poétique» exemplaire en extrayant les fleurs du mal dans son livre publié en 1857 (en partie condamné pour obscénité) qui contient ce verset révèle: «Tu m’as donné ta boue j’ai fait de l’or.’ Poète du monde réel de la beauté , le bonheur et la souffrance, la morbidité et le péché, il a fondé en grande partie sur le type du poète tourmenté et inapproprié dans le monde de Baudelaire a été également donné au poème en prose sa réputation avec son petit poème en prose (Le port -. un hémisphère dans une chevelure. ..).
Les poètes du siècle
Les chiffres de Verlaine (1844 – 1896) et Rimbaud (1854 – 1891) étend le type du poète maudit par leur vie en dehors des normes sociales.Si Arthur Rimbaud (Une saison en enfer – Illuminations) reste comme le «voleur de feu’, l’aventurier de lumière et éphémère avec des éclairs de poésie et de la rébellion, Paul Verlaine, avec un plus travailler, est associée à la musicalité, la mélancolie lyrique et un sorte de l’impressionnisme avec son art de la nuance, «Sans lui, pendaison ou l’installation.’ (Poèmes saturniens – Les Galantes – Sagesse …). Ils peuvent ajouter Lautréamont (1846-1870) Les Chants laissant inachevée de Maldoror, prose flamboyante de la rébellion contre Dieu et contre la société qui va découvrir les surréalistes.
Mallarmé (1842 – 1898) recherche pour son raffinement et sa concision, parfois scellé dans une œuvre rare (L’Après-midi d’un faune – Poèmes, à titre posthume du groupe) qui sera l’influence de Paul Valéry.
Les années 1880 ont vu s’affirmer actuelle contours incertains que la décadence et le symbolisme qui partagent l’éclatement de la forme poétique à l’usage du vers libre et le refus de la prestation de la suggestion prosaïque avec un goût pour le raffinement et l’irrationnel. Inclure les noms de Jean Moréas, Henri de Régnier, Albert Samain, Georges Rodenbach. Le fantasme de Jules Laforgue et Charles Cros, parfois pas si loin de la chansons d’Aristide Bruant, lui-même lointain successeur de Béranger.
Le théâtre du XIXe siècle
Le théâtre est un plaisir pour tous les niveaux de la société au cours du XIXe siècle avec une grande variété de lieux et genres.It est aussi le moment de l’extraordinaire renommée en tant qu’acteurs de Talma, Frédérick Lemaître (cf. film de Marcel Carné Les Enfants du Paradis), Marie Dorval, Rachel et Sarah Bernhardt tard.
Le texte théâtral connaît cependant un nouveau bail avec le drame romantique qui est nécessaire au cours d’une décennie de 1830-1840 en affirmant, comme Victor Hugo dans la préface de Cromwell en 1827, une sensibilité esthétique, la liberté et la vérité avec le rejet des règles traditionnelles et la distinction des genres et des tons, la recherche de la couleur locale avec des sujets de l’histoire du XVIe et XVIIe siècles et l’utilisation de prose ou de Victor Hugo, l’Alexandrin libéré. Les oeuvres majeures de cette période sont: Hernani (1830) et Ruy Blas (1838) de Victor Hugo, On ne badine pas avec l’amour (1834) et Lorenzaccio (1834 – non montré) Musset, Chatterton (1835) de Vigny, Kean (1831) et La Tour de Nesle (1832) d’Alexandre Dumas et, plus tard, dans une catégorisation difficile, La Dame aux Camélias d’Alexandre Dumas fils (adapté en 1852 de son propre roman, qui sera également adapté de Zola avec Renée The Cure).
Le drame romantique, complexe de représenter et de mode, puis cèdent la place aux effets forcés mélodrame avec rebondissements et la victoire du bien sur le mal qui en feront un genre populaire avec un grand succès, mais qui n’a pas vraiment de conserver l’histoire littéraire.
D’autres formes de théâtre vivre dans le siècle suivant, pour le théâtre du boulevard par exemple avec des animations de vaudeville et de satire qui combine traditionnel et illustré par Labiche, Feydeau et Courteline. Théâtre musical sera également entrer dans la seconde moitié du siècle, l’opérette et opéra comique qui sont des oeuvres représentatives d’Offenbach.
