Les figures de styles
Une figure de style, du latin figura, est une méthode d’expression qui diffère de l’usage ordinaire de la langue et donne une expression à ce sujet en particulier. On parle aussi de «figure de style.’ Alors que certains auteurs font des distinctions dans le cadre de ces deux expressions, tous les jours, en fait synonymes.
Les chiffres de la parole, liée à l’origine de l’art de la rhétorique, sont une caractéristique de textes appelés «littéraire», ils sont cependant, un usage commun dans les interactions quotidiennes, écrites ou orales, au moins pour certains d’entre eux, comme illustré par le métaphores du capitaine Haddock exemple offensive.
En général, les figures de style sont en jeu, c’est le sens des mots (les chiffres comme une métaphore de substitution ou de la litote, l’antithèse ou oxymore), ou leurs sons (allitération, paronomase, par exemple) ou, enfin, leur ordre dans la phrase ( anaphore, la gradation de la plus importante). Elles sont caractérisées par la diversité linguistique de traitement complexes, impliquant stylistiques de la volonté du Président, et produit l’effet désiré sur l’auditeur, le contexte et la référence culturelle.
Chaque langue a ses propres chiffres de la parole, leurs traductions sont souvent problématiques de fidélisation sur l’image désirée.Par conséquent, cet article ne traite que des figures de discours en français.
Les chiffres de la parole sont un vaste complexe de différents processus et l’étude difficile. Des chercheurs ont identifié, à partir de l’antiquité gréco-romaine (avec Cicéron, Quintilien) des centaines de figures de style et d’universitaires ont attribué les noms et les a ensuite essayé de les classer (Fontanier Dumarsais).
La linguistique moderne a renouvelé l’étude des processus d’écriture en introduisant de nouveaux critères, l’identification et la classification, basée à son tour sur la stylistique, psycholinguistique, ou des mécanismes pragmatics.The des figures de style sont en effet enquêté neurolinguistique et la psychanalyse.
Définition et caractéristiques
Principe: une déviation de l’utilisation normale du langage
L’auteur (de l’auctor latin, auctoris) est, étymologiquement, «celui qui augmente, ce qui bouge.’ La contribution de l’écrivain vient en partie de son style, c’est-à-dire de tous les moyens d’expression qu’il utilise dans ses remarques et qui reflètent sa personnalité, qui résume la formule célèbre de Buffon: ‘. Le style est l’homme’ Cette manière d’écrire propre se fonde en particulier sur l’utilisation de figures de style, du latin figura, mot pour un objet. Ce sont des écarts par rapport à la langue commune.L’auteur amplifie son discours par l’utilisation de chiffres, y compris l’utilisation de l’imagerie, mais pas seulement. Pierre Fontanier est le premier qui a développé la théorie de la figure-écart. Beaucoup de figures de la parole ont également intérêt à agir sur le rythme, la construction syntaxique ou repetition.We peut identifier deux figures de la parole dans ces versets:
Le terme «Soleil noir de la Mélancolie» Nerval permet à l’image de deux idées. Il ya en effet un oxymoron, est la combinaison de deux mots à connotations opposées («soleil» et «noir») et de la métaphore (analogie entre le «soleil noir» et «mélancolie», une maladie de l’ennui), qui permettent au lecteur de percevoir la sensibilité de l’auteur et son univers mental, marqué ici par l’étrangeté et la douleur de vivre. En conséquence, le chiffre d’expression est une composante essentielle dans le style d’un écrivain, mais aussi, plus généralement, dans tous les haut-parleurs et dans le langage lui-même:
‘La formation de figures de style est indivisible lui-même, dont tous les mots abstraits sont obtenus par une injustice ou tout transfert de sens, suivie d’une signification oubliée d’origine.’
Nom: la ‘figure de style» à «la figure de style’
Le terme «figure de rhétorique», du latin figura, est en soi l’union des deux tropes:
«Le terme«figure de rhétorique ‘est un ensemble de deux figures contiguës de la parole, la métaphore et la métonymie: le’ style ‘était une fois un coup de poing à brûler les personnages de cire, puis dites«de style»à la place de l’écriture est une métonymie (l’outil au lieu d’utilisation); chiffre juste pensé, «dessin», il ya donc la dérivation de sens, la métaphore, comme nous nous déplaçons d’une idée à sa représentation».
L’usage commun confus parce que les expressions de «figures de style» et «figures de style», mais certains auteurs distinguent entre les deux. Ainsi, dans ses Eléments de la Rhétorique, Jean-Jacques Robrieux personnalités éminentes de la parole, qui jouent un «rôle persuasif» et forment une classe de processus fonctionnels, les chiffres disent d’autres non rhétorique et qui peuvent être «poétiques, humoristiques et lexicales». La distinction entre les chiffres académiques aussi de la parole, de persuasion, de figures stylistiques, pour le «ornement du discours.’
Pourtant, derrière la figure du discours est l’une des composantes de l’elocutio, une partie de l’art de la rhétorique qui s’attache au style et les ornements du discours.Pour Cicéron, il est caractéristique de l’orateur et «s’adapter à ce que l’invention fournit des mots appropriés et des phrases.’ Alors, la rhétorique la plus littéraire. Le chiffre de la parole est le lieu d’une bonne expression et d’ornement («ornatus»). Selon la rhétorique classique, la parole et le choix des mots et la composition de phrases (les phrases ou «cola» doivent être équilibrés), le rejet des archaïsmes et des néologismes, l’utilisation de métaphores et de figures adaptées au propos (à condition qu’ils soient clairs, autrement c’est la faute de l’expression), et enfin, le rythme doit être souple et au service du sens. Rhétorique de Herennius et recommande ‘l’élégance, l’agencement des mots, la beauté’. Les chiffres de la parole (ou «schématique» en grec) est donc la qualité de l’orateur. Ils fournissent une première plaisir (ou «délectation») que «mérite apparente [est] de s’écarter de l’usage commun», selon Quintilien, mais sont principalement utilisé la persuasion et l’argumentation. Ainsi, la notion de «rhétorique» est à chercher dans la catégorie plus large des figures de style.
