Les figures de styles en français
Une figure de style, du latin figura, est une méthode d’expression qui diffère de l’usage ordinaire de la langue et donne une expression à ce sujet en particulier. On parle aussi de «figure de style.’ Alors que certains auteurs font des distinctions dans le cadre de ces deux expressions, tous les jours, en fait synonymes.
Les chiffres de la parole, liée à l’origine de l’art de la rhétorique, sont une caractéristique de textes appelés «littéraire», ils sont cependant, un usage commun dans les interactions quotidiennes, écrites ou orales, au moins pour certains d’entre eux, comme illustré par le métaphores du capitaine Haddock exemple offensive.
En général, les figures de style sont en jeu, c’est le sens des mots (les chiffres comme une métaphore de substitution ou de la litote, l’antithèse ou oxymore), ou leurs sons (allitération, paronomase, par exemple) ou, enfin, leur ordre dans la phrase ( anaphore, la gradation de la plus importante). Elles sont caractérisées par la diversité linguistique de traitement complexes, impliquant stylistiques de la volonté du Président, et produit l’effet désiré sur l’auditeur, le contexte et la référence culturelle.
Chaque langue a ses propres chiffres de la parole, leurs traductions sont souvent problématiques de fidélisation sur l’image désirée.Par conséquent, cet article ne traite que des figures de discours en français.
Les chiffres de la parole sont un vaste complexe de différents processus et l’étude difficile. Des chercheurs ont identifié, à partir de l’antiquité gréco-romaine (avec Cicéron, Quintilien) des centaines de figures de style et d’universitaires ont attribué les noms et les a ensuite essayé de les classer (Fontanier Dumarsais).
La linguistique moderne a renouvelé l’étude des processus d’écriture en introduisant de nouveaux critères, l’identification et la classification, basée à son tour sur la stylistique, psycholinguistique, ou des mécanismes pragmatics.The des figures de style sont en effet enquêté neurolinguistique et la psychanalyse.
Historical
Antiquité
La rhétorique grecque
Platon est le premier à mentionner les chiffres de la parole grâce à ses dialogues, en particulier le Gorgias et le Phèdre. Il est intéressé par le discours permettant de clarifier ses pensées (le λόγος, logos) pour mieux exprimer l’idée de communiquer dans une approche herméneutique ou obstétricaux. Platon distingue deux arts rhétoriques, l’autre grièvement sophistiquée, la différence étant dans le bon usage de la logique et les chiffres sur l’effet désiré dans le récepteur (dans la véritable rhétorique pour convaincre, séduire le sophisme).Platon défini par cette partie de la construction de figures du discours (les arguments soi-disant); son utilisation plus cohérente des images et des analogies que l’allégorie des cavernes, le exemplifications aussi rendre esthétiquement un modèle d’utilisation du style, au-delà d’une utilisation simple, des argumentatif rhétorikè Teknik (la technique rhétorique grecque).
C’est Aristophane de Byzance, qui établit le premier annuaire lexicographique contenant de nombreuses personnalités. Les haut-parleurs mis hors d’une grande force argumentative et chiffres évocateurs, tels Démosthène, Lysias et Isocrate.
Aristote lui-même le premier dans sa rhétorique, pour étudier l’effet des figures de style sur les récepteurs, à travers trois types de persuasion sociale à travers le langage, construit autour d’un effet est logique ou émotionnel. Ses autres travaux de la Poétique qui concerne renommée au genre théâtral et la notion d’imitation (mimesis en grec) est encore à penser à l’effet illocutoire. Il définit ensuite les termes d’une «langue assaisonnements trouvé’ agissant soit sur le rythme ou la mélodie ou singing.Aristotle perçu par celui des figures majeures de la parole, les plus évidents parce que jouant sur la modulation de mots (rythme, mélodie et chant).Aristote va permettre à ses partisans – notamment médiéval – classer des figures de style à travers leurs effets.
Rhétorique latine
Les orateurs romains définir une nouvelle rhétorique pour satisfaire aux conditions prescrites dans la déclaration publique par le Protocole latine. Reprenant Aristote, les Romains, il sera plus une rhétorique commode.
Cicéron, dans son livre, y compris le fondateur de l’invention, un discours effectivement divisée en trois parties: narratio et peroratio confirmatio. Chacune est expliquée par la mise en œuvre de chiffres spécifiques liés à l’utilisation d’arguments et de preuves. Deux niveaux d’impact sont considérés:. L’ethos pathétique, πάθος en grec ancien, (en jouant sur les sentiments de l’auditeur) et ἔθος (le locuteur est dans une certaine apparence) Cela donne lieu à un éventail de capacités détenues par le haut-parleur à animer son discours, y compris: l’elocutio qui correspond au choix des mots et la mobilisation des figures de style. Pour Cicéron, de sorte qu’ils deviennent un instrument conscient utilisée par l’émetteur, afin de provoquer un effet sur le récepteur. D’autres œuvres de l’orateur romain a continué la réflexion sur les catégories de discours:Brutus ou le Dialogue des orateurs illustres, des conférenciers parfait et au-dessus des sujets qui mettent l’accent sur les arguments et leur format, par conséquent, les chiffres se traduira dits «topiques» des photos de famille et ‘topoï’ (clichés, lieux communs …).