L’histoire littéraire se souvient des tentatives de renouveler à la fin du siècle, comme le Théâtre Libre et naturaliste regarde dramatique et sombre sur le monde contemporain (Henry Becque: Les Ravens – 1882, Octave Mirbeau: affaires sont les affaires – 1903) ou le théâtre symboliste avec son puissance de suggestion de lettres et poétique (Maeterlinck Pelléas et Mélisande en 1892 qui va de Debussy la musique).
Il conserve aussi quelques autres aspects uniques de la période comme un théâtre burlesque de la provocation par Alfred Jarry (Ubu Roi – 1888), le théâtre à la fois lyrique et épique, avec Alexandrie flamboyante d’Edmond Rostand (Cyrano de Bergerac -1899 L’Aiglon – 1900 ) ou les œuvres de jeunesse, catholique et patriote, de Charles Péguy (Jeanne d’Arc – 1897).
Les romans du XIXe siècle
Le roman va devenir le genre dominant dans sa distribution de masse entretenu par l’éducation publique croissante et le développement de la presse et des feuilletons dans la seconde moitié du siècle. La plupart des auteurs sont de la classe moyenne et vivent maintenant de leur plume (parfois très bien comme Hugo, Zola ou de Maupassant …). Le roman devient un fourre-tout genre autour d’un minimum de base: la prose narrative, une période relativement longue, avec un degré d’imagination et de se concentrer sur des moments de vie de la typologie characters.The est clairement discuté, mais certaines grandes lignes de force sont bien définis .
Le roman de l’auto
Fermer les Mémoires imposante autobiographie illustrée par delà le tombeau de Chateaubriand (1848), le roman autobiographique à la première personne est le début du siècle avec un goût pour les confessions intimes cachés derrière un candidat dans le lyrisme et le narcissisme combinant à explorer le mal de vivre une génération. Il est l’une des contributions importantes du romantisme dans la littérature avec des œuvres telles que personnelle de René (Chateaubriand -1802), Corinne (Madame de Staël -1807), Adolphe (Benjamin Constant -1816) ou La Confession d’un enfant du siècle (Musset – 1836).
Le roman historique
Walter Scott a fait le genre en vogue du roman historique. Les écrivains cultivent la nostalgie et pittoresque avec une vue à la littérature (parfois lourdes) et la recréation du passé, en mélangeant des personnages imaginaires et des événements à caractères historiques et des actions. Certaines copies des titres: Les Chouans (Balzac – 1829), Cinq-Mars (Vigny – 1828), Notre-Dame de Paris (Hugo – 1831), Les Trois Mousquetaires (Alexandre Dumas – 1844), Le Bossu (Paul Féval – 1858) . Le genre se prolonge tout au long du siècle, avec quelques œuvres remarquables comme Le Roman de la momie (Gautier – 1857), Salammbô (Flaubert – 1862), Quatre-vingt-trois (Hugo – 1874) …Il est cependant contestée par le genre de roman voisine de série qui a fait la fortune de la presse et le bonheur des prosateurs comme Eugène Sue avec Les Mystères de Paris (1842-1843) et sa fresque colorée et la société moraliste de l’époque.
Le roman réaliste
Le roman réaliste est une catégorisation discutable, et largement discuté à nouveau aujourd’hui. Mais on peut retenir un objectif esthétique claire: pour produire un «effet de réel» par la peinture avec une attention aux détails et les ensembles de probabilité, les personnages et facts.Expressions de Stendhal (roman = miroir) ou Balzac (auteur de cet historien =) montrent dans la première moitié du siècle un moyen d’approfondir Gustave Flaubert et Maupassant (préface de Pierre et Jean) et Zola et le naturalisme. Le roman du XIXe siècle sera parallèlement un fort accent sur l’apprentissage de nouvelles, accompagnant les débuts dans la vie sociale des personnages.
La fin du siècle, cependant, est marquée par une réaction contre le réalisme considéré comme trop ‘faible’ d’attitude et «idéaliste» associée à un retour à la perspective religieuse avec Huysmans (Rebours – 1884), Léon Bloy (Le Désespéré – 1886 ) ou Maurice Barrès (La -1897 déracinées).D’autres ouvertures apparaissent comme un exotique, impressionniste et réaliste de l’époque de Pierre Loti (Pêcheur Islande-1886) et la naissance de la nouvelle analyse de la «pré-proustienne» avec Paul Bourget (Le Disciple – 1889) et Anatole France (Le Lys Rouge – 1894).