Emploi écrites et orales
Le chiffre de la parole est précisément un processus d’écriture – par opposition à la «formule standard» – qui consiste à «l’effort» de l’orateur pour former la figure, on entend un style en somme, et «l’effet» de l’orateur qui utilise sa sensibilité. Les chiffres de la parole sont définies comme un sous-ensemble du style, se compose d’écarts par rapport à l’usage commun du langage, un travail remarquable de mots et de leur agencement. Elles concernent, et une relation particulière entre le «signifiant» (le mot) et «signifié» (signification). Les chiffres de la parole sont toujours présents, cependant, sur la littérature et même dans l’expression poétique, non comme indiqué par George Lakoff. Par exemple, dans le journalisme métonymie: ‘L’Elysée a indiqué.’ Ils sont encore plus dans la langue parlée, qui cherche à attirer l’attention du récepteur et de l’utilisation des procédés de l’ironie, des calembours, des clichés, des phrases congelés ou des raccourcis dans le langage d’expression que l’imagerie «Il pleut». Toutefois, pour Bernard Dupriez, «il n’est qu’occasionnellement que les chiffres sont de changer la langue.’
Cette déviation de l
a «langue standard» conduit, cependant, des limites d’acceptabilité pour une figure de rhétorique. Alors que le chiffre est trop différente de la norme elle tombe dans le registre des solécismes. Mais le sens est aussi une limite:en fait, la phrase peut être grammaticalement correcte, mais asémantique (aucune signification). L’expression poétique «inventant» des formes, il échappe à des exemples de bonnes restrictions.Some des textes surréalistes, comme ces versets:
En post d’hier, vous télégraphierasque nous sommes morts avec le facteur de tristes hirondelles.facteur un cercueil sous votre brasva ne portent des fleurs dans ma lettre à en tirer.
La même chose est vraie des anacoluthe comme dans la dernière strophe de L’Albatros de Charles Baudelaire: ‘Exilé sur le sol au milieu des huées / / Ses ailes géantes de l’empêcher de marcher.’ Néanmoins, afin d’évaluer un chiffre par rapport à cette norme devrait définir un ‘degré zéro de l’écriture», comme Roland Barthes et utiliser un langage qui n’est pas possible car le ton de chaque enceinte sur sa propre subjectivité. C’est dans les textes littéraires qu’ils rencontrent dans les chiffres de discours utilisés pour leur fonction esthétique et leur effet sur le «signifié»: chaque type a ses figures spécifiques ou favoris.Les romans se servir du processus descriptif ou allusive que analepse ou digression, la poésie se concentre chiffres jouant des sons (allitération, homéotéleute) ou des images (métaphore, personnification) lorsque le drame du théâtre utilisé pour ses figures imitant orale ou phrases de moduler l’intensité de la l’action. Cependant, de nombreuses figures de rhétorique sont transversales à tous les genres et toutes les périodes.
Beaucoup de fonctions
Les chiffres de la parole fournissent un riche servie par l’originalité formelle qu’ils ont, c’est «l’effet de sens.’ Ils ont une telle puissance remarquable de la suggestion dans le cas de la métaphore («les cheveux de ma femme savane», André Breton, par rapport à l’expression informative: «Ma femme a les cheveux bruns’) comme ils peuvent frapper l’esprit par le raccourci qui est la combinaison des contraires dans l’oxymore («Le superflu, chose très nécessaire», Voltaire) ou produire un effet comique avec le Zeugma (‘Nous devons aimer et à la poussière», Zazie). Ils représentent un effort de pensée et le langage comme expliqué par Littré, et sont les suivants:
D’autres chiffres peuvent créer l’émotion du lecteur par l’effet du stress produit comme dans l’anaphore («Paris! Paris outragé! Paris brisé! Paris martyrisé! Mais Paris libéré!’De Gaulle) ou le jeu des sons dans l’allitération («le crachat rouge du raisin, «Rimbaud) Dans d’autres cas, l’intérêt sera purement esthétique, comme dans la récupération de la anadiplose juxtaposés.:
Comme semé dans le champ est vert plein, le vert est verdissement dans le tuyau, le tuyau poils sur l’épi florissante
Ainsi, les figures de style sont à mettre sur le même niveau que d’autres traits linguistiques telles que les processus de taux (cadence période poétiques en prose), les procédés de la syntaxe (choix de la coordination ou de subordination), les procédés sémantiques et logiques (syllogisme, la tautologie, sémantique champs etc.) ou des procédés de versification (rime, synérèse / tréma, etc) ..
Chiffres linguistique et stylistique de la parole
Pluralité de significations
Les chiffres mécanisme de formation de la parole est difficile à conceptualiser, il existe de nombreuses définitions du concept. La linguistique moderne retient trois:
«Effet de sens produit par une construction particulière de la langue qui diffère de l’utilisation la plus courante, des figures de style peuvent modifier le sens des mots, changer l’ordre des mots dans la phrase et ainsi de suite.’
Ce pluralisme des définitions conduit à des types différents et variés.Cependant, la plupart sont basées sur trois aspects: l’effet recherché par l’émetteur et le récepteur en premier lieu (surprise, par exemple, le rire ou la peur) le procédé utilisé, un style esthétique participante (en fait, chaque auteur utilise un «stock figurative» donnée ), et enfin la dimension sémantique (l’idée véhiculée). Bacry souligne l’importance du contexte, elle dépend du cadre culturel.
Microstructure Figures et macrostructure
Les types fournis par les œuvres classiques sont caractérisés par leur hétérogénéité. Les auteurs modernes explorer des approches alternatives et de classer les chiffres selon le ‘niveau discursif» dans lequel ils opèrent en distinguant, d’une part, les chiffres des microstructures (isolé sur un élément spécifique du discours, souvent placé au niveau de la phrase) macrostructure et des chiffres sur l’autre (non déclarable segments sur un élément spécifique du discours, au-delà des limites de la phrase et l’interprétation dépend de l’examen du contexte). La taille des personnages permet de les distinguer: «Dès que les chiffres sont compliquées, elles apparaîtront plus clairement, acquérir des biens et deviennent plus rares», d’où le raffinement singulier.