Dans la main Herennius Rhetorica le premier art de parler, l’auteur anonyme codifie la rhétorique et fournit une méthode de formation du discours, à travers, entre autres, des figures de style.
‘Tous les styles de langage, le style, élevée, moyenne, sont tout simplement embelli par des figures de style qui sera discuté further.Arranged avec parcimonie, ils améliorent le discours comme le ferait les couleurs. Placé trop nombreux, ils surcharge»
Il définit deux types de figures de style: les figures de mots et de figures de la pensée que les Romains appelaient les tropes (en référence à la définition large est de ‘tourner’ le mot d’une certaine manière, à imposer une image et une souche à l’époque). Il distingue une série de chiffres, qu’il appelle précisément, allant du portrait à la litote. Quelques chiffres qu’ils gardent l’acquisition de ce nom dans nos classifications modernes (l’hyperbole, la personnification, la comparaison …).
Quintilien dans son oratoire institutions se nourrit des réflexions médiévale et Renaissance.Il distingue figurae sententiarum et figurae verborum, à savoir: ‘figures de la pensée» et «figures de style», donnant au mot une figure assise est sa rhétorique aujourd’hui. Son visage connu comme le «mnémonique hexamètres Quintilien’ cadre permet l’utilisation d’effets et de la pertinence de arguments.It définit deux types de chiffres: dans un premier large, le chiffre est une forme particulière de discours, qui est l’étymologie du chiffre et le trope. Deuxièmement, dans un sens strict ou étroit il permet à l’auteur de modifier les chiffres poétique de la parole. En effet, pour Quintilien, un chiffre induit un écart par rapport à une norme de discours, un traitement non-conventionnel. Il jette alors les bases du style et de penser que le chiffre de la parole est une perspective réfléchie et esthétique adoptée par l’émetteur, la valeur de la signification en d’autres mots. Ces différences de langue qu’il appelle les «barbares» sont générateurs d’effets:
«Certains ne considèrent pas solécismes ces trois vices de langage, et ils appellent le plus, redondant, et l’enchâssement, ellipse, inversion, anastrophe, affirmant que si ces chiffres sont solécismes, on peut dire l’hyperbate’
Elle définit les niveaux de transformations conduisant à un sentiment accru.Plus généralement, Quintilien passera en revue tous les chiffres connus à l’époque, hérité des Grecs. Quintilien distingue la langue pure – les ‘mots spécifiques’ dans ses paroles – et les «mots métaphoriques» qui sont une transformation:
«Les mots sont ceux qui conservent leurs propres sens originel, les métaphores sont ceux qui sont là où ils sont placés une direction autre que celle qu’ils ont naturellement. A propos des mots utilisés sont ceux dont les emplois sont les plus sûrs. Il n’est pas sans quelque danger qui crée de nouveaux, car ils sont bien accueillis, ils ajoutent peu au discours de mérite, et si elles ne sont pas, ils nous donnent le ridicule même ‘
L’historien romain Tacite, dans son Dialogue des orateurs, comme des figures du discours relatifs à la description afin d’animer ses portraits d’empereurs romains (il a créé l’hypotypose notamment). Il crée en quelque sorte le genre narratif en utilisant des images et annonciatrice de Traité du Sublime novels.The, attribué au Pseudo-Longin est la naissance du concept de style littéraire, considérée comme gratuite, mais nécessaire pour provoquer l’émotion esthétique.Longin a une influence puissante sur le classicisme, en particulier sur Nicolas Boileau, qui traduit en français et discute de sa contribution à Réflexions critiques sur Longin (1694-1710). Ce dernier définit le sublime comme l’essence de l’art littéraire et la poésie, qui doit être porté à se démarquer de la langue parlée et les gens vulgaires, ‘les délices sublimes, transporte, produit une certaine admiration mélangé avec l’émerveillement et la surprise … Lorsque le pauses sublimes sur, il renverse comme la foudre. ‘style plus vrai et conventionnelles est assimilé à« sublime »(Racine, Malherbe …) et les images contribuent de manière significative dans la construction d’un beau style pour évoquer les idées nobles (y compris religieuse).