Stendhal (1783-1842) a laissé des romans importants, avec des icônes comme Julien Sorel et Fabrice del Dongo dans Le Rouge et le Noir (1830) et La Chartreuse de Parme (1839), laissant inachevée Lucien Lucien (1835). Entre romantisme et réalisme, l’étiquette qu’on lui attribue est également discutable.
Honoré de Balzac (1799-1850) est un créateur exceptionnel et auteur d’une œuvre immense qu’il a intitulé La Comédie humaine retardée par classer en trois groupes de 91 romans, histoires courtes écrites entre 1829 et 1848. Le plus grand groupe (de loin) est l’étude des mœurs divisé en «scènes de la vie privée» (Père Goriot Le Colonel Chabert …), des «scènes de la vie provinciale» (Eugénie Grandet, Le Lys dans la vallée, Illusions perdues), «scènes de la vie parisienne» (César Birotteau, La Cousine Bette, …), des «scènes de la vie politique» (Une matière noire …), des «scènes de la vie militaire’ (Les Chouans …) et des «scènes de la vie du pays »(Le Médecin de campagne …).Puis il ya les études philosophiques (La Peau de chagrin, Louis Lambert, Le Chef-d’œuvre inconnu …), travaux récents apportant plus de fantaisie que le réalisme et le mysticisme. La Comédie humaine comprend également des études analytiques (La Physiologie du mariage).
Beaucoup d’écrivains sont aussi impliqués dans la création de roman dans la seconde moitié du siècle. Les frères Goncourt (Edmond et Jules), avec une attention aux détails et descriptif écrit «artiste» (Germinie Lacerteux – 1865), Alphonse Daudet (The Little Things – 1868) et Jules Vallès (L’Enfant – 1879) relatives au genre réaliste. Discute romans de Jules Verne aventures et d’anticipation avec les Cinq Semaines en ballon en 1863.
Le roman social
En plus de ces œuvres-clés de la première moitié du XIXe siècle, le roman social (et parfois en milieu rural) trouve sa place dans la littérature avec des textes de George Sand (Consuelo – 1842, -1846 La Mare au Diable, La Petite Fadette – 1849) et, plus tard, avec la grande fresque humaniste Victor Hugo, Les Misérables (1862).
Le roman naturaliste
Emile Zola (1840-1902) fut le dernier grand romancier du siècle:qu’il théorise dans le groupe expérimental romaine (1880) donne le naturalisme et le réalisme bien au-delà convenance et même en tenant compte de la physiologie, l’ambition scientifique voulant montrer l’influence du milieu sur les individus. Son travail, Les Rougon-Macquart (sous-titré histoire naturelle et sociale d’une famille sous le Second Empire) est un court roman de 20 volumes avec plus de cinq générations les conséquences du déterminisme physiologique, sociale et diverses manifestations d’un défaut initial. Ses romans puissants, souvent dramatiques, parfois épiques, montrent une image critique de la société du Second Empire à la dénonciation de l’immoralité des riches comme dans The Kill (1872), Nana (1879), L’Argent (1891) et … sa compassion pour le peuple et ses souffrances individuelles et collectives, par exemple dans la Gervaise Assommoir (1877), les agriculteurs de La Terre (1887), les mineurs de Germinal (1885), les soldats dans la chute (1892) …
La nouvelle et le conte
Le style narratif est aussi, tout au long du siècle, largement représentée par la nouvelle exploitation ainsi que la veine réaliste, fantastique: les grands romanciers ont laissé des traces importantes.Le conte est aussi un mode d’expression, en particulier le conte fantastique dont le mode est lancée en France en 1829 par la traduction des textes d’Ernst Theodor Amadeus Hoffmann publié en France en 1829 par Honoré de Balzac sur cette base, entre autres pour maître Cornélius, le élixir de vie. L’influence d’Hoffmann se fait sentir également dans le conte de Gautier surThéophile fantastique, de Prosper Mérimée pour La Vénus d’Ille, Colomba. Guy de Maupassant, de continuer dans la même veine, mais avec un style différent dans les contes de la bécasse, le Horla, Barbey d’Aurevilly dans Les Diaboliques, Villiers de l’Isle-Adam dans Contes cruels.