Quelques chiffres disent macrostructure, sont souvent composées de plusieurs figures mineures: l’ironie, un chiffre difficile à classer, par exemple, ou l’allégorie, hypotyposis.Figures microstructurales obtenir des effets localisés et subtile. La répartition des figures de style dans le discours peut être sous la forme d’un spectre est plus complexe: au niveau des mots sont les tropes). Ensuite, certains chiffres se rapportent à la phrase entière comme un oxymoron. Ils peuvent également impliquer une proposition complète (inversions, par exemple). Enfin, dans le texte on peut trouver des figures complexes telles que l’ironie ou l’hypotypose. Chiffres très technique ou tropes, comme par exemple le chiasme peut être des figures plus complexes, allant des phrases entières, comme l’hypotypose, caractéristique qui peut impliquer une douzaine de figures «mineures».
Les chiffres de parole opèrent sur deux langues principales
On peut imaginer des opérations conduisant à la formation de figures et d’effets définis par les positionnant sur un double axe qui est constitutif de la langue (décrit par Ferdinand de Saussure et de Roman Jakobson). Le premier axe syntagmatique matérialisée dans les chiffres praesentia, le discursif co-présents dans un discours (mot EGA est répété, un mot est comparé, etc.)Voici deux ou plusieurs objets se réfèrent à eux-mêmes dans les strictes limites de la syntaxe et selon les règles de la morphologie, la phonétique, la lexicologie et la grammaticalité (signification). Cet axe décrit les chiffres qui sont donnés comme dans praesentia (linguistiquement présent). L’appel lancé par ces opérations à l’univers symbolique et extra-linguistique est très faible, l’image est contenue dans la phrase. Bacry résume la propriété de cet axe à partir du point de vue de la déclaration du producteur:
‘Chaque moment d’une phrase donnée du Président (…) de faire un choix parmi tous les mots qui peuvent être réconciliés avec la syntaxe de [la] peine’
L’axe paradigmatique (figures in absentia) incarne des éléments n’est plus fait référence au discours, mais tout autour: l’univers énonciatif, du contexte, des sentiments mitigés, les symboles. Ici, le chiffre établi de solides relations entre les éléments dans le discours (mot, groupe de mots, phonèmes, morphèmes) et les éléments manquants du récepteur it.The doit donc représenter la référence manquante, lui demandant de mettre en œuvre son monde mental et le partage des connaissances. Cet axe décrit les chiffres disent par contumace, le contexte virtuel.
L’image ici est aussi fort que possible pendant la contrainte morpho-syntaxiques est libéré.Les chiffres représentent les tropes opérant exclusivement sur cet axe.
Il ya des chiffres mitigés, opérant sur les deux axes, comme la métaphore ou la métonymie, qui ont un statut distinct.
Les chiffres sont d’exploitation sur tous les signes linguistiques
Sur le graphème d’abord, en fait, plusieurs figures changer les lettres de l’alphabet, comme les méthodes oulipien ou palindrome,
Puis le phonème (les accents, les sons, les syllabes, les voyelles et les consonnes, les voyelles et les groupes de consonnes, pieds métriques). Les principaux chiffres sont là pour poétique et rythmique que les allitérations et assonances (les sons du jeu), le homéotéleute, le classement aussi.
Le morphème c’est-à-dire les mots, les phrases, les particules et les conjonctions, les codes typographiques, la ponctuation, l’étymologie et l’hypotaxe, asyndète etymologica ou imaginaire.
Enfin, la truie est la connotation, la polysémie, le lexique, le mot, antonymes, des synonymes, ou paronymie sur les champs sémantiques aussi bien. C’est le cas des plus connus: la métaphore, comparaison, oxymore.
Cependant cela est moins d’un critère de définition, car elle exclut l’effet et l’intention, comme un moyen d’identifier ou de révéler ce niveau de discours de personnalités de la parole impliqués.Cette classification est utilisée principalement dans l’éducation, l’enseignement chiffres apprentissage de la parole la plus utilisée, particulièrement dans l’exercice de ces observations.
Figures de style et les procédés
Outre les méthodes traditionnelles de classification sont des figures de style sur les propriétés et la nature inclassable. Souvent définie comme «processus de style«ils forment une ligne presque infinie et fine, combinant plusieurs aspects.First de tous les écriture spécifique d’un auteur (son style) peut définir le style des processus souvent considérés comme des figures du discours dans son propre droit. Par exemple, l’imagerie et coloré de San Antonio est lui-même l’assemblage de nombreuses figures. Par ailleurs, les «contraintes» oulipien, le nom de l’Ouvroir de Littérature Potentiel, qui sont des chiffres sans effet et sans but lucratif, mais qui sont dans le manifeste esthétique du mouvement (comme une anagramme ou lipogramme, etc) sont classés comme des figures de la parole quand ils opèrent dans des manipulations simples de la langue. En eux-mêmes ils sont suffisants en eux-mêmes, en ce qu’elles permettent de tester la souplesse du langage.
L’utilisation du dessin, comme dans le cas des calligrammes ou des lettres, y compris des photos est un autre style créatif, ainsi que la manipulation de la syntaxe:par la déconstruction (Louis-Ferdinand Céline écrit par exemple), par l’écriture automatique (le poème d’Aragon par la bouée Louis par exemple), ou hermétique (comme dans le poème de Stéphane Mallarmé Hommage droit), pour cassé ou s’apprête à ouvrir. L’utilisation de jeux de mots aussi une vaste gamme d’effets stylistiques. Enfin, les opérations sur le matériel graphique, tels que des onomatopées, changer la police de caractères (blancs typographiques spécifiques roman poétique), l’utilisation de la ponctuation non standard ou de la ponctuation suppression (esthétique de la poésie expérimentale moderne, appelé ‘blanc’ ou inclure le Nouveau Roman) processus sont souvent vus comme des figures de style.