Moyen Âge et Renaissance
La Pléiade
La Renaissance est une période riche en rhétorique treated.Gradually, les tropes et les figures seront l’objet d’une nouvelle science: la grammaire. Les auteurs de la Pléiade nouvelle utiliser des figures de style telles que la personnification ou anaphore comme dans la troisième strophe du poème du Antiquités de Rome de Joachim Du Bellay:
Rome est le seul monument, à Rome et Rome vaincue seulement.Le Tybre seul, qui ont fui vers la mer, demeure de Rome. O inconstance mondaines!Quel est ferme est temps destruit, et ce qui est des fuites, la résistance aux intempéries
Les figures sonores que l’assonance et l’allitération purement poétique, sont également utilisés, suivant le principe de l’enrichissement de la langue française, exalté par Joachim Du Bellay dans sa Défense et illustration de traité française (1549). Dans le même temps, en 1539, l’édit de Villers-Cotterêts impose l’usage de la langue française, langue nationale pour tous les actes administratifs. Les Pléiades préconise la formation d’une langue nationale, le français, avec une souplesse et la richesse comparable à celle des poètes latins language.Therefore autour de Du Bellay et Ronsard Pierre continuera à enrichir la langue, parfois à l’excès, de néologismes et de nouvelles images, brisant les stéréotypes de l’époque. Par ailleurs, les Pléiades est basé sur la notion d’inspiration, dans les mots d’Horace, et préconise la «innutrition ‘expression de leur invention qui est définie comme la assimiler les mots et les images des anciens et l’adaptation à la langue du poète ., une imitation créatrice à la fin Néanmoins, c’est le renouvellement qui sont à la recherche pour les poètes, en suivant les instructions de l’auteur de la Défense:
En plus de Du Bellay, après avoir fait la défense veut pour ‘illustrer’ la langue française. Cela peut se produire que l’ornementation, comme Pierre de Ronsard définit comme suit:
‘Le ornant et enrichissant de figures, tableaux, tropes, métaphores, phrases et périphrases eslongnées presque tous, ou au moins séparées de la prose triviale et vulgaire (car le style est capitale ennemie prosaïques de l’éloquence poétique), et les comparaisons montrent bien adapté aux descriptions florides, c’est-à-dire passementerie enrichi, broderies, tapisseries et l’imbrication de fleurs poétiques, à la fois pour représenter la chose pour l’ornement et la gloire des vers ‘
Il souligne l’importance des chiffres directe de la parole dans le renouveau de la langue et la puissance d’expression, dans sa clarté ainsi. Ils sont les auteurs de la Pléiade une source d’abondance, copia. Pierre de Ronsard et Du Bellay, comme pour les comparer avec un floral ou «épicerie» pour eux, les tropes sont la langue, comme si le texte était un plat à votre goût.
Ramus et le Collège de Presles
Pierre de La Ramée (Ramus dit) et ses disciples, et Antoine Omer Talon Fouquelin, fondée en 1545 comme le groupe de Presles Collège grammairiens, qui, jusqu’en 1562, publie des livres d’étude les titres Ciceronianus rhétorique qu’ils offrent, entre autres choses, une typologie des les tropes et les méthodes de l’éloquence. Antoine Fouquelin en particulier dans sa Rhétorique française (1555) est l’un des premiers en France à son tour, soit à la valeur de ces chiffres, mais par la nature des mécanismes figuratifs, nous pouvons dire avec Fouquelin, la rhétorique a pour but de scientifiques et classificateur. Il distingue entre les «figures de la peine», la «réticence» et «correction». Nous avons déjà Fouquelin avec une tentative scientifique pour nommer et classer les figures et des tropes par leur mécanisme de la langue. Pour Chaim Perelman Ramus ‘supprime la rhétorique d’Aristote deux parties principales, l’invention et la disposition, pour lui donner la parole. «Ramus permet ainsi une« rhétorique de chiffres. ‘
Période classique
La Sublime
La codification stricte des règles en particulier le théâtre et la poésie, sous la direction de Nicolas Boileau théoriciens tels François de Malherbe ou de conduire à une première classification des figures de style, dont le principal critère est qu’ils ne doivent pas occulter les idées de l’auteur, mais d’exprimer plus clairement le message. Le registre doit toujours rester du domaine du sublime, en conformité avec les exigences de Longinus. Père Bernard Lamy lui dit lors du débat sur l’ordre naturel des mots et sa relation à la logique formelle, dans sa rhétorique ou l’art de parler, les figures de style sont le langage particulier de la passion. Finalement, la force de l’impression qu’ils ont sur l’auditeur, c’est leur capacité à subvertir l’ordre naturel des mots dans la phrase. Lamy est le cas pour l’antithèse de l’hyperbate, la suspension, au détriment de l’exposition claire de ideas.Later Fénelon prochaines Lamy, a annoncé que la sécheresse de la prose française est parce que nous respectons trop l’ordre naturel des idées dans la proposition, et nous ostracisés la figure de l’inversion, cependant, la source de variété et de l’éloquence, le style pour lui de puis le non-respect de la linéarité du discours.
Les chiffres du discours et des genres littéraires
Dans le même temps de développer les figures de style de pensée, en particulier avec Molière, et plus généralement celle de l’ironie. Le courant littérature marginale monde Préciosité menant à de nouvelles figures pun libre et inutile, cependant, certains d’entre eux restent dans la culture (hyperbole, litote etc) .. L’Astrée d’Honoré d’Urfé et Clélia, l’histoire romaine de Madeleine de Scuderi sont les expressions du genre. L’excellence est couramment utilisée par les moralistes comme La Bruyère, ainsi que les chiffres de l’agitation et le portrait (ethopée, principalement personnification). Jean de La Fontaine excelle à son tour d’utiliser les chiffres de la construction qui offrent la souplesse nécessaire pour ses Fables (l’accumulation, l’obtention du diplôme) et ceux qui envisagent de faire de l’analogie et de l’image (la fable, gnomisme). Le développement de tels arguments avec les types de prédication et d’une brochure, conduit les auteurs à découvrir une variété de chiffres d’exploitation sur le niveau syntaxique (hypallage, prétérition). Le développement social du roman apporte enfin le nombre de chiffres contrastent (oxymore, antithèse) et l’analogie, dont Marguerite de Navarre et la plus jolie de son, et Charles Sorel Francion, Mme de La Fayette, enfin, avec La Princesse de Clèves livre premier de son genre .