La littérature française du Moyen Âge – XVIe siècle – XVIIe siècle – XVIIIe siècle – XIXe siècle – XXe siècle – Vingt-et-unième siècle
Contexte
L’Âge des Révolutions (Restauration – Juillet Révolution de 1830 et 1848 – la Commune de Paris en 1871) se déploie dans les différents systèmes politiques (Premier Empire – Monarchie restaurée Ancien Régime – la monarchie constitutionnelle – de courte durée Deuxième République – Second Empire – III République) qui cherchent pour répondre (ou s’opposer) les nouvelles aspirations démocratiques et de la transformation économique qui s’accélère l’industrialisation, la colonisation et les conflits entre les puissances européennes.
Les changements dans la société sont tous extrêmement important pour le long siècle de l’éducation publique telle, qui est devenu général et qui, accompagné par le progrès scientifique et technique remarquable, participe à l’évolution des mentalités. L’aristocratie et l’Église perdent progressivement leurs positions de pouvoir et d’une société laïque déplacé à la fin du siècle a également marqué par le poids croissant de la bourgeoisie et la classe ouvrière contre chaque république other.The nécessaires pour mettre fin à toutes les lois sociales et de voter en organisant les conquêtes coloniales et la préparation de vengeance contre l’Allemagne. Le compte des auteurs de ces changements dans leur travail et en partie d’entre eux pratiquent dans les camps politiques, progressistes (tels que Lamartine, Hugo et Zola) ou parfois réactionnaires comme Maurice Barrès et Léon Daudet (Le siècle Stupide XIXe). Ils se réunissent souvent, cependant, pour exalter la figure de l’auto de l’artiste contre le matérialisme bourgeois et vulgaire, en créant le mythe de l’artiste bohème et rejeté notamment la figure illustrée du peintre ou du poète maudit.Alors que la grande majorité des écrivains du XVIIe siècle ont été les courtisans à la recherche de mécènes et protecteurs, ce siècle est emblématique d’une nouvelle éthique de la vérité (contre la morale religieuse sous la Restauration et la morale bourgeoise qui règne dans le second Empire) par l’écrivain , exprimée à l’origine par Voltaire, composé de l’autonomisation progressive par rapport aux pouvoirs (politiques, religieux). Cette éthique se construit à travers la lutte pour la liberté d’expression et l’avènement d’un régime de liberté de la presse avec une plus grande responsabilité comme un corollaire de ces écrivains dont les pouvoirs qu’ils veulent maintenant répondre de leurs œuvres: ce siècle est marqué par des essais littéraires et l’emprisonnement dont l’auteur (comme Flaubert, Paul-Louis Courier, Pierre-Jean de Béranger) fait une réclamation à la renommée.
Dans les arts, la France, à côté d’un néo-classicisme et académique officielle (parfois jusqu’à l’art pompier), on trouve les grandes tendances esthétiques du siècle comme le romantisme avec Delacroix et Berlioz, et plus tard, Courbet et le réalisme, à la même période dans la musique de Gounod et Bizet. Dans les dernières années du Second Empire gagne progressivement l’impressionnisme qui peuvent être liées Manet, Monet et Renoir, pour ne citer les plus grands.La fin du siècle est plus diversifiée, avec des mouvements comme le pointillisme ou groupe de figures telles que Nabis, Cézanne, Gauguin et Van Gogh, Rodin ou le sculpteur, tandis que Gabriel Fauré, Camille Saint-Saëns et Claude Debussy dominent la composition musicale française .
Pour un panorama littéraire du siècle dernier nous nous référons à la littérature française du XVIIIe siècle.
La riche littérature du XIXe siècle
La poésie du XIXe siècle
Romantisme
Romance nourrit de la première moitié de la poésie du XIXe siècle et plus précisément les années 1820 – 1850: par convention, les Méditations poétiques de Lamartine en 1820 à Contemplations de Victor Hugo en 1856. Le mouvement esthétique européenne est un endroit spécial dans le lyrisme et l’effusion du moi avec le goût de la mélancolie: les poètes seront ensuite exprimer leur malheur et la souffrance affective de méditation sur la mort, sur Dieu, sur l’amour et le passage du temps, la nature et la gloire , et au-delà de ces thèmes lyriques fonction du poète (Hugo) et une perception fantastique le plus original avec Gérard de Nerval, Charles Nodier ou Aloysius Bertrand traditionnels.Au-delà des thèmes pas toujours novateurs, des poètes romantiques se presse pour la relaxation du verset terme dans la recherche d’une plus grande musicalité et d’audace en quelques mots et en images, surtout Victor Hugo.
