Emploi littéraire
Après un démarrage lent, Guy de Maupassant a réussi à s’imposer comme l’un des écrivains majeurs du XIXe siècle, avec ses camarades Zola et Flaubert. Auteur histoires, romans et nouvelles, son écriture est dans le mouvement réaliste et naturaliste. Il est également connu pour avoir introduit une dimension fantastique à plusieurs de son enfance près de la Maupassant récits.Une natureguy de était né le 5 août 1850, probablement à Fécamp en Seine Maritime. Il a passé une enfance heureuse à Etretat, le long de la côte normande. Dans ce cadre champêtre, le jeune Guy reçoit ses instructions du prêtre et sa mère, qui possède une vaste culture littéraire. Il passa le reste de son temps entre le port et la campagne, où il se lie avec les pêcheurs et les paysans autour de lui plus tard, inspirera plusieurs personnages. À l’âge de 12 ans, il fut envoyé à bord au collège religieux d’Yvetot, qui sera la source de son dégoût pour la religion. Il rejoint ensuite l’école à Rouen en 1868.A carrière dans administrationAu échoué hors de l’université, Maupassant est mobilisé pour la guerre de 1870 contre la Prusse. Il a servi dans la gérance de Rouen jusqu’à la débâcle de 1871.Il a ensuite travaillé à Paris comme fonctionnaire au ministère de la Marine pendant près de 10 ans, et le ministère de l’Éducation. Ces emplois administratifs étant une profonde source d’ennui pour lui, Maupassant met un terme à sa carrière dans l’administration de se concentrer sur l’écriture des débuts d’une carrière littéraireAlors 1880.Les il écrit ses premiers vers au séminaire à l’âge de 13 ans et sur les les bancs de la Haute Ecole de Rouen, Maupassant ne développe pas son talent littéraire vraiment jusqu’aux années 1880. A cette époque, Flaubert, ami de longue date, sa mère lui introduit dans le naturaliste littéraire et réaliste. Dans les cercles littéraires, il rencontre Tourgueniev, Zola et les Goncourt brothers.Maupassant cessera alors d’s’il vous plaît son mentor, le célèbre auteur de Madame Bovary, dont il présentera sa vie comme le fils spirituel. Il a publié des poèmes, des histoires et joue cette victoire, cependant, sans succès. Après cette série d’échecs, il parvient à gagner l’estime de son maître en 1880 avec la sortie de balle de suif. En effet Flaubert, qui est décédé la même année, puis a déclaré que cette nouvelle ‘un chef-d’œuvre qui restera.«La reconnaissance de publicEn 1880, Maupassant a finalement atteint la célébrité en participant à l’œuvre collective de Medan Soirées, considéré comme le manifeste de l’école naturaliste. Elle publie le suif nouvelle balle est un tel succès qu’il a ouvert les portes du journalisme. Il a ensuite signé un nombre d’articles, des histoires, des feuilletons et des rapports dans des journaux comme Le Figaro, Gil Blas, Le Gaulois et l’Écho de récits Paris.His sont ensuite regroupées dans des collections comme La Maison Tellier (1881), Contes de la Bécasse (1883) , ou les contes de la journée et la nuit (1885). Elle publie également des romans réalistes, y compris une vie on note en 1883, Bel-Ami en 1885 et Pierre et Jean en 1888. auteur à succès, Maupassant devient riche. Il a acquis un voyage yacht en 1885 à bord en Afrique du Nord, Italie, Angleterre, Grande-Bretagne, dans le sud de la France, Sicile.Devenu célèbres, l’auteur fréquenté soirées parisiennes, mais a du mal à se mêler à la farce sociale. Il trouve ce qu’il dépeint si souvent cynique dans ses romans la cruauté de la race humaine par la voix de son pire qualités: l’égoïsme, la cupidité, la bêtise … Mort prématuréeDans les dernières années de sa vie, Maupassant, souffre de troubles du système nerveux causées par la syphilis.L’aversion progressif à la société, qui augmente à mesure que sa paranoïa augmente, conduisant à life.Depression reclus, diminué physique et sombrer lentement dans la folie, il est mort 6 Juillet, 1893 à l’âge de 43 ans.