XVIIIe et XIXe siècles
Dans la période médiévale, de nombreux traités successifs et les manuels de rhétorique tenter de proposer une classification des ornements du discours. Rhétorique Bernard Lamy dans le premier ou l’art de parler (1675) stipule que la force de l’impression que les chiffres ont sur l’auditeur, c’est leur capacité à subvertir l’ordre naturel des mots dans le Dumarsais sentence.César Chesneau (Traité de Tropes, 1730) décrit l’utilisation de tropes dans le discours, exemples à l’appui. The Scotsman Hugh Blair (Rhétorique, 1783), Gabriel-Henri Gaillard (Rhétorique des Demoiselles, 1807), Pierre Fontanier Manuel son étude classique des Tropes (1827), François De Caussade (Rhétorique et genres littéraires, 1881) et Paul Prat (Éléments de la Rhétorique et de Littérature, 1889), enfin de publier les traités de rhétorique qui préparent l’analyse moderne. Les deux auteurs sont particulièrement importantes en France: Dumarsais et Fontanier.
César Chesneau Dumarsais
César Chesneau Dumarsais tropes dans son Traité (1730), son œuvre majeure, explique d’abord quel est le style figuratif, et montre comment ce style est commun, et dans les écrits et dans la conversation, il décrit l’utilisation de tropes dans le discours, ses commentaires à l’appui exemples. Il appelle un type particulier de la figure trope qui change le sens.Le chiffre est bien, littéralement et en conformité avec son étymologie, la forme extérieure d’un body.It définit «trope» (un concept non encore différenciée de celle de la figure du discours) comme:
Toutefois, Dumarsais reste sur l’aspect sémantique et n’entrevoit jamais, ou rarement, le mécanisme de la langue à l’œuvre dans la figure du discours, et donc omet beaucoup d’entre eux. Sa contribution réside dans le fait qu’il a montré l’universalité de ces chiffres, tout type de production, écrite ou orale, a en fait utiliser des figures de style ‘Il n’ya rien de si naturel, si ordinaire et si commun que les chiffres dans la langue des hommes. ‘Il a aussi popularisé l’idée que les pensées sont générées et façonnée par la langue.
Fontanier et Pierre Thomas De Quincey
Fontanier Pierre, rédacteur du commentaire célèbre de tropes De Mars, est le premier théoricien de figures de style, à travers deux ouvrages de référence. En 1821, il a publié le manuel classique pour l’étude des tropes, qui est adopté comme manuel dans les écoles publiques (pour la classe de rhétorique). Puis en 1827, dans les figures du discours, il se concentre le premier à proposer une classification scientifique et il sont sept classes. Il réduit les tropes de trois figures exemplaires:métonymie, synecdoque et la métaphore, mais son intérêt réside dans le fait qu’il était en mesure de proposer des définitions précises pour les chiffres enregistrés (et il comprend 82 chiffres). Son système de classification est le premier à être basé sur des opérations systématiques et logiques comme la cause, le résultat, le conteneur, la possession, mais aussi le sentiment, l’effet que le chiffre a suscité dans le récepteur. Fontanier a pu décrire une véritable théorie de tropes – sans être exhaustif dans leur liste – qui a contribué de manière significative aux classifications modernes, tels que Gérard Genette structuraliste.
Thomas De Quincey, essayiste anglais, publié dans son Essai sur la rhétorique, le langage, le style (somme des essais publiés de 1828 à 1851) et fait référence à une théorie moderne de figures de style. Pour lui, le style est «l’incarnation de la pensée», et son esprit tend à la philosophie phénoménologique nettement naissante, l’aulne de l’empirisme. Néanmoins, De Quincey ne pas, à proprement parler, le système de classification, mais elle ouvre le monde des figures de style, alors considéré par ces tropes, l’étude des actes de pensée qui découle du style:
«Parfois, les images ne sont ni les vêtements simples d’une pensée étrangère, ni susceptible d’être détaché de la pensée, mais ils sont certainement le facteur qui renforce l’esprit, car il ajoute à autre chose en lui donnant cette pensée une existence troisième et distincte»
Le chiffre est pour lui «un esprit en mouvement». Organiciste une grande partie de l’art d’écrire, de Quincey considère que les chiffres de la parole tels que allusion et donnant accès à la jonction (du terme, Horace indiquant le rapport entre les phrases) des auteurs sur leurs esprits individuels, leurs visions du cosmos en somme. Déjà près de la structuraliste et Paul Ricoeur, il a inventé de nouveaux concepts pour les tropes qui préfigurent la recherche moderne, de la prémisse qu’il est de leur aménagement et leur disposition dans la phrase qui détermine leurs fonctions et de motiver leurs effets rhétoriques. Ainsi il parle de «processus de textile», donnant lieu à la métaphore du texte comme tissu architectural.
