Editeur de nouvelles
Mein Kampf (Mon combat, en français) est un livre écrit par Adolf Hitler entre 1924 et 1925 pendant sa détention à la prison de Landsberg emprisonnement consécutives Putsch de la Brasserie, échec du coup. Il contient des éléments autobiographiques, l’idéologie politique du nazisme, l’histoire des débuts de la réflexion du NSDAP et diverses sur la propagande ou de parler en public.
L’édition française
Charles Maurras de l’Action française se bat pour une traduction non expurgée de Mein Kampf d’une part d’exposer que, sur la scène politique française, était proche des nazis, l’autre pour identifier l’idéologie nazie.
En 1934, l’éditeur de l’action française, la nouvelle édition latine – Une nouvelle marque, en fait, car elles ont été fondées en 1928 par Fernand Sorlot (près de la droite d’Hitler maurrassien) – Mein Kampf publiée en français. Le livre est réduit à un seul volume de 688 pages sous-titré Mon Struggle.Translated et publiée contre la volonté de Hitler, ce dernier continue de l’éditeur avec la Seine Tribunal de Commerce de Los Angeles pour violation de droits d’auteur. Hitler était alors saluée en France comme un écrivain sur un pied d’égalité avec Proust ou Gide, et soutenu par la compagnie des hommes de lettres qui a fait équipe avec sa plainte.Les juges estimaient alors que «ce travail [représente] un effort créatif. Hitler gagne finalement ce procès Juin 18, 1934.’
L’éditeur, Fernand Sorlot, souligne à plusieurs reprises à l’actualité du livre et de l’intérêt vital pour les Français de savoir «ce qu’il faut maintenant devenu la Bible du peuple allemand». Sélectionnez une phrase, puis figure du maréchal Hubert Lyautey, «Tous les Français devraient lire ce livre.’
Dans le «menaces éditeurs Warning ‘Sorlot est très lourd à la place de la France et a noté que«[Ce] livre, répandu en Allemagne à plus d’un million d’exemplaires, a été soudainement sur l’orientation de tout un peuple comme une influence, est nécessaire de trouver l’analogue, de retour au Coran. ‘Hitler avait’ fermement refusé de permettre la publication en [français … Nous] pensait que c’était l’intérêt national de passer outre ce refus, quelle que puisse être pour nous et pour nos jeunes à domicile les conséquences de notre initiative. ‘
Indiquant que Hitler considérait la France comme le principal obstacle à ses desseins, il mentionne «Ces résultats seront obtenus soit par la prière au Seigneur, ni par des paroles, ni par les négociations à Genève. Ils doivent être une guerre sanglante.»Il affirme également:«Les paroles et les écrits d’un gouvernement public appartiennent au public»et a conclu:«[…] M. Frick a dit: ‘Pour les nationaux-socialistes, le droit est ce qui sert le peuple allemand L’injustice est. que c’est une honte. ‘Nous avons juste pris notre compte cette définition fort.’
En 1936, lors de son procès contre Hitler Sorlot (29 ans à l’époque) sera pris en charge par la LICA, qui va acheter 5000 exemplaires pour distribution aux parlementaires, juges, avocats, représentants des religions, des intellectuels de tous bords etc ..
Traduction – après l’édition allemande de 1933 publiée dans Franz Eher à Munich – est donnée pour complète et neutre avec quelques notes éparses, sans commentaire.
L’opinion du traducteur
Le 25 Février 1934, le traducteur André Calmettes a publié un article dans le Journal de l’Ecole Polytechnique d’où il vient, «Pourquoi j’ai traduit Mein Kampf».
«Je n’ai pas traduit Mein Kampf sans but ni raison. L’imposition de huit cents pages, je suis infligé avec un bon cœur pour le mien et mes amis, mais aussi pour tous les hommes et toutes les femmes de bonne volonté, notamment pour les jeunes.
Je n’entends pas ici pour indiquer les conclusions que chacun devrait avoir le livre, sinon je l’aurais analysé et commenté, non traduit. Mais il ne convient pas à moi de quitter la critique lui seul la tâche de présenter mon travail, je ne veux pas tout malentendu sur mes intentions, ni de choisir parmi ceux qui peuvent me prêter.