Historical
Antiquité
La rhétorique grecque
Platon est le premier à mentionner les chiffres de la parole grâce à ses dialogues, en particulier le Gorgias et le Phaedrus.He est intéressé par le discours permettant de clarifier ses pensées (le λόγος, logos) pour mieux exprimer l’idée de communiquer dans une approche herméneutique ou sage-femme. Platon distingue deux arts rhétoriques, l’autre grièvement sophistiquée, la différence étant dans le bon usage de la logique et les chiffres sur l’effet désiré dans le récepteur (dans la véritable rhétorique pour convaincre, séduire le sophisme).Platon défini par cette partie de la construction de figures du discours (les arguments soi-disant); sur son utilisation constante des images et des analogies que l’allégorie de la caverne, le exemplifications aussi rendre esthétiquement un style modèle d’utilisation, au-delà d’une utilisation simple de argumentatif rhétorikè Teknik (grec technique rhétorique).
C’est Aristophane de Byzance, qui établit le premier annuaire lexicographique contenant de nombreuses personnalités. Les haut-parleurs mis hors d’une grande force argumentative et chiffres évocateurs, tels Démosthène, Lysias et Isocrate.
Aristote lui-même le premier dans sa rhétorique, pour étudier l’effet des figures de style sur les récepteurs, à travers trois types de persuasion sociale à travers le langage, construit autour d’un effet est logique ou émotionnel. Ses autres travaux de la Poétique qui concerne renommée au genre théâtral et la notion d’imitation (mimesis en grec) est encore à penser à l’effet illocutoire. Il définit ensuite les termes d’une «langue assaisonnements trouvé’ agissant soit sur le rythme ou la mélodie ou le chant. Aristote interprété par celui figures majeures de la parole, les plus évidents parce que jouant sur la modulation de mots (rythme, mélodie et chant).Aristote va permettre à ses partisans – notamment médiéval – classer des figures de style à travers leurs effets.
Rhétorique latine
Les orateurs romains définir une nouvelle rhétorique pour satisfaire aux conditions prescrites dans la déclaration publique par le Protocole latine. Reprenant Aristote, les Romains, il sera plus une rhétorique commode.
Cicéron, dans son livre, y compris le fondateur de l’invention, un discours effectivement divisée en trois parties: narratio et peroratio confirmatio. Chacune est expliquée par la mise en œuvre de chiffres spécifiques liés à l’utilisation d’arguments et de preuves. Deux niveaux d’impact sont considérés: l’ethos pathétique, πάθος en grec ancien, (en jouant sur les sentiments de l’auditeur) et ἔθος (le locuteur est dans une certaine apparence). Cela donne lieu à un éventail de capacités détenues par le haut-parleur pour animer son discours, y compris: l’elocutio qui correspond au choix des mots et la mobilisation des figures de style. Pour Cicéron, de sorte qu’ils deviennent un instrument conscient utilisée par l’émetteur, afin de provoquer un effet sur le récepteur. D’autres œuvres de l’orateur romain a continué la réflexion sur les catégories de discours:Brutus ou le Dialogue des orateurs illustres, des conférenciers parfait et au-dessus des sujets qui mettent l’accent sur les arguments et leur format, par conséquent, les chiffres se traduira dits «topiques» des photos de famille et ‘topoï’ (clichés, lieux communs …).
Dans la main Herennius Rhetorica le premier art de parler, l’auteur anonyme codifie la rhétorique et fournit une méthode de formation du discours, à travers, entre autres, des figures de style.
‘Tous les styles de langage, le style, élevée, moyenne, sont tout simplement embelli par des figures de style qui seront discutés plus loin. Disposés avec parcimonie, ils améliorent le discours comme le ferait les couleurs. Placé trop nombreux, ils surcharge»
Il définit deux types de figures de style: les figures de mots et de figures de la pensée que les Romains appelaient les tropes (en référence à la définition large est de ‘tourner’ le mot d’une certaine manière, à imposer une image et une souche à l’époque). Il distingue une série de chi
ffres, qu’il appelle précisément, allant du portrait à la litote. Quelques chiffres qu’ils gardent l’acquisition de ce nom dans nos classifications modernes (l’hyperbole, la personnification, la comparaison …).
Quintilien dans son oratoire institutions se nourrit des réflexions médiévale et Renaissance.Il distingue figurae sententiarum et figurae verborum, à savoir: ‘figures de la pensée» et «figures de style», donnant au mot une figure assise est sa rhétorique aujourd’hui. Son visage connu comme le «mnémonique hexamètres Quintilien’ cadre permet l’utilisation d’effets et de la pertinence des arguments. Il définit deux types de chiffres: dans une large part, le chiffre est une forme particulière de discours, qui est l’étymologie de la figure et le trope. Deuxièmement, dans un sens strict ou étroit il permet à l’auteur de modifier les chiffres poétique de la parole. En effet, pour Quintilien, un chiffre induit un écart par rapport à une norme de discours, un traitement non-conventionnel. Il jette alors les bases du style et de penser que le chiffre de la parole est une perspective réfléchie et esthétique adoptée par l’émetteur, la valeur de sens dans words.These différences linguistiques qu’il appelle les «barbares» sont générateurs d’autres effets:
«Certains ne considèrent pas solécismes ces trois vices de langage, et ils appellent le plus, redondant, et l’enchâssement, ellipse, inversion, anastrophe, affirmant que si ces chiffres sont solécismes, on peut dire l’hyperbate’
Elle définit les niveaux de transformations conduisant à un sentiment accru.Plus généralement, Quintilien passera en revue tous les chiffres connus à l’époque, hérité des Grecs. Quintilien distingue la langue pure – les ‘mots spécifiques’ dans ses paroles – et les «mots métaphoriques» qui sont une transformation:
«Les mots sont ceux qui conservent leurs propres sens originel, les métaphores sont ceux qui sont là où ils sont placés une direction autre que celle qu’ils ont naturellement. A propos des mots utilisés sont ceux dont les emplois sont les plus sûrs. Il n’est pas sans quelque danger qui crée de nouvelles, parce que si elles sont reçues, elles ajoutent peu au discours de mérite, et si elles ne sont pas, ils nous donnent le ridicule même ‘
L’historien romain Tacite, dans son Dialogue des orateurs, comme des figures du discours relatifs à la description afin d’animer ses portraits d’empereurs romains (il a créé l’hypotypose notamment). Il crée en quelque sorte le genre narratif en utilisant des images et annonciatrice de romans. Le Traité du Sublime, attribué au Pseudo-Longin est la naissance du concept de style littéraire, considérée comme gratuite, mais nécessaire pour provoquer l’émotion esthétique.Longin a une influence puissante sur le classicisme, en particulier sur Nicolas Boileau, qui traduit en français et discute de sa contribution à Réflexions critiques sur Longin (1694-1710). Ce dernier définit le sublime comme l’essence de l’art littéraire et la poésie, qui doit être porté à se démarquer de la langue parlée et les gens vulgaires, ‘les délices sublimes, transporte, produit une certaine admiration mélangé avec l’émerveillement et la surprise … Lorsque le pauses sublimes sur, il renverse comme la foudre». Un style plus vrai et conventionnelles est assimilé à «sublime» (Racine, Malherbe …) et les images contribuent de manière significative dans la construction d’un beau style pour évoquer les idées nobles (y compris religieuse).