Au XXe siècle
Expérimentation: le surréalisme et l’Oulipo
En plus d’auteurs et de poètes qui, naturellement, de comprendre le potentiel du langage de découvrir de nouveaux tours de pensée et de traitement du langage, le XXe siècle a vu le spectacle spécialiste des différentes tendances à la confluence des nouvelles théories sociologiques, psychanalytiques et linguistiques seront réinterpréter les figures mécanisme de formation des vision esthétique. En général, tout au long du XXe siècle », la rhétorique a été réduite à sa plus langues, en d’autres termes la théorie des figures‘ Au mépris du discours lui-même et sa dimension sociale et relationnelle.
Le surréalisme est le fondateur mouvement d’une réinterprétation moderne poétique de figures de style. Basé sur l’axiome selon lequel la langue est à réinventer, les surréalistes sont couramment utilisés analogies et les tropes, coupée de toute référence sémantique conventionnelle. Jeux sur les sons ou les orthographes leur permettra de former de nouveaux types de textes à être repris par le deuxième mouvement innovant dans ce domaine: l’Oulipo.Expérience de laboratoire de langue, les auteurs de l’Oulipo va créer une toute nouvelle ligne de chiffres basés sur le concept de contrainte comme la méthode la plus n S (à partir du ‘S 7 méthode’ développé par Jean Lescure en 1961), la littérature combinatoire – qui a permis Raymond Queneau écrit cent mille milliards de poèmes – mais aussi des poèmes basés sur les auteurs mis booléenne theory.The oulipiens forment ainsi une nouvelle classe de figures graphiques (lipogramme, anagramme) ou morpho-syntaxiques (palindrome), revisitant les techniques anciennes souvent ignorées par la littérature conventionnelle, menant à générer de nouveaux types de textes et même de nouveaux genres. Georges Perec a écrit Quel vélo guidon chromé au fond de la cour? qui offre de multiples utilisations des figures de style. La littérature travail collectif propose également une liste potentielle de nouveaux visages et des contraintes oulipiennes qui révèlent la plasticité des figures de style.
Redécouverte: Gerald Antoine et Henri Morier
Le vingtième siècle confirme la redécouverte des figures du discours et la rhétorique. Pour Bernard Dupriez, cette redécouverte se fait en deux étapes. «En France, la première étape vers un renouveau dans l’étude des figures de style en 1959.Gerald Antoine, qui était alors professeur à la Sorbonne, a proposé d’étudier les grands écrivains en termes de leurs processus. ‘
La deuxième étape est la publication du Dictionnaire de poétique et de rhétorique d’Henri Morier, classement des propositions parmi les plus complètes. Henri Morier, professeur d’histoire de la langue française à l’Université de Genève, fondateur du Centre poésie, joue avec son dictionnaire, en fait, une œuvre majeure de Pierre Fontanier. Son ambition est de réinventer la rhétorique dans un aspect plus technique, éclairée par les découvertes et les progrès en langue moderne. Il déterre telles que les chiffres manquants et tente de définir chaque processus.
Les chiffres de la parole et du langage
Le linguiste Roman Jakobson, le créateur des fonctions du langage et de système de communication, estime que les chiffres de la parole faire usage de référentiels et de la fonction poétique du langage. Il ya aussi deux pôles: le «pôle métaphorique» et «pôle métonymique», dominant toute la structure de la langue et permettant respectivement de faire des sélections et combinaisons. Ce double concept a abouti à l’axe de l’expression et le paradigme.
De même, le philosophe Paul Ricoeur dans la Métaphore vive (1975) examine le processus créatif menant à la métaphore cognitive, qui représente le prototype de tous les autres chiffres, la transformation originale en somme. Ricoeur est à l’origine d’un nouveau design, plus universel, de la métaphore, plus interdisciplinaire. Il a dit la métaphore reflète un processus cognitif ne conduisant pas à une seule direction phénomène linguistique de transport, mais surtout liées à l’imagination ou la mémoire.
Μ Le Groupe a fourni, dans les années 1970, une typologie de toutes les figures de rhétorique rationnelle, recueillis dans la Rhétorique livre général. Le groupe ‘l’école de Liège» est en effet composée de linguistes Jacques Dubois, Francis Edeline, Jean-Marie Klinkenberg, Philippe Minguet, F. Pire, Hadelin Trinon et est une approche transdisciplinaire, ils sont les premiers à théoriser que les chiffres du processus discours traduisible dans tout l’art, la notion de «sémiotique visuelle». Pour ces auteurs, des figures de style sont «métabolisme», des concepts génériques à un groupe similaire dans tous les chiffres disponibles, le terme de ‘toute forme de changement, soit en paroles ou en phrases. ‘ Leur typologie est basée sur la base de quatre opérations de base: suppression, ajout, suppression, adjonction, permutation.Ils ont forgé de nouveaux concepts pour les chiffres du groupe, en identifiant les quatre types d’opérations linguistiques possibles: métaplasme (changement phonétique ou morphologique d’un mot qui altère son intégrité par addition, suppression, substitution ou permutation), la syntaxe métataxe modification (d’une déclaration qui modifie l’intégrité de l’) ajout, suppression, substitution ou permutation) et la sémantique métalogique modification (d’une déclaration qui modifie sa cohérence interne et sa valeur de référence, par addition, suppression ou substitution.