Certes, ce livre, qui a été livré au public allemand dans 1926-1928 jette une lumière singulière sur la politique allemande dans l’après-guerre. En l’ignorant, nous rencontrons beaucoup plus facile à des révélations au compte-gouttes, nous avons été ridicules et stupides, nous avons trouvé de petits fragments d’une vérité que nous jetons dans le visage huit cents pages serrées. Certes aussi, les prophéties du livre engagent l’avenir. La doctrine de l’action politique, complaisamment développé, demeure actuel. Le livre est le dogme de la partie qui mène l’Allemagne actuelle, un dogme majorité active, le futur dogme de l’Allemagne elle-même. Je dis dogme, et je pense que le Coran.
Mais nous devons faire attention à limiter la portée de cette book.Do suivent pas polémiste Hitler qui dit quelque part dans un livre qu’il considère comme indicatif de l’esprit des Juifs: «Quand ce livre deviendra le livre préféré d’un peuple, le péril juif sera évitée.«Ne pas lire Mein Kampf en plaçant le point de vue d’un«péril allemand»ou du point de vue l’un de nos copropriété.
Nous devons nous mettre sur une grande partie humaine. Le livre a même permis de le faire. C’est un document volumineux, prises près d’un million d’exemplaires en Allemagne, traduit dans plusieurs pays. Il a été écrit par un Allemand pour les Allemands, mais les politiques clés, sociale et morale, face à toutes les nations. La traduction est complète: elle n’a pas le droit, ou quinze cents versets du Coran, à parler de l’islam, ni dans une dizaine de pages de Mein Kampf pour parler de l’hitlérisme, et la lecture des passages secondaires seront aussi fructueux que celui des passages jugés essentiels.
Alors, lisez, ce livre vous aidera à pénétrer la mentalité allemande, d’un côté de la mentalité anglo-saxonne que nous ne daignent à étudier et à comprendre, mais nous ne pouvons pas supporter de souffrir des manifestations; l’attitude limitée et dangereuse: que l’on apprécie ce qui nous a coûté quinze années de notre incompréhension de l’Angleterre, des États-Unis, en Allemagne.
Mon travail aurait atteint son but ultime, si les Français se tourne vers le problème. Mais je parle de la guerre:il s’agit souvent de la cupidité des uns et la crainte d’un hôte, elle ne peut pas trouver un terrain plus fertile que l’ignorance et l’incompréhension mutuelle que je voulais me battre. ‘
Cette même année, Adolf Hitler apprend avec colère que le livre a été traduit. Il poursuit Sorlot et a attrapé la Société des Gens de Lettres qui obtient le Tribunal de Commerce de Paris interdisant la diffusion de livres en France. LICA Sorlot soutien en achetant 5000 exemplaires pour distribution à tous les députés et les ministres pour empêcher les desseins de Hitler.
En Février 1936, lors d’une interview, Bertrand de Jouvenel demanda à Hitler pourquoi il n’avait pas changé les chapitres sur la France avant chaque nouvelle édition:
«J’étais en prison quand j’ai écrit ce livre, les troupes françaises occupent la Ruhr. Ce fut le moment de plus grande tension entre les deux pays. Oui, nous étions ennemis! Et j’étais avec mon pays, comme il sied, contre le vôtre. Comme je l’ai a été avec mon pays contre le vôtre durant quatre ans et demi dans les tranchées! je me mépriserais si je n’étais pas tout l’allemand quand il s’agit de conflits … Mais maintenant, il n’ya pas de conflit. Vous voulez que je fasse des corrections dans mon livre , comme un écrivain qui prépare une nouvelle édition de ses œuvres? Mais je ne suis pas un écrivain, je suis un politicien.Mon correcte? J’apporte chaque jour dans mon étendue entière envers la politique étrangère de l’am
itié avec la France … Ma correction, je vais écrire le grand livre de l’histoire! ‘
En 1938, une traduction est autorisée par Editions Fayard. Il est léger, expurgée, ou carrément falsifiés. Une phrase comme: ‘[…] la nation impérialiste France est l’ennemi mortel de l’Allemagne reste […]’, mais à travers une citation de l’un des discours rapporté, il ya quelques pages plus loin «La frontière entre l’Allemagne et la France est enfin fixée. peuples français et allemand avec des droits égaux ne devrait plus se voir comme des ennemis héréditaires, mais pour se respecter mutuellement. ‘
Rééditions
Après la guerre, Fernand Sorlot fait la réédition de l’ouvrage, alors que ce n’est pas seulement les Français qui ont été les années 1930-1940 sur ce livre, mais aussi les jeunes, surtout ceux qui, dans une enquête connue, a répondu: ‘Hitler? Savoir. ‘La LICA en 1978, Fernand Sorlot poursuit avant qu’elle applaudi pour avoir osé publier Mein Kampf. Après le procès, la LICA obtient 80 000 francs de dommages et intérêts, bien qu’il ne pouvait justifier ‘tout dommage subi par elle ou par ses membres, en raison de cette réédition.’