Moyen Âge et Renaissance
La Pléiade
La Renaissance est une période riche en rhétorique traités. Progressivement, les tropes et les figures seront l’objet d’une nouvelle science: la grammaire. Les auteurs de la Pléiade nouvelle utiliser des figures de style telles que la personnification ou anaphore comme dans la troisième strophe du poème du Antiquités de Rome de Joachim Du Bellay:
Rome est le seul monument, à Rome et Rome vaincue seulement.Le Tybre seul, qui ont fui vers la mer, demeure de Rome. O inconstance mondaines!Quel est ferme est temps destruit, et ce qui est des fuites, la résistance aux intempéries
Les figures sonores que l’assonance et l’allitération purement poétique, sont également utilisés, suivant le principe de l’enrichissement de la langue française, exalté par Joachim Du Bellay dans sa Défense et illustration de traité française (1549). Dans le même temps, en 1539, l’édit de Villers-Cotterêts impose l’usage de la langue française, langue nationale pour tous les actes administratifs. Les Pléiades préconise la formation d’une langue nationale, le français, avec une souplesse et la richesse comparable à la langue latine. Par conséquent, les poètes autour de Du Bellay et Ronsard Pierre continuera à enrichir la langue, parfois à l’excès, de néologismes et de nouvelles images, briser les stéréotypes de l’époque. Par ailleurs, les Pléiades est basé sur la notion d’inspiration, dans les mots d’Horace, et préconise la «innutrition ‘expression de leur invention qui est définie comme la assimiler les mots et les images des anciens et l’adaptation à la langue du poète , une imitation créative dans le end.Nevertheless c’est le renouvellement qui sont à la recherche pour les poètes, en suivant les instructions de l’auteur de la Défense:
En plus de Du Bellay, après avoir fait la défense veut pour ‘illustrer’ la langue française. Cela peut se produire que l’ornementation, comme Pierre de Ronsard définit comme suit:
‘Le ornant et enrichissant de figures, tableaux, tropes, métaphores, phrases et périphrases eslongnées presque tous, ou au moins séparées de la prose triviale et vulgaire (car le style est capitale ennemie prosaïques de l’éloquence poétique), et les comparaisons illustrant adapté descriptions florides, c’est-à-dire passementerie enrichi, broderie, tapisserie et tisse des fleurs poétiques, à la fois pour représenter la chose pour l’ornement et la gloire des vers ‘
Il souligne l’importance des chiffres directe de la parole dans le renouveau de la langue et la puissance d’expression, dans sa clarté ainsi. Ils sont les auteurs de la Pléiade une source d’abondance, copia.Pierre Ronsard et Du Bellay, comme pour les comparer avec un floral ou «épicerie» pour eux, les tropes sont la langue, comme si le texte était un plat à votre goût.
Ramus et le Collège de Presles
Pierre de La Ramée (Ramus dit) et ses disciples, et Antoine Omer Talon Fouquelin, fondée en 1545 comme le groupe de Presles Collège grammairiens, qui, jusqu’en 1562, publie des livres d’étude les titres Ciceronianus rhétorique qu’ils offrent, entre autres choses, une typologie des les tropes et les méthodes de l’éloquence. Antoine Fouquelin en particulier dans sa Rhétorique française (1555) est l’un des premiers en France à son tour, soit à la valeur de ces chiffres, mais par la nature des mécanismes figuratifs, nous pouvons dire avec Fouquelin, la rhétorique a pour but de scientifiques et classificateur. Il distingue entre les «figures de la peine», la «réticence» et «correction». Nous avons déjà Fouquelin avec une tentative scientifique pour nommer et classer les figures et des tropes par leur mécanisme de la langue. Pour Chaim Perelman Ramus’removes la rhétorique d’Aristote deux parties principales, l’invention et la disposition, pour lui donner la parole. «Ramus permet ainsi une«rhétorique de chiffres. ‘
Période classique
La Sublime
La codification stricte des règles en particulier le théâtre et la poésie, sous la direction de Nicolas Boileau théoriciens tels François de Malherbe ou de conduire à une première classification des figures de style, dont le principal critère est qu’ils ne doivent pas occulter les idées de l’auteur, mais d’exprimer p
lus clairement le message. Le registre doit toujours rester du domaine du sublime, en conformité avec les exigences de Longinus. Père Bernard Lamy lui dit lors du débat sur l’ordre naturel des mots et sa relation à la logique formelle, dans sa rhétorique ou l’art de parler, les figures de style sont le langage particulier de la passion. Finalement, la force de l’impression qu’ils ont sur l’auditeur, c’est leur capacité à subvertir l’ordre naturel des mots dans le sentence.Lamy c’est le cas pour l’antithèse de l’hyperbate, la suspension, au détriment de l’exposition claire des idées. Plus tard, Fénelon prochaines Lamy, a annoncé que la sécheresse de la prose française est parce que nous respectons trop l’ordre naturel des idées dans la proposition, et nous ostracisés la figure de l’inversion, cependant, la source de variété et de l’éloquence, le style pour lui, dès lors non la conformité de la linéarité du discours.
