Les principales figures de style
Une figure de style, du latin figura, est une méthode d’expression qui diffère de l’usage ordinaire de la langue et donne une expression à ce sujet en particulier. On parle aussi de «figure de style.’ Alors que certains auteurs font des distinctions dans le cadre de ces deux expressions, tous les jours, en fait synonymes.
Les chiffres de la parole, liée à l’origine de l’art de la rhétorique, sont une caractéristique de textes appelés «littéraire», ils sont cependant, un usage commun dans les interactions quotidiennes, écrites ou orales, au moins pour certains d’entre eux, comme illustré par le métaphores du capitaine Haddock exemple offensive.
En général, les figures de style sont en jeu, c’est le sens des mots (les chiffres comme une métaphore de substitution ou de la litote, l’antithèse ou oxymore), ou leurs sons (allitération, paronomase, par exemple) ou, enfin, leur ordre dans la phrase ( anaphore, la gradation de la plus importante). Elles sont caractérisées par la diversité linguistique de traitement complexes, impliquant stylistiques de la volonté du Président, et produit l’effet désiré sur l’auditeur, le contexte et la référence culturelle.
Chaque langue a ses propres chiffres de la parole, leurs traductions sont souvent problématiques de fidélisation sur l’image désirée.Par conséquent, cet article ne traite que des figures de discours en français.
Les chiffres de la parole sont un vaste complexe de différents processus et l’étude difficile. Des chercheurs ont identifié, à partir de l’antiquité gréco-romaine (avec Cicéron, Quintilien) des centaines de figures de style et d’universitaires ont attribué les noms et les a ensuite essayé de les classer (Fontanier Dumarsais).
La linguistique moderne a renouvelé l’étude des processus d’écriture en introduisant de nouveaux critères, l’identification et la classification, basée à son tour sur la stylistique, psycholinguistique, ou des mécanismes pragmatics.The des figures de style sont en effet enquêté neurolinguistique et la psychanalyse.
Définition et caractéristiques
Principe: une déviation de l’utilisation normale du langage
L’auteur (de l’auctor latin, auctoris) est, étymologiquement, «celui qui augmente, ce qui bouge.’ La contribution de l’écrivain vient en partie de son style, c’est-à-dire de tous les moyens d’expression qu’il utilise dans ses remarques et qui reflètent sa personnalité, qui résume la formule célèbre de Buffon: ‘. Le style est l’homme’ Cette manière d’écrire propre se fonde en particulier sur l’utilisation de figures de style, du latin figura, mot pour un objet. Ce sont des écarts par rapport à la langue commune.L’auteur amplifie son discours par l’utilisation de chiffres, y compris l’utilisation de l’imagerie, mais pas seulement. Pierre Fontanier est le premier qui a développé la théorie de la figure-écart. Beaucoup de figures de la parole ont également intérêt à agir sur le rythme, la construction syntaxique ou repetition.We peut identifier deux figures de la parole dans ces versets:
Le terme «Soleil noir de la Mélancolie» Nerval permet à l’image de deux idées. Il ya en effet un oxymoron, est la combinaison de deux mots à connotations opposées («soleil» et «noir») et de la métaphore (analogie entre le «soleil noir» et «mélancolie», une maladie de l’ennui), qui permettent au lecteur de percevoir la sensibilité de l’auteur et son univers mental, marqué ici par l’étrangeté et la douleur de vivre. En conséquence, le chiffre d’expression est une composante essentielle dans le style d’un écrivain, mais aussi, plus généralement, dans tous les haut-parleurs et dans le langage lui-même:
‘La formation de figures de style est indivisible lui-même, dont tous les mots abstraits sont obtenus par une injustice ou tout transfert de sens, suivie d’une signification oubliée d’origine.’
Nom: la ‘figure de style» à «la figure de style’
Le terme «figure de rhétorique», du latin figura, est en soi l’union des deux tropes:
«Le terme«figure de rhétorique ‘est un ensemble de deux figures contiguës de la parole, la métaphore et la métonymie: le’ style ‘était une fois un coup de poing à brûler les personnages de cire, puis dites«de style»à la place de l’écriture est une métonymie (l’outil au lieu d’utilisation); chiffre juste pensé, «dessin», il ya donc la dérivation de sens, la métaphore, comme nous nous déplaçons d’une idée à sa représentation».