L’édition française
Charles Maurras de l’Action française se bat pour une traduction non expurgée de Mein Kampf d’une part d’exposer que, sur la scène politique française, était proche des nazis, l’autre pour identifier l’idéologie nazie.
En 1934, l’éditeur de l’action française, la nouvelle édition latine – Une nouvelle marque, en fait, car elles ont été fondées en 1928 par Fernand Sorlot (près de la droite d’Hitler maurrassien) – Mein Kampf publiée en français. Le livre est réduit à un seul volume de 688 pages sous-titré mon combat. Traduit et publié contre la volonté de Hitler, ce dernier continue de l’éditeur avec la Seine Tribunal de Commerce de La pour violation de copyright.Hitler a ensuite été saluée en France comme un écrivain sur un pied d’égalité avec Proust ou Gide, et soutenu par la société de hommes de lettres qui a fait équipe avec sa plainte. Les juges estimaient alors que «ce travail [représente] un effort créatif. Hitler gagne finalement ce procès Juin 18, 1934.’
L’éditeur, Fernand Sorlot, souligne à plusieurs reprises à l’actualité du livre et de l’intérêt vital pour les Français de savoir «ce qu’il faut maintenant devenu la Bible du peuple allemand». Sélectionnez une phrase, puis figure du maréchal Hubert Lyautey, «Tous les Français devraient lire ce livre.’
Dans le «menaces éditeurs Warning ‘Sorlot est très lourd à la place de la France et a noté que«[ce] livre, répandu en Allemagne à plus d’un million d’exemplaires, a eu sur l’orientation soudaine de tout un peuple comme une influence, est nécessaire de trouver l’analogue, de retour au Coran. ‘Hitler avait’ fermement refusé de permettre la publication en [français … Nous] pensait que c’était l’intérêt national de passer outre ce refus, quelle que puisse être pour nous et pour la maison de jeunes, nous avons fondé les conséquences de notre initiative. ‘
Indiquant que Hitler considérait la France comme le principal obstacle à ses desseins, il mentionne «Ces résultats seront obtenus soit par la prière au Seigneur, ni par des paroles, ni par les négociations à Genève. Ils doivent être une guerre sanglante.’ Il prétend aussi ‘ Les mots et les écrits d’un gouvernement public appartiennent au public»et a conclu:«[…] M. Frick a dit: ‘Pour les nationaux-socialistes, le droit est ce qui sert le peuple allemand. L’injustice est que c’est une honte. «Nous avons simplement pris notre compte cette définition fort.’
En 1936, lors de son procès contre Hitler Sorlot (29 ans à l’époque) sera pris en charge par la LICA, qui va acheter five000 exemplaires pour distribution aux parlementaires, juges, avocats, représentants des religions, des intellectuels de toutes les opinions, etc. .
Traduction – après l’édition allemande de 1933 publiée dans Franz Eher à Munich – est donnée pour complète et neutre avec quelques notes éparses, sans commentaire.
L’opinion du traducteur
Le 25 Février 1934, le traducteur André Calmettes a publié un article dans le Journal de l’Ecole Polytechnique d’où il vient, «Pourquoi j’ai traduit Mein Kampf».
«Je n’ai pas traduit Mein Kampf sans but ni raison. L’imposition de huit cents pages, je suis infligé avec un bon cœur pour le mien et mes amis, mais aussi pour tous les hommes et toutes les femmes de bonne volonté, notamment pour les jeunes.
Je n’entends pas ici pour indiquer les conclusions que chacun devrait avoir le livre, sinon je l’aurais analysé et commenté, non traduit. Mais il ne convient pas à moi de quitter la critique lui seul la tâche de présenter mon travail; je ne veux pas tout malentendu sur mes intentions, ni de choisir parmi ceux qui peuvent me prêter.