Les chiffres du discours et des genres littéraires
Dans le même temps de développer les figures de style de pensée, en particulier avec Molière, et plus généralement celle de l’ironie. Le courant littérature marginale monde Préciosité menant à de nouvelles figures pun libre et inutile, cependant, certains d’entre eux restent dans la culture (hyperbole, litote etc) .. L’Astrée d’Honoré d’Urfé et Clélia, l’histoire romaine de Madeleine de Scuderi sont les expressions du genre. L’excellence est couramment utilisée par les moralistes comme La Bruyère, ainsi que les chiffres de l’agitation et le portrait (ethopée, principalement personnification). Jean de La Fontaine excelle à son tour d’utiliser les chiffres de la construction qui offrent la souplesse nécessaire pour ses Fables (l’accumulation, l’obtention du diplôme) et ceux qui envisagent de faire de l’analogie et de l’image (la fable, gnomisme). Le développement de tels arguments avec les types de prédication et d’une brochure, conduit les auteurs à découvrir une variété de chiffres d’exploitation sur le niveau syntaxique (hypallage, prétérition). Le développement social du roman apporte enfin le nombre de chiffres contrastent (oxymore, antithèse) et l’analogie, dont Marguerite de Navarre et la plus jolie de son, et Charles Sorel Francion, Mme de La Fayette, enfin, avec La Princesse de Clèves livre premier de son genre .
XVIIIe et XIXe siècles
Dans la période médiévale, de nombreux traités successifs et les manuels de rhétorique tenter de proposer une classification des ornements du discours. Rhétorique Bernard Lamy dans le premier ou l’art de parler (1675) stipule que la force de l’impression que les chiffres ont sur l’auditeur, c’est leur capacité à subvertir l’ordre naturel des mots dans le Dumarsais sentence.César Chesneau (Traité de Tropes, 1730) décrit l’utilisation de tropes dans le discours, exemples à l’appui. The Scotsman Hugh Blair (Rhétorique, 1783), Gabriel-Henri Gaillard (Rhétorique des Demoiselles, 1807), Pierre Fontanier Manuel son étude classique des Tropes (1827), François De Caussade (Rhétorique et genres littéraires, 1881) et Paul Prat (Éléments de la Rhétorique et de Littérature, 1889), enfin de publier les traités de rhétorique qui préparent l’analyse moderne. Les deux auteurs sont particulièrement importantes en France: Dumarsais et Fontanier.
César Chesneau Dumarsais
César Chesneau Dumarsais tropes dans son Traité (1730), son œuvre majeure, explique d’abord quel est le style figuratif, et montre comment ce style est commun, et dans les écrits et dans la conversation, il décrit l’utilisation de tropes dans le discours, ses commentaires à l’appui exemples. Il appelle un type particulier de la figure trope qui change le sens.Le chiffre est bien, littéralement et en conformité avec son étymologie, la forme extérieure d’un body.It définit «trope» (un concept non encore différenciée de celle de la figure du discours) comme:
Toutefois, Dumarsais reste sur l’aspect sémantique et n’entrevoit jamais, ou rarement, le mécanisme de la langue à l’œuvre dans la figure du discours, et donc omet beaucoup d’entre eux. Sa contribution réside dans le fait qu’il a montré l’universalité de ces chiffres, tout type de production, écrite ou orale, a en fait utiliser des figures de style ‘Il n’ya rien de si naturel, si ordinaire et si commun que les chiffres dans la langue des hommes. ‘Il a aussi popularisé l’idée que les pensées sont générées et façonnée par la langue.
Fontanier et Pierre Thomas De Quincey
Fontanier Pierre, rédacteur du commentaire célèbre de tropes De Mars, est le premier théoricien de figures de style, à travers deux ouvrages de référence. En 1821, il a publié le manuel classique pour l’étude des tropes, qui est adopté comme manuel dans les écoles publiques (pour la classe de rhétorique). Puis en 1827, dans les figures du discours, il se concentre le premier à proposer une classification scientifique et il sont sept classes. Il réduit les tropes de trois figures exemplaires:métonymie, synecdoque et la métaphore, mais son intérêt réside dans le fait qu’il était en mesure de proposer des définitions précises pour les chiffres enregistrés (et il comprend 82 chiffres). Son système de classification est le premier à être basé sur des opérations systématiques et logiques comme la cause, le résultat, le conteneur, la possession, mais aussi le sentiment, l’effet que le chiffre a suscité dans le récepteur. Fontanier a pu décrire une véritable théorie de tropes – sans être exhaustif dans leur liste – qui a contribué de manière significative aux classifications modernes, tels que Gérard Genette structuraliste.
Thomas De Quincey, essayiste anglais, publié dans son Essai sur la rhétorique, le langage, le style (somme des essais publiés de 1828 à 1851) et fait référence à une théorie moderne de figures de style. Pour lui, le style est «l’incarnation de la pensée», et son esprit tend à la philosophie phénoménologique nettement naissante, l’aulne de l’empirisme. Néanmoins, De Quincey ne pas, à proprement parler, le système de classification, mais elle ouvre le monde des figures de style, alors considéré par ces tropes, l’étude des actes de pensée qui découle du style:
«Parfois, les images ne sont ni les vêtements simples d’une pensée étrangère, ni susceptible d’être détaché de la pensée, mais ils sont certainement le facteur qui renforce l’esprit, car il ajoute à autre chose en lui donnant cette pensée une existence troisième et distincte»
Le chiffre est pour lui «un esprit en mouvement». Organiciste une grande partie de l’art d’écrire, de Quincey considère que les chiffres de la parole tels que allusion et donnant accès à la jonction (du terme, Horace indiquant le rapport entre les phrases) des auteurs sur leurs esprits individuels, leurs visions du cosmos en somme. Déjà près de la structuraliste et Paul Ricoeur, il a inventé de nouveaux concepts pour les tropes qui préfigurent la recherche moderne, de la prémisse qu’il est de leur aménagement et leur disposition dans la phrase qui détermine leurs fonctions et de motiver leurs effets rhétoriques. Ainsi il parle de «processus de textile», donnant lieu à la métaphore du texte comme tissu architectural.