Cette nouvelle recherche se fera également par le terme «invention» du poème en prose d’Aloysius Bertrand (1807 – 1841) dans Gaspard de la nuit, publié après sa mort en 1842, où il nous emmène dans un monde de rêve, et introduit une forme qui va reprendre plus tard Baudelaire et Rimbaud.
Poésie d’une certaine sensibilité et la musicalité, la poésie romantique se complaît dans des poèmes plus longue que la prochaine génération trouverez lourds, oratoire, bavard et convenu (Rimbaud parle de «l’ancienne forme’), avec des exceptions notables comme Nerval et sa collection de rêves ( 1854), certains poèmes de cette période sont, cependant, les pièces de référence qui affectent encore le lecteur d’aujourd’hui.
Alphonse de Lamartine (1790-1869): l’initiateur, et les paroles religieuses. Code: Méditations Poétiques (1820) (poèmes:. Le lac – la vallée …) – Harmonies Poétiques et Religieuses (1830).
Alfred de Musset (1810-1857) sensible et émouvant: Nuits (1835-1837).
Alfred de Vigny (1797-1863), métaphysique et sombre: La Destinée (1864) (poèmes:La corne – Moïse – La Mort du Loup – La Maison du Berger …).
Victor Hugo (1802-1885) couvre l’ensemble des formes de poésie siècle. Collections: L’Est (1829) (poème Les Djinns) – les feuilles d’automne (1831) (Ce siècle avait deux ans …) – Les Chants du crépuscule (1835) (les graines) – les voix intérieures (1837) (A Eugene H. Vicomte) – Les Rayons et les ombres (1840) (Fonction du poète – Tristesse d’Olympio – Oceano Nox) – Les Châtiments (1853) (O soldats de l’an deux – Se souvenir de la nuit du 4 – Expiation!: «Il neigeait … / Waterloo’) – Les Contemplations (1856) (Demain dès l’aube … – A Villequier – Le Mendiant – Les mots de la bouche des ténèbres) – La Légende des Siècles (1859-1883) (Conscience: Caïn – Booz endormi – L’aigle du casque – les pauvres).
Gérard de Nerval (1808 – 1855), dense et mystérieuse: La Chimère
Parnasse
En réaction contre l’effusion égocentrique du romantisme, un mouvement se dessine: le Parnasse, qui mettra l’accent sur la poésie du poète et de travail formel développe une théorie de «l’art pour l’art.«Cette école, héritière de Théophile Gautier, est représentée principalement par Leconte de Lisle (1818 – 1894) avec ses Poèmes antiques (1852 – 1874) et Poèmes barbares (1862 – 1878), et Théodore de Banville (1823 – 1891) (Odelettes – Odes en 1857 et de l’animation contemporaine grotesque de la revue du Parnasse).
L’influence de ce mouvement ne doit pas être négligé: la densité et l’expression seront sélectionnés par les poètes suivants et ceci est à dédier Gautier Baudelaire Les Fleurs du Mal et de Théodore de Banville que les jeunes Rimbaud a écrit en 1870. Collection de trophées tardive de José-Maria de Heredia en 1893 reflète également la continuité de l’approche parnassienne, symbolisée par la forme contraignante du sonnet.
Charles Baudelaire (1821 – 1867) est l’un des grands poètes du XIXe siècle. Alliant le désir formel de courts poèmes (ou plutôt court) et le réalisme (une charogne – Tableaux parisiens …) à une expression de l’angoisse partagée entre le Spleen et Idéal (Harmonie du soir – La cloche fêlée – La mort du pauvre, il a un succès «alchimie poétique» exemplaire en extrayant les fleurs du mal dans son livre publié en 1857 (en partie condamné pour obscénité) qui contient ce verset révèle: «Tu m’as donné ta boue j’ai fait de l’or.«Poète du monde réel de la beauté, le bonheur et la souffrance, la morbidité et le péché, il a fondé en grande partie sur le type du poète tourmenté et inapproprié dans le monde. Baudelaire a également été donnée au poème en prose sa réputation avec son petit poème en prose (Le port – un hémisphère dans une chevelure …).