La littérature mot, dérivé de la littérature latine du Littera (lettre) apparaît au début du XIIe siècle avec un sens technique de «parole écrite» et ensuite de passer à la fin du Moyen Age à la signification de la «connaissance des livres’ avant d’atteindre XVIIe – XVIIIe siècles sens aujourd’hui, primaire: toutes les œuvres écrites ou orales avec une activité esthétique ou de participer à leur développement.
La littérature est définie en effet comme un aspect spécifique de la communication verbale – orale ou écrite – qui implique l’exploitation des ressources de la langue pour multiplier les effets sur le destinataire, qu’il soit lecteur ou auditeur. Littérature – dont les frontières sont nécessairement vagues et varient d’évaluations personnelles – se caractérise pas par ses supports et ses genres, mais par sa fonction esthétique: le formatage du message l’emporte sur le contenu, dépassant ainsi l’outil de communication pour transmettre des informations limitées, même complexes.Aujourd’hui, la littérature est associée à la civilisation des livres par lesquels nous parlons auteurs à distance, mais il concerne aussi les différentes formes d’expression orale comme la poésie traditionnelle des peuples sans écriture – dont nos chansons sont des cousins éloignés – ou au théâtre, à être reçus par la voix et les acteurs du corps. La technologie numérique, toutefois, peut être de transformer le médium traditionnel de la littérature et la nature.
Le concept de littérature a été régulièrement contestée par des écrivains tels que par les critiques et les théoriciens: cela est particulièrement vrai depuis la fin du XIXe siècle quand ils ont cherché à redéfinir – comme l’art – la littérature fonctionnalités (par exemple avec la notion d’engagement de Sartre, Qu’est-ce que la littérature? ) et la nature (réflexion sur l’écriture et la lecture de Roland Barthes ou d’études de linguistes comme Roman Jakobson) et à renouveler l’esthétique (le «Il faut être absolument moderne» du nouveau roman de Rimbaud à travers le surréalisme, par exemple).
Néanmoins, riche de sa diversité ainsi qu’un nombre illimité formelle de ses sujets qui disent constamment revitalisé la condition humaine, la littérature est la première rencontre entre celui qui, par ses paroles, a déclaré que lui et son monde, et celui qui reçoit et partage cette révélation.
Histoire de la parole
Étymologie latine
Le mot français «littérature» vient d’un mot latin dérivé de la littérature Littera «lettre» au sens de matériel graphique utilisé pour transcrire une langue.
Dictionnaire Gaffiot marque une évolution de la signification du mot latin: c’est d’abord (par exemple, Cicéron, le premier siècle avant JC.) Une série de lettres constituant l’acte d’écrire ou d’un ensemble de lettres de l’alphabet constitué (Tacite), puis étendu dans la direction de Isiècle AD. AD (par exemple, Quintilien et Sénèque) que dans la grammaire, la philologie, c’est-à-dire, l’étude technique et des textes savants écrits, se terminant par Tertullien au début du troisième siècle, dans le sens de la connaissance, l’érudition dans le texte écrit.
Premiers certificats en français
Selon le TLF, le mot est attesté dans le début du XIIe siècle (en 1121) avec le sens latin d’origine de «parole écrite». Le mot «littérature» ne peut pas trouver le sens de la fin des années latin ‘l’apprentissage, les connaissances acquises à travers les livres» à la fin du XVe siècle ‘: le TLF cite l’exemple de J. de Vignay et Philippe de Commynes).
Evolution de la signification au XVIIe – XVIIIe siècles
Selon Philippe Caron, le mot «littérature» conserve le sens général de «connaissance
s obtenues par les livres’ jusqu’au XVIIe siècle: on dit ‘ont littérature» comme on dit aujourd’hui «avoir une culture’ Il couvre tous les domaines de connaissances générales, et en 1699, Fontenelle présente les mathématiques comme «une sorte de littérature.’
Mais dans la seconde moitié du siècle, avec le sens général, le mot s’applique plus à une connaissance limitée, celle des «belles-lettres» liés à la belle langue. Ce changement reflète l’évolution sociale des élites est établi sous Louis XIV, où la notion d’un honnête homme, capable d’une vie raffinée sociale faite de valeur des pratiques culturelles comme la connaissance des œuvres littéraires, en particulier ceux de la qui alimentent le théâtre antique classique tout en poètes exploiter les types définis par Aristote comme la poésie épique.