Certes, ce livre, qui a été livré au public allemand dans 1926-1928 jette une lumière singulière sur la politique allemande dans l’après-guerre. En l’ignorant, nous rencontrons beaucoup plus facile à des révélations au compte-gouttes, nous avons été ridicules et stupides, nous avons trouvé de petits fragments d’une vérité que nous jetons dans le visage huit cents pages serrées. Certes aussi, les prophéties du livre engagent l’avenir. La doctrine de l’action politique, complaisamment développé, demeure actuel. Le livre est le dogme de la partie qui mène l’Allemagne actuelle, un dogme majorité active, le futur dogme de l’Allemagne elle-même. Je dis dogme, et je pense que le Coran.
Mais nous devons faire attention à limiter la portée de ce livre. Ne suivez pas polémiste Hitler qui dit quelque part dans un livre qu’il considère comme indicatif de l’esprit des Juifs»quand ce livre sera le livre préféré d’un peuple, le péril juif sera évitée.’ Ne pas lire Mein Kampf en plaçant le point de vue d’un «péril allemand» ou du point de vue l’un de nos copropriété.
Nous devons nous mettre sur une grande partie humaine. Le livre a même permis de le faire. C’est un document volumineux, prises près d’un million d’exemplaires en Allemagne, traduit dans plusieurs pays.Il a été écrit par un Allemand pour les Allemands, mais les politiques clés, sociale et morale, face à toutes les nations. La traduction est complète: elle n’a pas le droit, ou quinze cents versets du Coran, à parler de l’islam, ni dans une dizaine de pages de Mein Kampf pour parler de l’hitlérisme, et la lecture des passages secondaires seront aussi fructueux que celui des passages jugés essentiels.
Alors, lisez, ce livre vous aidera à pénétrer la mentalité allemande, d’un côté de la mentalité anglo-saxonne que nous ne daignent à étudier et à comprendre, mais nous ne pouvons pas supporter de souffrir des manifestations; l’attitude limitée et dangereuse: que l’on apprécie ce qui nous a coûté quinze années de notre incompréhension de l’Angleterre, des États-Unis, en Allemagne.
Mon travail aurait atteint son but ultime, si les Français se tourne vers le problème. Mais je parle de la guerre: il vient souvent de la cupidité des uns et la crainte d’un hôte, elle ne peut pas trouver un terrain plus fertile que l’ignorance et l’incompréhension mutuelle que je voulais me battre. ‘
Cette même année, Adolf Hitler apprend avec colère que le livre a été traduit. Il poursuit Sorlot et a attrapé la Société des Gens de Lettres qui obtient le Tribunal de Commerce de Paris interdisant la diffusion de livres en France.LICA Sorlot soutien en achetant 5000 exemplaires pour distribution à tous les députés et les ministres pour empêcher les desseins de Hitler.
En Février 1936, lors d’une interview, Bertrand de Jouvenel demanda à Hitler pourquoi il n’avait pas changé les chapitres sur la France avant chaque nouvelle édition:
«J’étais en prison quand j’ai écrit ce livre, les troupes françaises occupent la Ruhr. Ce fut le moment de plus gra
nde tension entre les deux pays. Oui, nous étions ennemis! Et j’étais avec mon pays, comme il sied, contre le vôtre. Comme je l’ai a été avec mon pays contre le vôtre durant quatre ans et demi dans les tranchées! je me mépriserais si je n’étais pas tout l’allemand quand il s’agit de conflits … Mais maintenant, il n’ya pas de conflit. Vous voulez que je fasse des corrections dans mon livre , comme un écrivain qui prépare une nouvelle édition de ses œuvres? Mais je ne suis pas un écrivain, je suis un politicien. Mon correcte? j’apporte chaque jour dans mon entière tendue vers la politique étrangère de l’amitié avec la France … Ma correction , je vais écrire le grand livre de l’histoire! ‘
En 1938, une traduction est autorisée par Editions Fayard. Il est léger, expurgée, ou carrément falsifiés. Une phrase comme: ‘[…] la nation impérialiste France est l’ennemi mortel de l’Allemagne […]»Demeure, mais à travers une citation de l’un des discours rapporté, il ya quelques pages plus loin«La frontière entre l’Allemagne et la France est enfin fixée. Les peuples français et allemand avec des droits égaux ne devrait plus se voir comme des ennemis héréditaires, mais pour se respecter mutuellement. ‘
Rééditions
Après la guerre, Fernand Sorlot fait la réédition de l’ouvrage, alors que ce n’est pas seulement les Français qui ont été les années 1930-1940 sur ce livre, mais aussi les jeunes, surtout ceux qui, dans une enquête connue, a répondu: ‘Hitler? Savoir. ‘La LICA en 1978, Fernand Sorlot poursuit avant qu’elle applaudi pour avoir osé publier Mein Kampf. Après le procès, la LICA obtient 80 000 francs de dommages et intérêts, bien qu’il ne pouvait justifier ‘tout dommage subi par elle ou par ses membres, en raison de cette réédition.’