Au XXe siècle
Expérimentation: le surréalisme et l’Oulipo
En plus d’auteurs et de poètes qui, naturellement, de comprendre le potentiel du langage de découvrir de nouveaux tours de pensée et de traitement du langage, le XXe siècle a vu le spectacle spécialiste des différentes tendances à la confluence des nouvelles théories sociologiques, psychanalytiques et linguistiques seront réinterpréter les figures mécanisme de formation des vision esthétique. En général, tout au long du XXe siècle», la rhétorique a été réduite à
sa plus langues, en d’autres termes la théorie des figures‘ Au mépris du discours lui-même et sa dimension sociale et relationnelle.
Le surréalisme est le fondateur mouvement d’une réinterprétation moderne poétique de figures de style. Basé sur l’axiome selon lequel la langue est à réinventer, les surréalistes sont couramment utilisés analogies et les tropes, coupée de toute référence sémantique conventionnelle. Jeux sur les sons ou les orthographes leur permettra de former de nouveaux types de textes à être repris par le deuxième mouvement innovant dans ce domaine: l’Oulipo.Expérience de laboratoire de langue, les auteurs de l’Oulipo va créer une toute nouvelle ligne de chiffres basés sur le concept de contrainte comme la méthode la plus n S (à partir du ‘S 7 méthode’ développé par Jean Lescure en 1961), la littérature combinatoire – qui a permis Raymond Queneau écrit cent mille milliards de poèmes – mais aussi des poèmes basés sur les auteurs mis booléenne theory.The oulipiens forment ainsi une nouvelle classe de figures graphiques (lipogramme, anagramme) ou morpho-syntaxiques (palindrome), revisitant les techniques anciennes souvent ignorées par la littérature conventionnelle, menant à générer de nouveaux types de textes et même de nouveaux genres. Georges Perec a écrit Quel vélo guidon chromé au fond de la cour? qui offre de multiples utilisations des figures de style. La littérature travail collectif propose également une liste potentielle de nouveaux visages et des contraintes oulipiennes qui révèlent la plasticité des figures de style.
Redécouverte: Gerald Antoine et Henri Morier
Le vingtième siècle confirme la redécouverte des figures du discours et la rhétorique. Pour Bernard Dupriez, cette redécouverte se fait en deux étapes. «En France, la première étape vers un renouveau dans l’étude des figures de style en 1959.Gerald Antoine, qui était alors professeur à la Sorbonne, a proposé d’étudier les grands écrivains en termes de leurs processus. ‘
La deuxième étape est la publication du Dictionnaire de poétique et de rhétorique d’Henri Morier, classement des propositions parmi les plus complètes. Henri Morier, professeur d’histoire de la langue française à l’Université de Genève, fondateur du Centre poésie, joue avec son dictionnaire, en fait, une œuvre majeure de Pierre Fontanier. Son ambition est de réinventer la rhétorique dans un aspect plus technique, éclairée par les découvertes et les progrès en langue moderne. Il déterre telles que les chiffres manquants et tente de définir chaque processus.
Les chiffres de la parole et du langage
Le linguiste Roman Jakobson, le créateur des fonctions du langage et de système de communication, estime que les chiffres de la parole faire usage de référentiels et de la fonction poétique du langage. Il ya aussi deux pôles: le «pôle métaphorique» et «pôle métonymique», dominant toute la structure de la langue et permettant respectivement de faire des sélections et combinaisons. Ce double concept a abouti à l’axe de l’expression et le paradigme.
De même, le philosophe Paul Ricoeur dans la Métaphore vive (1975) examine le processus créatif menant à la métaphore cognitive, qui représente le prototype de tous les autres chiffres, la transformation originale en somme. Ricoeur est à l’origine d’un nouveau design, plus universel, de la métaphore, plus interdisciplinaire. Il a dit la métaphore reflète un processus cognitif ne conduisant pas à une seule direction phénomène linguistique de transport, mais surtout liées à l’imagination ou la mémoire.
Μ Le Groupe a fourni, dans les années 1970, une typologie de toutes les figures de rhétorique rationnelle, recueillis dans la Rhétorique livre général. Le groupe ‘l’école de Liège» est en effet composée de linguistes Jacques Dubois, Francis Edeline, Jean-Marie Klinkenberg, Philippe Minguet, F. Pire, Hadelin Trinon et est une approche transdisciplinaire, ils sont les premiers à théoriser que les chiffres du processus discours traduisible dans tout l’art, la notion de «sémiotique visuelle». Pour ces auteurs, des figures de style sont «métabolisme», des concepts génériques à un groupe similaire dans tous les chiffres disponibles, le terme de ‘toute forme de changement, soit en paroles ou en phrases. ‘ Leur typologie est basée sur la base de quatre opérations de base: suppression, ajout, suppression, adjonction, permutation.Ils ont forgé de nouveaux concepts pour les chiffres du groupe, en identifiant les quatre types d’opérations linguistiques possibles: métaplasme (changement phonétique ou morphologique d’un mot qui altère son intégrité par addition, suppression, substitution ou permutation), la syntaxe métataxe modification (d’une déclaration qui modifie l’intégrité de l’) ajout, suppression, substitution ou permutation) et la sémantique métalogique modification (d’une déclaration qui modifie sa cohérence interne et sa valeur de référence, par addition, suppression ou substitution.