Au XVIIIe siècle le mot «littérature» est tout à fait synonyme de «Belles Lettres», c’est-à-dire des œuvres reconnues par les gens de goût, et constituant la culture mondaine de l’époque constitué une meilleure éducation et le monde des salons littéraires et des académies; et à Voltaire: «La littérature se réfère à travers l’Europe une connaissance des œuvres de goût.’Un autre exemple montre que le mot«littérature»avec le sens commun d’aujourd’hui est maintenant bien établi dans le milieu du siècle des Lumières: en 1753, Charles Batteux le titre de son livre«la littérature de cours, ou Principes de la littérature»et réédité en 1764 ne laissant que«Principes de . littérature»La même année, parut«L’école de la littérature»de Laporte Père dont le sous-titre de la deuxième partie est clair:«Des règles spéciales de chaque type de littérature en prose et en vers».
Le mot est encore en évolution lente de 1750 à un sens plus large de «créer la langue écrite’ en laissant un rôle plus important dans les jugements subjectifs sans restriction des critères esthétiques: Ce fut ensuite la liberté de création du poète romantique, même si ce doit être un poète maudit, le design et préfiguré dans son Discours préliminaire de l’Encyclopédie de d’Alembert affirmant que des œuvres d’art sont essentiellement ‘de l’invention qui fait peu que ses lois de génie’. Paul-Louis Courier défini de la même façon dans les années 1820 comme une œuvre littéraire», produit par l’instinct et le sens de la beauté’ Ainsi, le sentiment de l’auteur et pas nécessairement celle de l’établissement.
Littérarité: problèmes dans la littérature
Les débats esthétiques et morales seront également jamais fermé toutes les ambitions des auteurs ne correspondent pas forcément aux attentes des lecteurs, ce qui pose la question de l’avant-gardes qui apparaissent sur presque toutes les générations depuis 1830 et reflètent les mouvements littéraires qui ont réussi que le romantisme , le naturalisme, la décadence, le dadaïsme … La division en périodes historiques ou dans des zones linguistiques aussi un débat et est combiné avec l’éclairage d’autres: la distinction par sexe des auteurs (littérature féminine), sexuelles (littérature «gay»), les approches politiques (littérature communiste) …
La littérature a aussi interrogé régulièrement sur sa nature et son rôle depuis la fin du XIXe s, en pratique (par exemple, Lautréamont, Mallarmé, Camus) comme dans la théorie (par exemple, Paul Valéry, Sartre). D’abord principalement axées sur la poésie par le «moderne» (surréalistes, lettriste Oulipo), la réflexion a porté sur la romaine avec le Nouveau Roman dans les années 1950-1970 et de l ‘«ère du soupçon» qui remet en question la notion de personnage, la chronologie , ou de nouveaux genres tels que l’auto-fiction d’aujourd’hui, et aussi dans le théâtre (Antonin Artaud – Théâtre Beckett ou Ionesco éclatement).Les discussions ont été ouverts et portés par des designers tels que par des universitaires et des critiques, par exemple au sujet du lien entre l’œuvre et l’auteur contesté par Proust contre Sainte-Beuve, ou la «mort de l’auteur’ proclamée par Roland Barthes, pour qui le lecteur vient le rôle majeur qui réécrit le texte lui-même.
En fait, la «littérarité d’un texte», c’est-à-dire ce qui rend un texte littéraire, appartient à la littérature, est toujours la question centrale des approches telles que le structuralisme avec Roland Barthes, Gérard Genette narratologie, de stylistique, définie comme une linguistique ‘ effets de la poste par Michael Riffaterre ou l’analyse de la structure des fonctions de communication et du langage de Roman Jakobson qui cherchent à construire un des textes techniques et objectifs qui fonctionne néanmoins l’opposition forte, par exemple celle d’Henri Meschonnic.
Histoire de la parole
Étymologie latine
Le mot français «littérature» vient d’un mot latin dérivé de la littérature Littera «lettre» au sens de matériel graphique utilisé pour transcrire une langue.