L’édition française
Charles Maurras de l’Action française se bat pour une traduction non expurgée de Mein Kampf d’une part d’exposer que, sur la scène politique française, était proche des nazis, l’autre pour identifier l’idéologie nazie.
En 1934, l’éditeur de l’action française, la nouvelle édition latine – Une nouvelle marque, en fait, car elles ont été fondées en 1928 par Fernand Sorlot (près de la droite d’Hitler maurrassien) – Mein Kampf publiée en français. Le livre est réduit à un seul volume de 688 pages sous-titré mon combat. Traduit et publié contre la volonté de Hitler, ce dernier continue de l’éditeur avec la Seine Tribunal de Commerce de La pour violation de copyright.Hitler a ensuite été saluée en France comme un écrivain sur un pied d’égalité avec Proust ou Gide, et soutenu par la société de hommes de lettres qui a fait équipe avec sa plainte. Les juges estimaient alors que «ce travail [représente] un effort créatif. Hitler gagne finalement ce procès Juin 18, 1934.’
L’éditeur, Fernand Sorlot, souligne à plusieurs reprises à l’actualité du livre et de l’intérêt vital pour les Français de savoir «ce qu’il faut maintenant devenu la Bible du peuple allemand». Sélectionnez une phrase, puis figure du maréchal Hubert Lyautey, «Tous les Français devraient lire ce livre.’
Dans le «menaces éditeurs Warning ‘Sorlot est très lourd à la place de la France et a noté que«[ce] livre, répandu en Allemagne à plus d’un million d’exemplaires, a eu sur l’orientation soudaine de tout un peuple comme une influence, est nécessaire de trouver l’analogue, de retour au Coran. ‘Hitler avait’ fermement refusé de permettre la publication en [français … Nous] pensait que c’était l’intérêt national de passer outre ce refus, quelle que puisse être pour nous et pour la maison de jeunes, nous avons fondé les conséquences de notre initiative. ‘
Indiquant que Hitler considérait la France comme le principal obstacle à ses desseins, il mentionne «Ces résultats seront obtenus soit par la prière au Seigneur, ni par des paroles, ni par les négociations à Genève. Ils doivent être une guerre sanglante.’ Il prétend aussi ‘ Les mots et les écrits d’un gouvernement public appartiennent au public»et a conclu:«[…] M. Frick a dit: ‘Pour les nationaux-socialistes, le droit est ce qui sert le peuple allemand. L’injustice est que c’est une honte. «Nous avons simplement pris notre compte cette définition fort.’
En 1936, lors de son procès contre Hitler Sorlot (29 ans à l’époque) sera pris en charge par la LICA, qui va acheter five000 exemplaires pour distribution aux parlementaires, juges, avocats, représentants des religions, des intellectuels de toutes les opinions, etc. .
Traduction – après l’édition allemande de 1933 publiée dans Franz Eher à Munich – est donnée pour complète et neutre avec quelques notes éparses, sans commentaire.
L’opinion du traducteur
Le 25 Février 1934, le traducteur André Calmettes a publié un article dans le Journal de l’Ecole Polytechnique d’où il vient, «Pourquoi j’ai traduit Mein Kampf».
«Je n’ai pas traduit Mein Kampf sans but ni raison. L’imposition de huit cents pages, je suis infligé avec un bon cœur pour le mien et mes amis, mais aussi pour tous les hommes et toutes les femmes de bonne volonté, notamment pour les jeunes.
Je n’entends pas ici pour indiquer les conclusions que chacun devrait avoir le livre, sinon je l’aurais analysé et commenté, non traduit. Mais il ne convient pas à moi de quitter la critique lui seul la tâche de présenter mon travail; je ne veux pas tout malentendu sur mes intentions, ni de choisir parmi ceux qui peuvent me prêter.