Les poètes du siècle
Les chiffres de Verlaine (1844 – 1896) et Rimbaud (1854 – 1891) étend le type du poète maudit par leur vie en dehors des normes sociales. Si Arthur Rimbaud (Une saison en enfer – Illuminations) reste comme le «voleur de feu’, l’aventurier de lumière et éphémère avec des éclairs de poésie et de la rébellion, Paul Verlaine, avec un plus travailler, est associée à la musicalité, la mélancolie lyrique et un sorte de l’impressionnisme avec son art de la nuance, «Sans lui, pendaison ou l’installation.’ (Poèmes saturniens – Les Galantes – Sagesse …). Ils peuvent ajouter Lautréamont (1846-1870) Les Chants laissant inachevée de Maldoror, prose flamboyante de la rébellion contre Dieu et contre la société qui va découvrir les surréalistes.
Mallarmé (1842 – 1898) recherche pour son raffinement et sa concision, parfois scellé dans une œuvre rare (L’Après-midi d’un faune – Poèmes, à titre posthume du groupe) qui sera l’influence de Paul Valéry.
Les années 1880 ont vu s’affirmer actuelle contours incertains que la décadence et le symbolisme qui partagent l’éclatement de la forme poétique à l’usage du vers libre et le refus de la prestation de la suggestion prosaïque avec un goût pour le raffinement et l’irrationnel. Inclure les noms de Jean Moréas, Henri de Régnier, Albert Samain, Georges Rodenbach. Le fantasme de Jules Laforgue et Charles Cros, parfois pas si loin de la chansons d’Aristide Bruant, lui-même lointain successeur de Béranger.
Le théâtre du XIXe siècle
Le théâtre est un plaisir pour tous les niveaux de la société au cours du XIXe siècle avec une grande variété de lieux et genres.It est aussi le moment de l’extraordinaire renommée en tant qu’acteurs de Talma, Frédérick Lemaître (cf. film de Marcel Carné Les Enfants du Paradis), Marie Dorval, Rachel et Sarah Bernhardt tard.
Le texte théâtral connaît cependant un nouveau bail avec le drame romantique qui est nécessaire au cours d’une décennie de 1830-1840 en affirmant, comme Victor Hugo dans la préface de Cromwell en 1827, une sensibilité esthétique, la liberté et la vérité avec le rejet des règles traditionnelles et la distinction des genres et des tons, la recherche de la couleur locale avec des sujets de l’histoire du XVIe et XVIIe siècles et l’utilisation de prose ou de Victor Hugo, l’Alexandrin libéré. Les oeuvres majeures de cette période sont: Hernani (1830) et Ruy Blas (1838) de Victor Hugo, On ne badine pas avec l’amour (1834) et Lorenzaccio (1834 – non montré) Musset, Chatterton (1835) de Vigny, Kean (1831) et La Tour de Nesle (1832) d’Alexandre Dumas et, plus tard, dans une catégorisation difficile, La Dame aux Camélias d’Alexandre Dumas fils (adapté en 1852 de son propre roman, qui sera également adapté de Zola avec Renée The Cure).
Le drame romantique, complexe de représenter et de mode, puis cèdent la place aux effets forcés mélodrame avec rebondissements et la victoire du bien sur le mal qui en feront un genre populaire avec un grand succès, mais qui n’a pas vraiment de conserver l’histoire littéraire.
D’autres formes de théâtre vivre dans le siècle suivant, pour le théâtre du boulevard par exemple avec des animations de vaudeville et de satire qui combine traditionnel et illustré par Labiche, Feydeau et Courteline. Théâtre musical sera également entrer dans la seconde moitié du siècle, l’opérette et opéra comique qui sont des oeuvres représentatives d’Offenbach.
L’histoire littéraire se souvient des tentatives de renouveler à la fin du siècle, comme le Théâtre Libre et naturaliste regarde dramatique et sombre sur le monde contemporain (Henry Becque: Les Ravens – 1882, Octave Mirbeau: affaires sont les affaires – 1903) ou le théâtre symboliste avec son puissance de suggestion de lettres et poétique (Maeterlinck Pelléas et Mélisande en 1892 qui va de Debussy la musique).