Dictionnaire Gaffiot marque une évolution de la signification du mot latin: c’est d’abord (par exemple, Cicéron, le premier siècle avant JC.) Une série de lettres constituant l’acte d’écrire ou d’un ensemble de lettres de l’alphabet constitué (Tacite), le sens s’est ensuite élargi en premier siècle après JC. AD (par exemple, Quintilien et Sénèque) que dans la grammaire, la philologie, c’est-à-dire, l’étude technique et des textes savants écrits, se terminant par Tertullien au début du troisième siècle, dans le sens de la connaissance, l’érudition dans le texte écrit.
Premiers certificats en français
Selon le TLF, le mot est attesté dans le début du XIIe siècle (en 1121) avec le sens latin d’origine de «parole écrite». Le mot «littérature» ne peut pas trouver le sens de la fin des années latin ‘l’apprentissage, les connaissances acquises à travers les livres» à la fin du XVe siècle ‘: le TLF cite l’exemple de J. de Vignay et Philippe de Commynes).
Evolution de la signification au XVIIe – XVIIIe siècles
Selon Philippe Caron, le mot «littérature» conserve le sens général de «connaissances obtenues par les livres’ jusqu’au XVIIe siècle: on dit ‘ont littérature» comme on dit aujourd’hui ‘ont la culture», il couvre tous les domaines de connaissances générales, et en 1699, les mathématiques Fontenelle présenter comme «un genre de littérature.’
Mais dans la seconde moitié du siècle, avec le sens général, le mot s’applique plus à une connaissance limitée, celle des «belles-lettres» liée à la réorientation language.This belle reflète l’évolution sociale des élites est établi sous Louis XIV, où la notion d’un honnête homme, capable d’une vie raffinée sociale faite de valeur des pratiques culturelles comme la connaissance des œuvres littéraires, en particulier ceux de l’alimentation que le théâtre antique classique tout poètes exploiter les types définis par Aristote comme la poésie épique.
Au XVIIIe siècle le mot «littérature» est tout à fait synonyme de «Belles Lettres», c’est-à-dire des œuvres reconnues par les gens de goût, et constituant la culture mondaine de l’époque constitué une meilleure éducation et le monde des salons littéraires et des académies, et à Voltaire: «La littérature se réfère à travers l’Europe une connaissance des œuvres de goût.’ Un autre exemple montre que le mot «littérature» avec le sens commun d’aujourd’hui est maintenant bien établi dans le milieu du siècle des Lumières: en 1753, Charles Batteux le titre de son livre «Principes documentation de cours, ou la littérature’ et réédité en 1764 ne laissant que les «Principes de la littérature.«La même année, parut«L’école de la littérature»de Laporte Père dont le sous-titre de la deuxième partie est clair:«. Des règles spéciales de chaque type de littérature en prose et en
vers ‘
Le mot est encore en évolution lente de 1750 à un sens plus large de «créer la langue écrite’ en laissant un rôle plus important dans les jugements subjectifs libre de l’esthétique restrictive: que serait plus tard la liberté créative du poète romantique, même si ce doit être un maudit poète, la conception et préfiguré dans son Discours préliminaire de l’Encyclopédie de d’Alembert affirmant que les œuvres sont essentiellement ‘de l’invention qui n’a pas que ses lois de génie’. Paul-Louis Courier défini de la même façon dans les années 1820 comme une œuvre littéraire», produit par l’instinct et le sens de la beauté’ Ainsi, le sentiment de l’auteur et pas nécessairement celle de l’établissement.
Histoire de la parole
Étymologie latine
Le mot français «littérature» vient d’un mot latin dérivé de la littérature Littera «lettre» au sens de matériel graphique utilisé pour transcrire une langue.
Dictionnaire Gaffiot marque une évolution de la signification du mot latin: c’est d’abord (par exemple, Cicéron, le premier siècle avant JC.) Une série de lettres constituant l’acte d’écrire ou d’un ensemble de lettres de l’alphabet constitué (Tacite), le sens s’est ensuite élargi en premier siècle après JC. AD (par exemple, Quintilien et Sénèque) que dans la grammaire, la philologie, c’est-à-dire, l’étude technique et des textes savants écrits, se terminant par Tertullien au début du troisième siècle, dans le sens de la connaissance, l’érudition dans le texte écrit.