Structuralisme
Le structuralisme, avec Roland Barthes, conduit à formaliser une poétique (une réflexion construite sur l’écriture créative) a porté sur le contexte. Les chiffres de la parole apparaissent néologisme créé par, vu que les articulations du discours de la mise en œuvre, dans une explicative, la subjectivité de l’auteur. Gérard Genette dans ses œuvres les figures (3 volumes) afin d’étudier l’assemblage de dispositifs stylistiques dans de grandes collections textuelles dans l’isolement résultant des grandes tendances des genres. La contribution de Barthes réside principalement dans un seul critère de classification que la tenue d’une double transformation. Il ya deux principaux types de figures:le métabolisme (substitution d’un signifiant à un autre, comme des jeux de mots, métaphores et métonymie) et parataxes (modifications de la relation entre les signes tels que anaphores, des ellipses et des anacoluthe). Barthes fait une définition linguistique de la figure de la parole: «La figure de style est défini comme une opération qui, à partir d’une proposition simple, changer certains éléments de cette proposition.’ Cette vision de la figure du discours est la transformation largement mécaniste et structurels qui ont lieu le long deux dimensions: la nature de la relation (la lecture du contenu, le signifié) et la nature de l’opération (en jouant sur la forme du signifiant). De là, Barthes décrit deux plans nécessaires à l’effet de style: les opérations englobant des figures de rhétorique des figures de diction et de construction de la vieille rhétorique, mais en mettant en œuvre quatre transformations de base sont: l’ajout, la suppression, substitution et d’échange et les relations: l’identité, différence, la similitude et l’opposition. Ce plan est fondé, au niveau le plus basique, le concept de semis et sera repris par Algirdas Julien Greimas (Sémantique structurale, 1966) et Jean Cohen (Structure du langage poétique, 1966).La portée de la contribution de Barthes et les structuralistes, en général, c’est leur volonté de réduire les faits de mécanismes linguistiques essentielles en relation avec les théories sexuelles de Sigmund Freud.The nature particulière de la relation (identité / différence) signifie, par exemple, Barthes dans le complexe d’Œdipe et explique l’effet sur le récepteur. Néanmoins, nous pouvons blâmer dans le sens de Barthes le relativisme, le psychologisme de sa vision d’un phénomène qui appartient au domaine esthétique final et de l’acte créateur.
La recherche moderne
La recherche moderne est caractérisé par une grande variété d’approches et d’une préoccupation pour la classification opérationnelle de ces chiffres. Catherine Fromilhague sont appelés les ‘nouvelle rhétorique’.
Chaïm Perelman et Lucie Olbrechts-Tyteca (1958), dans leur argumentation rappelle le traité de valeur argumentative de la figure, selon la théorie d’Aristote, le chiffre devient un droit fondamental (plutôt que comme un ‘ornement’ en option) l’acte d’énonciation , même incorporant un transphrastique large (au-delà de la phrase). Ils demandent également que toute figure de style est un résumé de l’argumentation: par exemple, la métaphore condense l’analogie.
Le groupe d’étude en Roumanie, composée de P. Servien et S.Marcus, le Bulgare Julia Kristeva aussi en question la notion de différence, la préparation des travaux du groupe de μ. Gui Bonsiepe (rhétorique visuelle / verbale, 1965) lui offre une division des figures comme «syntaxique» et «sémantique».
Olivier Reboul, il essaie d’Introduction à la rhétorique (1991), un livre académique majeur. Il semble, après avoir exposé plusieurs siècles de rhétorique et de codage parole, pour concilier hérité de l’argument d’Aristote – qui cherche à convaincre – et les figures du discours, qui forme le style. Reboul propose de réviser la définition des figures de style seul (n’incluant pas tous les chiffres). Il les définit comme «une méthode de style à s’exprimer de façon libre et codifié» rejetant la notion de différence comme constitutive de la figure, dit-il «libre», car l’orateur s ‘est pas nécessaire de les utiliser pour communiquer et ‘ codifié », comme chaque figure est une« structure connue, identifiable, transférable », et toujours liées au pathos.
George Molina, dans son Dictionnaire de rhétorique (1992), développe une méthodologie similaire à celle d’Henri Morier.Il est la source de la distinction entre ces chiffres est la microstructure (comme dans ‘ce matin dans le métro, un mammouth était assis à côté de moi») et ceux qui sont macrostructure (‘Cette fille est vraiment belle’ par exemple).
Michel Meyer histoire de la rhétorique des Grecs à nos jours (1999) est un des chiffres historiques et philosophiques de la parole, dans le cadre de l’argument, la base de la rhétorique.
Typologie et classement
La classification des figures de style sont des approches complexes et toujours controversée. Par exemple, pour la rhétorique classique, après les Grecs et les Latins, les chiffres s’inscrivent dans les topoi discursifs que pour le style, un chiffre est basé sur l’utilisation et d’un mécanisme, mais aussi de l’effet. Il ya aussi d’autres classifications, les plus originaux et des types de academics.The fourni par les œuvres classiques ou manuels sont caractérisés par leur hétérogénéité en vigueur. Ils sont d’accord, cependant, le plus souvent dans certains groupes de processus linguistiques comme l’analogie, de substitution, etc reprise saine.