Il conserve aussi quelques autres aspects uniques de la période comme un théâtre burlesque de la provocation par Alfred Jarry (Ubu Roi – 1888), le théâtre à la fois lyrique et épique, avec Alexandrie flamboyante d’Edmond Rostand (Cyrano de Bergerac -1899 L’Aiglon – 1900 ) ou les œuvres de jeunesse, catholique et patriote, de Charles Péguy (Jeanne d’Arc – 1897).
Les romans du XIXe siècle
Le roman va devenir le genre dominant dans sa distribution de masse entretenu par l’éducation publique croissante et le développement de la presse et des feuilletons dans la seconde moitié du siècle. La plupart des auteurs sont de la classe moyenne et vivent maintenant de leur plume (parfois très bien comme Hugo, Zola ou de Maupassant …). Le roman devient un fourre-tout genre autour d’un minimum de base: la prose narrative, une période relativement longue, avec un degré d’imagination et de se concentrer sur des moments de vie de la typologie characters.The est clairement discuté, mais certaines grandes lignes de force sont bien définis .
Le roman de l’auto
Fermer les Mémoires imposante autobiographie illustrée par delà le tombeau de Chateaubriand (1848), le roman autobiographique à la première personne est le début du siècle avec un goût pour les confessions intimes cachés derrière un candidat dans le lyrisme et le narcissisme combinant à explorer le mal de vivre une génération. Il est l’une des contributions importantes du romantisme dans la littérature avec des œuvres telles que personnelle de René (Chateaubriand -1802), Corinne (Madame de Staël -1807), Adolphe (Benjamin Constant -1816) ou La Confession d’un enfant du siècle (Musset – 1836).
Le roman historique
Walter Scott a fait le genre en vogue du roman historique. Les écrivains cultivent la nostalgie et pittoresque avec une vue à la littérature (parfois lourdes) et la recréation du passé, en mélangeant des personnages imaginaires et des événements à caractères historiques et des actions. Certaines copies des titres: Les Chouans (Balzac – 1829), Cinq-Mars (Vigny – 1828), Notre-Dame de Paris (Hugo – 1831), Les Trois Mousquetaires (Alexandre Dumas – 1844), Le Bossu (Paul Féval – 1858) . Le genre se prolonge tout au long du siècle, avec quelques œuvres remarquables comme Le Roman de la momie (Gautier – 1857), Salammbô (Flaubert – 1862), Quatre-vingt-trois (Hugo – 1874) … Il est cependant contestée par le genre de roman voisine de série qui a fait la fortune de la presse et le bonheur des prosateurs comme Eugène Sue avec Les Mystères de Paris (1842-1843) et sa fresque colorée et la société moraliste de l’époque.
Le roman réaliste
Le roman réaliste est une catégorisation discutable, et largement discuté à nouveau aujourd’hui. Mais on peut retenir un objectif esthétique claire: pour produire un «effet de réel» par la peinture avec une attention aux détails et les ensembles de probabilité, des personnages et des faits.Expressions de Stendhal (roman = miroir) ou Balzac (auteur de cet historien =) montrent dans la première moitié du siècle un moyen d’approfondir Gustave Flaubert et Maupassant (préface de Pierre et Jean) et Zola et le naturalisme. Le roman du XIXe siècle sera parallèlement un fort accent sur l’apprentissage de nouvelles, accompagnant les débuts dans la vie sociale des personnages.
La fin du siècle, cependant, est marquée par une réaction contre le réalisme considéré comme trop ‘faible’ d’attitude et «idéaliste» associée à un retour à la perspective religieuse avec Huysmans (Rebours – 1884), Léon Bloy (Le Désespéré – 1886 ) ou Maurice Barrès (La -1897 déracinées). D’autres ouvertures apparaissent comme un exotique, impressionniste et réaliste de l’époque de Pierre Loti (Pêcheur Islande-1886) et la naissance de la nouvelle analyse de la «pré-proustienne» avec Paul Bourget (Le Disciple – 1889) et Anatole France (Le Lys Rouge – 1894).