L’usage commun confus parce que les expressions de «figures de style» et «figures de style», mais certains auteurs distinguent entre les deux. Ainsi, dans ses Eléments de la Rhétorique, Jean-Jacques Robrieux personnalités éminentes de la parole, qui jouent un «rôle persuasif» et forment une classe de processus fonctionnels, les chiffres disent d’autres non rhétorique et qui peuvent être «poétiques, humoristiques et lexicales». La distinction entre les chiffres académiques aussi de la parole, de persuasion, de figures stylistiques, pour le «ornement du discours.’
Pourtant, derrière la figure du discours est l’une des composantes de l’elocutio, une partie de l’art de la rhétorique qui s’attache au style et les ornements du discours.Pour Cicéron, il est caractéristique de l’orateur et «s’adapter à ce que l’invention fournit des mots appropriés et des phrases.’ Alors, la rhétorique la plus littéraire. Le chiffre de la parole est le lieu d’une bonne expression et d’ornement («ornatus»). Selon la rhétorique classique, la parole et le choix des mots et la composition de phrases (les phrases ou «cola» doivent être équilibrés), le rejet des archaïsmes et des néologismes, l’utilisation de métaphores et de figures adaptées au propos (à condition qu’ils soient clairs, autrement c’est la faute de l’expression), et enfin, le rythme doit être souple et au service du sens. Rhétorique de Herennius et recommande ‘l’élégance, l’agencement des mots, la beauté’. Les chiffres de la parole (ou «schématique» en grec) est donc la qualité de l’orateur. Ils fournissent une première plaisir (ou «délectation») que «mérite apparente [est] de s’écarter de l’usage commun», selon Quintilien, mais sont principalement utilisé la persuasion et l’argumentation. Ainsi, la notion de «rhétorique» est à chercher dans la catégorie plus large des figures de style.
Emploi écrites et orales
Le chiffre de la parole est précisément un processus d’écriture – par opposition à la «formule standard» – qui consiste à «l’effort» de l’orateur pour former la figure, on entend un style en somme, et «l’effet» de l’orateur qui utilise sa sensibilité. Les chiffres de la parole sont définies comme un sous-ensemble du style, se compose d’écarts par rapport à l’usage commun du langage, un travail remarquable de mots et de leur agencement. Elles concernent, et une relation particulière entre le «signifiant» (le mot) et «signifié» (signification). Les chiffres de la parole sont toujours présents, cependant, sur la littérature et même dans l’expression poétique, non comme indiqué par George Lakoff. Par exemple, dans le journalisme métonymie: ‘L’Elysée a indiqué.’ Ils sont encore plus dans la langue parlée, qui cherche à attirer l’attention du récepte
ur et de l’utilisation des procédés de l’ironie, des calembours, des clichés, des phrases congelés ou des raccourcis dans le langage d’expression que l’imagerie «Il pleut». Toutefois, pour Bernard Dupriez, «il n’est qu’occasionnellement que les chiffres sont de changer la langue.’
Cette déviation de la «langue standard» conduit, cependant, des limites d’acceptabilité pour une figure de rhétorique. Alors que le chiffre est trop différente de la norme elle tombe dans le registre des solécismes. Mais le sens est aussi une limite:en fait, la phrase peut être grammaticalement correcte, mais asémantique (aucune signification). L’expression poétique «inventant» des formes, il échappe à des exemples de bonnes restrictions.Some des textes surréalistes, comme ces versets:
En post d’hier, vous télégraphierasque nous sommes morts avec le facteur de tristes hirondelles.facteur un cercueil sous votre brasva ne portent des fleurs dans ma lettre à en tirer.