Certes, ce livre, qui a été livré au public allemand dans 1926-1928 jette une lumière singulière sur la politique allemande dans l’après-guerre. En l’ignorant, nous rencontrons beaucoup plus facile à des révélations au compte-gouttes, nous avons été ridicules et stupides, nous avons trouvé de petits fragments d’une vérité que nous jetons dans le visage huit cents pages serrées. Certes aussi, les prophéties du livre engagent l’avenir. La doctrine de l’action politique, complaisamment développé, demeure actuel. Le livre est le dogme de la partie qui mène l’Allemagne actuelle, un dogme majorité active, le futur dogme de l’Allemagne elle-même. Je dis dogme, et je pense que le Coran.
Mais nous devons faire attention à limiter la portée de ce livre. Ne suivez pas polémiste Hitler qui dit quelque part dans un livre qu’il considère comme indicatif de l’esprit des Juifs»quand ce livre sera le livre préféré d’un peuple, le péril juif sera évitée.’ Ne pas lire Mein Kampf en plaçant le point de vue d’un «péril allemand» ou du point de vue l’un de nos copropriété.
Nous devons nous mettre sur une grande partie humaine. Le livre a même permis de le faire. C’est un document volumineux, prises près d’un million d’exemplaires en Allemagne, traduit dans plusieurs pays.Il a été écrit par un Allemand pour les Allemands, mais les politiques clés, sociale et morale, face à toutes les nations. La traduction est complète: elle n’a pas le droit, ou quinze cents versets du Coran, à parler de l’islam, ni dans une dizaine de pages de Mein Kampf pour parler de l’hitlérisme, et la lecture des passages secondaires seront aussi fructueux que celui des passages jugés essentiels.
Alors, lisez, ce livre vous aidera à pénétrer la mentalité allemande, d’un côté de la mentalité anglo-saxonne que nous ne daignent à étudier et à comprendre, mais nous ne pouvons pas supporter de souffrir des manifestations; l’attitude limitée et dangereuse: que l’on apprécie ce qui nous a coûté quinze années de notre incompréhension de l’Angleterre, des États-Unis, en Allemagne.
Mon travail aurait atteint son but ultime, si les Français se tourne vers le problème. Mais je parle de la guerre: il vient souvent de la cupidité des uns et la crainte d’un hôte, elle ne peut pas trouver un terrain plus fertile que l’ignorance et l’incompréhension mutuelle que je voulais me battre. ‘
Cette même année, Adolf Hitler apprend avec colère q
ue le livre a été traduit. Il poursuit Sorlot et a attrapé la Société des Gens de Lettres qui obtient le Tribunal de Commerce de Paris interdisant la diffusion de livres en France.LICA Sorlot soutien en achetant 5000 exemplaires pour distribution à tous les députés et les ministres pour empêcher les desseins de Hitler.
En Février 1936, lors d’une interview, Bertrand de Jouvenel demanda à Hitler pourquoi il n’avait pas changé les chapitres sur la France avant chaque nouvelle édition:
«J’étais en prison quand j’ai écrit ce livre, les troupes françaises occupent la Ruhr. Ce fut le moment de plus grande tension entre les deux pays. Oui, nous étions ennemis! Et j’étais avec mon pays, comme il sied, contre le vôtre. Comme je l’ai a été avec mon pays contre le vôtre durant quatre ans et demi dans les tranchées! je me mépriserais si je n’étais pas tout l’allemand quand il s’agit de conflits … Mais maintenant, il n’ya pas de conflit. Vous voulez que je fasse des corrections dans mon livre , comme un écrivain qui prépare une nouvelle édition de ses œuvres? Mais je ne suis pas un écrivain, je suis un politicien. Mon correcte? j’apporte chaque jour dans mon entière tendue vers la politique étrangère de l’amitié avec la France … Ma correction , je vais écrire le grand livre de l’histoire! ‘
En 1938, une traduction est autorisée par Editions Fayard. Il est léger, expurgée, ou carrément falsifiés. Une phrase comme: ‘[…] la nation impérialiste France est l’ennemi mortel de l’Allemagne […]»Demeure, mais à travers une citation de l’un des discours rapporté, il ya quelques pages plus loin«La frontière entre l’Allemagne et la France est enfin fixée. Les peuples français et allemand avec des droits égaux ne devrait plus se voir comme des ennemis héréditaires, mais pour se respecter mutuellement. ‘
Rééditions
Après la guerre, Fernand Sorlot fait la réédition de l’ouvrage, alors que ce n’est pas seulement les Français qui ont été les années 1930-1940 sur ce livre, mais aussi les jeunes, surtout ceux qui, dans une enquête connue, a répondu: ‘Hitler? Savoir. ‘La LICA en 1978, Fernand Sorlot poursuit avant qu’elle applaudi pour avoir osé publier Mein Kampf. Après le procès, la LICA obtient 80 000 francs de dommages et intérêts, bien qu’il ne pouvait justifier ‘tout dommage subi par elle ou par ses membres, en raison de cette réédition.’