Stendhal (1783-1842) a laissé des romans importants, avec des icônes comme Julien Sorel et Fabrice del Dongo dans Le Rouge et le Noir (1830) et La Chartreuse de Parme (1839), laissant inachevée Lucien Lucien (1835). Entre romantisme et réalisme, l’étiquette qu’on lui attribue est également discutable.
Honoré de Balzac (1799-1850) est un créateur exceptionnel et auteur d’une œuvre immense qu’il a intitulé La Comédie humaine retardée par classer en trois groupes de 91 romans, histoires courtes écrites entre 1829 et 1848. Le plus grand groupe (de loin) est l’étude des mœurs divisé en «scènes de la vie privée» (Père Goriot Le Colonel Chabert …), des «scènes de la vie provinciale» (Eugénie Grandet, Le Lys dans la vallée, Illusions perdues), «scènes de la vie parisienne» (César Birotteau, La Cousine Bette, …), des «scènes de la vie politique» (Une matière noire …), des «scènes de la vie militaire’ (Les Chouans …) et des «scènes de la vie du pays »(Le Médecin de campagne …). Puis il ya les études philosophiques (La Peau de chagrin, Louis Lambert, Le Chef-d’œuvre inconnu …), travaux récents apportant plus de fantaisie que le réalisme et le mysticisme. La Comédie humaine comprend également des études analytiques (La Physiologie du mariage).
Beaucoup d’écrivains sont aussi impliqués dans la création de roman dans la seconde moitié du siècle. Les frères Goncourt (Edmond et Jules), avec une attention aux détails et descriptif écrit «artiste» (Germinie Lacerteux – 1865), Alphonse Daudet (The Little Things – 1868) et Jules Vallès (L’Enfant – 1879) relatives au genre réaliste.Discute romans de Jules Verne aventures et d’anticipation avec les Cinq Semaines en ballon en 1863.
Le roman social
En plus de ces œuvres-clés de la première moitié du XIXe siècle, le roman social (et parfois en milieu rural) trouve sa place dans la littérature avec des textes de George Sand (Consuelo – 1842, -1846 La Mare au Diable, La Petite Fadette – 1849) et, plus tard, avec la grande fresque humaniste Victor Hugo, Les Misérables (1862).
Le roman naturaliste
Emile Zola (1840-1902) fut le dernier grand romancier du siècle: il théorise dans le groupe expérimental romaine (1880) donne le naturalisme et le réalisme bien au-delà convenance et même en tenant compte de la physiologie, l’ambition scientifique désireux de montrer l’influence de l’environnement sur les individus. Son travail, Les Rougon-Macquart (sous-titré histoire naturelle et sociale d’une famille sous le Second Empire) est un court roman de 20 volumes avec plus de cinq générations les conséquences du déterminisme physiologique, sociale et diverses manifestations d’un défaut initial.Ses romans puissants, souvent dramatiques, parfois épiques, montrent une image critique de la société du Second Empire à la dénonciation de l’immoralité des riches comme dans The Kill (1872), Nana (1879), L’Argent (1891) et … sa compassion pour le peuple et ses souffrances individuelles et collectives, par exemple dans la Gervaise Assommoir (1877), les agriculteurs de La Terre (1887), les mineurs de Germinal (1885), les soldats dans la chute (1892) …
La nouvelle et le conte
Le style narratif est aussi, tout au long du siècle, largement représentée par la nouvelle exploitation ainsi que la veine réaliste, fantastique: les grands romanciers ont laissé des traces importantes. Le conte est aussi un mode d’expression, en particulier le conte fantastique dont le mode est lancée en France en 1829 par la traduction des textes d’Ernst Theodor Amadeus Hoffmann publié en France en 1829 par Honoré de Balzac sur cette base, entre autres pour maître Cornélius, le élixir de vie. L’influence d’Hoffmann se fait sentir également dans le conte de Gautier surThéophile fantastique, de Prosper Mérimée pour La Vénus d’Ille, Colomba.Guy de Maupassant, de continuer dans la même veine, mais avec un style différent dans les contes de la bécasse, le Horla, Barbey d’Aurevilly dans Les Diaboliques, Villiers de l’Isle-Adam dans Contes cruels.
La littérature française du Moyen Âge – XVIe siècle – XVIIe siècle – XVIIIe siècle – XIXe siècle – XXe siècle – Vingt-et-unième siècle
Bibliographie
Voir «la littérature du XIXe siècle» sur Wikisource.
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