La même chose est vraie des anacoluthe comme dans la dernière strophe de L’Albatros de Charles Baudelaire: ‘Exilé sur le sol au milieu des huées / / Ses ailes géantes de l’empêcher de marcher.’ Néanmoins, afin d’évaluer un chiffre par rapport à cette norme devrait définir un ‘degré zéro de l’écriture», comme Roland Barthes et utiliser un langage qui n’est pas possible car le ton de chaque enceinte sur sa propre subjectivité. C’est dans les textes littéraires qu’ils rencontrent dans les chiffres de discours utilisés pour leur fonction esthétique et leur effet sur le «signifié»: chaque type a ses figures spécifiques ou favoris.Les romans se servir du processus descriptif ou allusive que analepse ou digression, la poésie se concentre chiffres jouant des sons (allitération, homéotéleute) ou des images (métaphore, personnification) lorsque le drame du théâtre utilisé pour ses figures imitant orale ou phrases de moduler l’intensité de la l’action. Cependant, de nombreuses figures de rhétorique sont transversales à tous les genres et toutes les périodes.
Beaucoup de fonctions
Les chiffres de la parole fournissent un riche servie par l’originalité formelle qu’ils ont, c’est «l’effet de sens.’ Ils ont une telle puissance remarquable de la suggestion dans le cas de la métaphore («les cheveux de ma femme savane», André Breton, par rapport à l’expression informative: «Ma femme a les cheveux bruns’) comme ils peuvent frapper l’esprit par le raccourci qui est la combinaison des contraires dans l’oxymore («Le superflu, chose très nécessaire», Voltaire) ou produire un effet comique avec le Zeugma (‘Nous devons aimer et à la poussière», Zazie). Ils représentent un effort de pensée et le langage comme expliqué par Littré, et sont les suivants:
D’autres chiffres peuvent créer l’émotion du lecteur par l’effet du stress produit comme dans l’anaphore («Paris! Paris outragé! Paris brisé! Paris martyrisé! Mais Paris libéré!’De Gaulle) ou le jeu des sons dans l’allitération («le crachat rouge du raisin, «Rimbaud) Dans d’autres cas, l’intérêt sera purement esthétique, comme dans la récupération de la anadiplose juxtaposés.:
Comme semé dans le champ est vert plein, le vert est verdissement dans le tuyau, le tuyau poils sur l’épi florissante
Ainsi, les figures de style sont à mettre sur le même niveau que d’autres traits linguistiques telles que les processus de taux (cadence période poétiques en prose), les procédés de la syntaxe (choix de la coordination ou de subordination), les procédés sémantiques et logiques (syllogisme, la tautologie, sémantique champs etc.) ou des procédés de versification (rime, synérèse / tréma, etc) ..
Les chiffres du discours et sciences humaines
Neurologie
Pour la neurophysiologie, selon une étude de Paul Broca (aire de Broca) et ceux de Carl Wernicke (aire de Wernicke) sur l’aphasie, l’utilisation des tropes révèle l’intensité des troubles du langage. Broca identifié une variété de symptômes purement linguistique traduit en figures de style telles que verbeux, le jargon ou stéréotype (répétition) qui fournissent des informations sur les mécanismes de compréhension sémantique.Le linguiste Roman Jakobson dans les années 1950 le travail de Broca et ainsi se développe la théorie de deux axes (paradigmatique / syntagmatique) dans une perspective pragmatique. Jakobson, puis fondé par les fondations d’un pont entre la sémiotique d’une part et la neurologie, de l’autre. D’autres recherches explorant la relation avec les figures de perception de la parole, en particulier dans la synesthésie.
La neurologie moderne, avec l’imagerie par résonance magnétique et des expériences de simulation montre que l’image est propre dans mind.Thus, un courant appelé sémantique cognitive tente de montrer comment notre organisation conceptuel basé sur les processus essentiellement métaphorique. La métaphore et la métonymie sont précisément au cœur de cette recherche. Jean-Luc Nespoulous, chercheur à l’Institut Laboratoire Jacques-Lordat, la science du cerveau de Toulouse, montre que le manque de la métaphore de nuit pour la compréhension d’une instruction complexe. Bottini (1994) suggère à son tour le rôle important que jouent l’hémisphère droit dans l’appréciation de la métaphore: le traitement de la figure associer d’autres ressources cognitives. Les expériences de temps de jeu, plus d’énoncés métaphoriques comme des déclarations littérales (Janus