Les chiffres de jouer sur le sens des mots
– Guillaume Apollinaire, cors de chasse
– Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal, LXIX. – Musique
– Paul Valéry, Charmes, cimetière marin
– Marcel Proust, À l’ombre des jeunes filles en fleur, la deuxième partie
– Victor Hugo, Les Châtiments, à l’obéissance passive
– Guillaume Apollinaire, Alcools, Le Chant de la mal-aimés
– Baudelaire, Les Fleurs du Mal, L’Albatros
‘[…] Et Ruth se demandait ce que ,[…] Dieu, quelle moissonneuse d’éternelle étéAvait, s’éloigna, en passant jetéCette or faucille dans le champ des étoiles ‘
– Victor Hugo, La Légende des Siècles, Booz endormi
– Jean de La Fontaine, Le Lièvre et les Grenouilles
– Guillaume Apollinaire, alcools, tombent malades
– Louis Aragon, le roman inachevé, à chaque station de poussière …
– Corneille, Le Cid, Acte I, scène 4
– Corneille, Le Cid, Acte III, Scène 4
– Du Bellay, Les Regrets, seule la rivière …
– Ronsard, à la mort de Marie, V – Vu sur le mois de mai la_branche Rose
– La Fontaine, Le soleil et les grenouilles
– Jacques Prévert, Paroles, Le Temps des noyaux
Les chiffres sur le jeu au lieu de mots
– Du Bellay, Les Antiquités de Rome, 30
«Puisque le droit est dans l’abîme, car donne le sceptre au crime, parce que tous les droits sont trahis Depuis plus fier sont sombres, puisque affiche au coin de la bornesLe déshonneur de mon pays …’
– Victor Hugo, les chats, le deuxième livre, V: Depuis le juste dans l’abîme
‘Long comme fils interminables, le pluieInterminablement longue traversée du jour gris, la ligne verte carreaux avec son fils gris long, Infiniment, la pluie, longtemps, la pluie.’
– La Fontaine, Le Pot laitiers
– Corneille, Le Cid, Acte I, scène V
– Victor Hugo, La Légende des siècles, les chevaliers errants, Eviradnus, XI: Un peu de musique
– Victor Hugo, Les Chansons des rues et saison de plantation de bois. Soirée
– Victor Hugo, Les Châtiments, Lux
– La Fontaine, Le Corbeau et le Renard
– Victor Hugo, La Légende des siècles, les chevaliers errants, Eviradnus, XI: Un peu de musique
– Louise Labé, anciens poètes de la France
– Arthur Rimbaud, la poésie, les Ravens
– La Fontaine, la Mort et le Bûcheron
Les chiffres et les sons de jeu qui sont plus spécifiquement de poésie
‘Alors que le crachat rouge de mitrailleSifflent toute la journée par l’infini du ciel ou bleu vert Qu’écarlates près du roi, qui se moquaient, les bataillons de la masse se noyer dans le feu;’
– Arthur Rimbaud, Poésies, le Mal
– Paul Verlaine, Poèmes saturniens, Melancholia – VI: Mon animal de rêve
«Cette tournée a été la flèche la plus hardie, la plus ouvrée, la plupart des menuiseries, les plus robustes, toujours lui laisser voir le ciel à travers sa dentelle cône’
– Victor Hugo, Notre-Dame de Paris
– Corneille, Le Cid, Acte II Scène 2
– Guillaume Apollinaire, alcools, Le Pont Mirabeau
Les chiffres en jouant sur la syntaxe
– Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal, L’Albatros
Les chiffres en jouant sur le discours
– Victor Hugo, Les Contemplations, Livre VI, IV, ‘Regardez, je suis John, j’ai vu certaines choses sombres..’
‘Je Ne pas tenter de décrire comment l’enthousiasme sombre s’est manifestée dans l’armée des insurgés après le discours de Biassou. Ce fut un concert cris de distorsion, des plaintes, des hurlements.Certains se frappent la poitrine, d’autres face à leurs clubs et des épées … ‘
– Victor Hugo, Bug-Jargal, ch. XXIX
– La Fontaine, Le Renard et les raisins
Tropes Tropes et de non-
Historiquement, les figures de style sont les tropes, une idée que l’Encyclopédie de Diderot mentionne. Tropes, toutefois, de recueillir un échantillon relativement petit de figures telles que la métaphore et la métonymie. Ce sont principalement basées sur les chiffres qui composent l’analogie et l’imagerie. La distinction entre les tropes et les non-tropes (figures qu’aucun «changement de sens» ne semble pas apparaître) persiste dans l’enseignement du français à Pierre Fontanier. Il se distingue parce que les tropes de tropes qui ne sont pas définis de façon négative et appelle ‘autres que les tropes» et a ensuite présenté par un déclin des classes rhetoric.The de non-tropes regroupe la plupart des chiffres disponibles et généralement connus. Fontanier la classe selon le procédé qu’ils mettent en œuvre. Patrick Bacry reprend cette distinction qui sépare les chiffres sous-style: Les chiffres pour la construction, la similitude des chiffres, des chiffres dans le quartier, les chiffres de l’ordre des mots dans le lexique des chiffres, des chiffres et des chiffres du contenu sémantique de l’organisation de discours.Patrick Bacry, mais Michel Bernard Dupriez ou Pougeoise, proposent de les classer en utilisant une grille combinant plusieurs critères: la nature de la figure (ce qui fait) l’état de son apparence (sa position dans le discours), son effet à la fin.