Structuralisme
Le structuralisme, avec Roland Barthes, conduit à formaliser une poétique (une réflexion construite sur l’écriture créative) a porté sur le contexte. Les chiffres de la parole apparaissent néologisme créé par, vu que les articulations du discours de la mise en œuvre, dans une explicative, la subjectivité de l’auteur. Gérard Genette dans ses œuvres les figures (3 volumes) afin d’étudier l’assemblage de dispositifs stylistiques dans de grandes collections textuelles dans l’isolement résultant des grandes tendances des genres. La contribution de Barthes réside principalement dans un seul critère de classification que la tenue d’une double transformation. Il ya deux principaux types de figures:le métabolisme (substitution d’un signifiant à un autre, comme des jeux de mots, métaphores et métonymie) et parataxes (modifications de la relation entre les signes tels que anaphores, des ellipses et des anacoluthe). Barthes fait une définition linguistique de la figure de la parole: «La figure de style est défini comme une opération qui, à partir d’une proposition simple, changer certains éléments de cette proposition.’ Cette vision de la figure du discours est la transformation largement mécaniste et structurels qui ont lieu le long deux dimensions: la nature de la relation (la lecture du contenu, le signifié) et la nature de l’opération (en jouant sur la forme du signifiant). De là, Barthes décrit deux plans nécessaires à l’effet de style: les opérations englobant des figures de rhétorique des figures de diction et de construction de la vieille rhétorique, mais en mettant en œuvre quatre transformations de base sont: l’ajout, la suppression, substitution et d’échange et les relations: l’identité, différence, la similitude et l’opposition. Ce plan est fondé, au niveau le plus basique, le concept de semis et sera repris par Algirdas Julien Greimas (Sémantique structurale, 1966) et Jean Cohen (Structure du langage poétique, 1966).La portée de la contribution de Barthes et les structuralistes, en général, c’est leur volonté de réduire les faits de mécanismes linguistiques essentielles en relation avec les théories sexuelles de Sigmund Freud.The nature particulière de la relation (identité / différence) signifie, par exemple, Barthes dans le complexe d’Œdipe et explique l’effet sur le récepteur. Néanmoins, nous pouvons blâmer dans le sens de Barthes le relativisme, le psychologisme de sa vision d’un phénomène qui appartient au domaine esthétique final et de l’acte créateur.
La recherche moderne
La recherche moderne est caractérisé par une grande variété d’approches et d’une préoccupation pour la classification opérationnelle de ces chiffres. Catherine From
ilhague sont appelés les ‘nouvelle rhétorique’.
Chaïm Perelman et Lucie Olbrechts-Tyteca (1958), dans leur argumentation rappelle le traité de valeur argumentative de la figure, selon la théorie d’Aristote, le chiffre devient un droit fondamental (plutôt que comme un ‘ornement’ en option) l’acte d’énonciation , même incorporant un transphrastique large (au-delà de la phrase). Ils demandent également que toute figure de style est un résumé de l’argumentation: par exemple, la métaphore condense l’analogie.
Le groupe d’étude en Roumanie, composée de P. Servien et S.Marcus, le Bulgare Julia Kristeva aussi en question la notion de différence, la préparation des travaux du groupe de μ. Gui Bonsiepe (rhétorique visuelle / verbale, 1965) lui offre une division des figures comme «syntaxique» et «sémantique».
Olivier Reboul, il essaie d’Introduction à la rhétorique (1991), un livre académique majeur. Il semble, après avoir exposé plusieurs siècles de rhétorique et de codage parole, pour concilier hérité de l’argument d’Aristote – qui cherche à convaincre – et les figures du discours, qui forme le style. Reboul propose de réviser la définition des figures de style seul (n’incluant pas tous les chiffres). Il les définit comme «une méthode de style à s’exprimer de façon libre et codifié» rejetant la notion de différence comme constitutive de la figure, dit-il «libre», car l’orateur s ‘est pas nécessaire de les utiliser pour communiquer et ‘ codifié», comme chaque figure est une«structure connue, identifiable, transférable», et toujours liées au pathos.
George Molina, dans son Dictionnaire de rhétorique (1992), développe une méthodologie similaire à celle d’Henri Morier.Il est la source de la distinction entre ces chiffres est la microstructure (comme dans ‘ce matin dans le métro, un mammouth était assis à côté de moi») et ceux qui sont macrostructure (‘Cette fille est vraiment belle’ par exemple).
Michel Meyer histoire de la rhétorique des Grecs à nos jours (1999) est un des chiffres historiques et philosophiques de la parole, dans le cadre de l’argument, la base de la rhétorique.
Les chiffres du discours et sciences humaines
Neurologie
Pour la neurophysiologie, selon une étude de Paul Broca (aire de Broca) et ceux de Carl Wernicke (aire de Wernicke) sur l’aphasie, l’utilisation des tropes révèle l’intensité de la langue disorder.Broca identifié une variété de symptômes purement linguistique traduit en figures de style telles que verbeux, le jargon ou stéréotype (répétition) qui fournissent des informations sur les mécanismes de compréhension sémantique. Le linguiste Roman Jakobson dans les années 1950 le travail de Broca et ainsi se développe la théorie de deux axes (paradigmatique / syntagmatique) dans une perspective pragmatique. Jakobson, puis fondé par les fondations d’un pont entre la sémiotique d’une part et la neurologie, de l’autre. D’autres recherches explorant la relation avec les figures de perception de la parole, en particulier dans la synesthésie.
La neurologie moderne, avec l’imagerie par résonance magnétique et des expériences de simulation montre que l’image est propre à l’esprit. Ainsi, un courant appelé sémantique cognitive tente de montrer comment notre organisation conceptuel basé sur les processus essentiellement métaphorique. La métaphore et la métonymie sont précisément au cœur de cette Nespoulous research.Jean-Luc, chercheur à l’Institut Laboratoire Jacques-Lordat, la science du cerveau de Toulouse, montre que le manque de la métaphore de nuit pour la compréhension d’une instruction complexe. Bottini (1994) suggère à son tour le rôle important que jouent l’hémisphère droit dans l’appréciation de la métaphore: le traitement de la figure associer d’autres ressources cognitives. Les expériences de temps de jeu, plus d’énoncés métaphoriques comme des déclarations littérales (Janus