Contenu
Il est à la fois un document autobiographique, le récit de la naissance et le développement précoce du parti nazi, et un essai et manifeste politique qui énonce les fondements idéologiques de l’agenda politique de son auteur. Mein Kampf exprime plus difficile pour les ambitions distinctes:le désir d’assimilation culturelle des Juifs (en cours de l’extermination physique à la fois ne sont pas mentionnés) et les Tsiganes dans le nom d’une théorie de la race, un expansionniste et la militarisation d’une renaissance nationale allemande teinté de vengeance.
Il annonce clairement le programme du parti nazi, qui est basé sur le désir de réunir la population des territoires germaniques (Pan) et la nécessité d’assurer, en Europe de l’Est, un «espace vital» allemand. Il comprend des menaces spécifiques, qui ont fait écrire le maréchal Hubert Lyautey, «Tous les Français devraient lire ce livre.’ De même, le pape Pie XII déclarait en 1929:. ‘Soit je me trompe vraiment, ou tout cela ne se terminera pas bien cette créature est entièrement détenue par lui-même, tout ce qu’il dit et écrit porte l’empreinte de son égoïsme, il est un homme à enjamber des cadavres et à fouler aux pieds tout ce qui est dans son chemin – je ne comprends pas que tant de gens en Allemagne, même parmi les meilleurs, ne le voyez pas, ou du moins ne tirent aucune leçon de ce qu’il écrit et dit. – Qui parmi tous ces gens, a seulement lu ce livre à faire dresser les cheveux sur la tête ce que Mein Kampf? ’
Volume II: Le Mouvement national-socialiste
L’édition française
Charles Maurras de l’Action française se bat pour une traduction non expurgée de Mein Kampf d’une part d’exposer que, sur la scène politique française, était proche des nazis, l’autre pour identifier l’idéologie nazie.
En 1934, l’éditeur de l’action française, la nouvelle édition latine – Une nouvelle marque, en fait, car elles ont été fondées en 1928 par Fernand Sorlot (près de la droite d’Hitler maurrassien) – Mein Kampf publiée en français. Le livre est réduit à un seul volume de 688 pages sous-titré mon combat. Traduit et publié contre la volonté de Hitler, ce dernier continue de l’éditeur avec la Seine Tribunal de Commerce de Los Angeles pour violation de droits d’auteur. Hitler était alors saluée en France comme un écrivain sur un pied d’égalité avec Proust ou Gide, et soutenu par la compagnie des hommes de lettres qui a fait équipe avec sa plainte. Les juges estimaient alors que «ce travail [représente] un effort créatif. Hitler gagne finalement ce procès Juin 18, 1934.’
L’éditeur, Fernand Sorlot, souligne à plusieurs reprises à l’actualité du livre et de l’intérêt vital pour les Français de savoir «ce qu’il faut maintenant devenu la Bible du peuple allemand». Sélectionnez une phrase, puis figure du maréchal Hubert Lyautey, «Tous les Français devraient lire ce livre.’
Dans le «menaces éditeurs Warning ‘Sorlot est très lourd à la place de la France et a noté que«[ce] livre, répandu en Allemagne à plus d’un million d’exemplaires, a eu sur l’orientation soudaine de tout un peuple comme une influence, est nécessaire de trouver l’analogue, de retour au Coran. ‘Hitler avait’ fermement refusé de permettre la publication en [français … Nous] pensait que c’était l’intérêt national de passer outre ce refus, quelle que puisse être pour nous et pour nos jeunes à domicile les conséquences de notre initiative. ‘
Indiquant que Hitler considérait la France comme le principal obstacle à ses desseins, il énumère les «Ces résultats seront atteints non pas par la prière au Seigneur, ni par des paroles, ni par les négociations à Genève. Ils doivent être une guerre sanglante.’ Il prétend aussi ‘ Les mots et les écrits d’un gouvernement public appartiennent au public»et a conclu:«[…] M. Frick a dit: ‘Pour les nationaux-socialistes, le droit est ce qui sert le peuple allemand. L’injustice est que c’est une honte. «Nous avons simplement pris notre compte cette définition fort.’