D’autres classements proposés par l’analyse linguistique moderne
Suite à la grammaire générative
Modern linguistics using combinatorial analysis of language thus leads to a coherent system that allows a more comprehensive classification of figures of speech. This classification has two axes: one axis transformation itself sub-divided into ‘identical’ and ‘non-identical’Consisting of various possible operations on the sentence and the words involved in the figure, an axis of said level corresponding to the grammatical subject (‘ graphics ‘,’ sound ‘or’ morpho-syntax ‘) or semantic, which is the transaction processing. Operations resulting in figures of speech playing on the first three levels are redefining the ‘form’ of words and grammatical items: graphemes (the spelling of words, letters), phonemes (sounds) and morpho-syntax (word formation and their combinations) transactions involving the semantics (meaning) they play on the content and include wider tropes that bring together figures that transform the sense of a word in a figurative sense.
There are also charts the most original, often the result of an author. Richard Arcand for example, figures of speech. Allegory, ellipse, hyperbole, metaphor … is distinguished by its original position in the literary world. This class in fact the figures in a double entry ‘processes in Figures ‘(part of the ranking mechanism language implementation and leads to the corresponding figures) and the’ effects to the figures. ‘ It identifies and systematically the effects of receiving covered by the figures, his viewpoint as an appendix provides visibility to outstanding teaching a speech that was becoming too technical. Marc Bonhomme, there is a ‘degree of ambiguity’ inherent in any figure of speech. Author of the key figures of speech, he considers that the scope of the stylistic figure can not be understood without reference to the discursive act of enunciation.
By syntactic levels and effects illocutionary
In general, the discourse is a set of words that can be studied from various perspectives. It consists of a set of decomposable language levels in absolute terms, maintaining relationships morpho-syntax (grammar) and semantic (linguistic context): the word, the phrase (phrase), sentence (or proposal), the text. If this division is being debated, it remains the most accepted.Figures can be defined in their mechanisms and their effects, or according to the level (s) in which they operate. Thus, the figures of meaning operating on the word, the phoneme or morpheme, then the minimum level, in the case of paronomasia, the epenthesis, apheresis, syncope. Figures syntactic operate on groups of words and phrases, in so-called ‘phrasal’ (the phrase) in the case of épanorthose, the parallelism of the ellipse. Figures semantic operating on the intra-linguistic meaning (present in the text), in relationships of images, in the case of the oxymoron, the hypallage and metonymy. Figures referential act on these extra-linguistic context (outside the text), in relationships of images also often shift; case of irony, understatement. These four levels can, by crossing with the two axes defining the nature of the previous figures (present / absent), to achieve a particular effect by a particular mechanism, meaning a special meaning:a figure of speech.
The classification of figures of speech can also be done according to the criterion of the effects they produce in the recipient. Thus, there are four categories: attention (for a deviation from the norm, the figure hit the speaker, in the case of the inversion for example), imitation (imitation of a content of a text the shape given to it (the concept of imitative harmony), such as alliteration), enriches the connotation in the sense polysemy, as in the case of tropes. Moreover, most of the existing figures induces this type of effect and finally catachreses: Some figures are not for effect, because the deviation from the standard on which they rest is simply accepted by usage. This is the case of certain recognized metonymy and metaphors become cliches become indispensable as the expression ‘The wings of the aircraft’ based originally on a metaphor. Catachreses and enrich the language, from a job that was then figure of speech but become normative.
Figures of speech and human sciences
Neurology
For neurophysiology, according to research by Paul Broca (Broca’s area) and those of Carl Wernicke (Wernicke’s area) on aphasia, the use of tropes reveals the intensity of language disorder. Broca identified a variety of symptoms purely language translated into figures of speech such as wordy, jargon or stereotype (repeat) that provide information on the mechanisms of semantic understanding. The linguist Roman Jakobson back in the 1950s the work of Broca and thereby develops the theory of two-axis (paradigmatic / syntagmatic) in a pragmatic perspective. Jakobson founded by then the foundations of a bridge between semiotics on the one hand and neurology on the other. Further research exploring the relationship with figures of speech perception, especially in synaesthesia.
Modern neurology, with the magnetic resonance imaging and simulation experiments shows that the image is clean in mind. Thus, a current called cognitive semantics attempts to show how our conceptual organization based on process essentially metaphorical.Metaphor and metonymy are precisely the heart of this research. Jean-Luc Nespoulous, a researcher at the Laboratoire Jacques-Lordat, Brain Science Institute of Toulouse, shows that the lack of night metaphor for understanding a complex statement. Bottini (1994) in turn suggests the important role that play the right hemisphere in the appreciation of metaphor: the treatment of the figure involve additional cognitive resources. Experiences of playing time, longer for metaphorical statements as literal statements (Janus