Premiers certificats en français
Selon le TLF, le mot est attesté dans le début du XIIe siècle (en 1121) avec le sens latin d’origine de «parole écrite». Le mot «littérature» ne peut pas trouver le sens de la fin des années latin ‘l’apprentissage, les connaissances acquises à travers les livres»à la fin du XVe siècle’: le TLF cite l’exemple de J. de Vignay et Philippe de Commynes).
Evolution de la signification au XVIIe – XVIIIe siècles
Selon Philippe Caron, le mot «littérature» conserve le sens général de «connaissances obtenues par les livres’ jusqu’au XVIIe siècle: on dit ‘ont littérature» comme on dit aujourd’hui ‘ont la culture», il couvre tous les domaines de connaissances générales, et en 1699, les mathématiques Fontenelle présenter comme «un genre de littérature.’
Mais dans la seconde moitié du siècle, avec le sens général, le mot s’applique plus à une connaissance limitée, celle des «belles-lettres» liée à la réorientation language.This belle reflète l’évolution sociale des élites est établi sous Louis XIV, où la notion d’un honnête homme, capable d’une vie raffinée sociale faite de valeur des pratiques culturelles comme la connaissance des œuvres littéraires, en particulier ceux de l’alimentation que le théâtre antique classique tout poètes exploiter les types définis par Aristote comme la poésie épique.
Au XVIIIe siècle le mot «littérature» est tout à fait synonyme de «Belles Lettres», c’est-à-dire des œuvres reconnues par les gens de goût, et constituant la culture mondaine de l’époque constitué une meilleure éducation et le monde des salons littéraires et des académies, et à Voltaire: «La littérature se réfère à travers l’Europe une connaissance des œuvres de goût.’ Un autre exemple montre que le mot «littérature» avec le sens commun d’aujourd’hui est maintenant bien établi dans le milieu du siècle des Lumières: en 1753, Charles Batteux le titre de son livre «Principes documentation de cours, ou la littérature’ et réédité en 1764 ne laissant que les «Principes de la littérature.«La même année, parut«L’école de la littérature»de Laporte Père dont le sous-titre de la deuxième partie est clair:«. Des règles spéciales de chaque type de littérature en prose et en vers ‘
Le mot est encore en évolution lente de 1750 à un sens plus large de «créer la langue écrite’ en laissant un rôle plus important dans les jugements subjectifs libre de l’esthétique restrictive: que serait plus tard la liberté créative du poète romantique, même si ce doit être un maudit poète, la conception et préfiguré dans son Discours préliminaire de l’Encyclopédie de d’Alembert affirmant que les œuvres sont essentiellement ‘de l’invention qui n’a pas que ses lois de génie’. Paul-Louis Courier défini de la même façon dans les années 1820 comme une œuvre littéraire», produit par l’instinct et le sens de la beauté’ Ainsi, le sentiment de l’auteur et pas nécessairement celle de l’établissement.
Statut de la littérature et l’écrivain
La littérature des questions aussi face à la concurrence du cinéma et de télévision et étant donné l’utilisation récente de la technologie de l’information et des communications et technologies de l’information dans la production et la diffusion de textes qui soulèvent des questions de manière plus générale de l’écriture dans le monde postmoderne. Cependant, il n’ya aucun doute sur l’avenir de la littérature:il est dérivé de l’Ecriture. Et vous ne pouvez pas effacer le rôle de l’Écriture, il remplace ce qui est dit, a parlé de la bouche.
Enfin, les auteurs (sauf pour les dramaturges et auteurs-compositeurs qui font face le monde de la scène et la distribution de musique) n’existent que par l’édition traditionnelle de leurs textes dans le livre ou newspaper.Relations avec le monde de l’édition sont cruciaux pour la littérature et les écrivains ont dû imposer la notion de la paternité de l’œuvre et garantir l’existence du droit d’auteur (droits financiers et moraux) après Beaumarchais, à l’initiative de la Société des Auteurs et Compositeurs Dramatiques en 1777, et Honoré de Balzac avec sa «Lettre aux écrivains du XIXe siècle’ publiée dans la Revue de Paris en 1834 qui a conduit en 1838 à la création d’entreprise des hommes de lettres. Toutefois, seul un nombre très limité de créateurs de la littérature peut vivre de sa plume, qui continue à être le statut de l’écrivain.
Les horaires de la famille et sens des mots
Sources
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