En 1936, lors de son procès contre Hitler Sorlot (29 ans à l’époque) sera pris en charge par la LICA, qui va acheter 5000 exemplaires pour distribution aux parlementaires, juges, avocats, représentants des religions, des intellectuels de tous bords etc ..
Traduction – après l’édition allemande de 1933 publiée dans Franz Eher à Munich – est donnée pour complète et neutre avec quelques notes éparses, sans commentaire.
L’opinion du traducteur
Février 251 934, le traducteur André Calmettes a publié un article dans le Journal de l’Ecole Polytechnique dont il est issu: «. Pourquoi j’ai traduit Mein Kampf’
«Je n’ai pas traduit Mein Kampf sans but ni raison. L’imposition de huit cents pages, je suis infligé avec un bon cœur pour le mien et mes amis, mais aussi pour tous les hommes et toutes les femmes de bonne volonté, notamment pour les jeunes.
Je n’entends pas ici pour indiquer les conclusions que chacun devrait avoir le livre, sinon je l’aurais analysé et commenté, non traduit. Mais il ne convient pas à moi de quitter la critique lui seul la tâche de présenter mon travail, je ne veux pas tout malentendu sur mes intentions, ni de choisir parmi ceux qui peuvent me prêter.
Certes, ce livre, qui a été livré au public allemand dans 1926-1928 jette une lumière singulière sur la politique allemande dans l’après-guerre. En l’ignorant, nous rencontrons beaucoup plus facile à des révélations au compte-gouttes, nous avons été ridicules et stup
ides, nous avons trouvé de petits fragments d’une vérité que nous jetons dans le visage huit cents pages serrées. Certes aussi, les prophéties du livre engagent l’avenir. La doctrine de l’action politique, complaisamment développé, demeure actuel. Le livre est le dogme de la partie qui mène l’Allemagne actuelle, un dogme majorité active, le futur dogme de l’Allemagne elle-même. Je dis dogme, et je pense que le Coran.
Mais nous devons faire attention à limiter la portée de ce livre. Ne suivez pas polémiste Hitler qui dit quelque part dans un livre qu’il considère comme indicatif de l’esprit des Juifs: «Quand ce livre deviendra le livre préféré d’un peuple, le péril juif sera évitée.’ Ne pas lire Mein Kampf en plaçant le point de vue d’un «péril allemand» ou du point de vue l’un de nos copropriété.
Nous devons nous mettre sur une grande partie humaine. Le livre a même permis de faire so.This est un document volumineux, prises près d’un million d’exemplaires en Allemagne, traduit dans plusieurs pays.Il a été écrit par un Allemand pour les Allemands, mais les politiques clés, sociale et morale, face à toutes les nations. La traduction est complète: elle n’a pas le droit, ou quinze cents versets du Coran, à parler de l’islam, ni dans une dizaine de pages de Mein Kampf pour parler de l’hitlérisme, et la lecture des passages secondaires seront aussi fructueux que celui des passages jugés essentiels.
Alors, lisez, ce livre vous aidera à pénétrer la mentalité allemande, d’un côté de la mentalité anglo-saxonne que nous ne daignent à étudier et à comprendre, mais nous ne pouvons pas supporter de souffrir des manifestations; l’attitude limitée et dangereuse: que l’on apprécie ce qui nous a coûté quinze années de notre incompréhension de l’Angleterre, des États-Unis, en Allemagne.
Mon travail aurait atteint son but ultime, si les Français se tourne vers le problème. Mais je parle de la guerre: elle naît souvent de la cupidité des uns et la crainte d’un hôte, elle ne peut pas trouver un terrain plus fertile que l’ignorance et l’incompréhension que je voulais battre entre eux. ‘
Cette même année, Adolf Hitler apprend avec colère que le livre a été traduit. Il poursuit Sorlot et a attrapé la Société des Gens de Lettres qui obtient le Tribunal de Commerce de Paris interdisant la diffusion de livres en France.LICA Sorlot soutien en achetant 5000 exemplaires pour distribution à tous les députés et les ministres pour empêcher conceptions d’Hitler.
En Février 1936, lors d’une interview, Bertrand de Jouvenel demanda à Hitler pourquoi il n’avait pas changé les chapitres sur la France avant chaque nouvelle édition:
«J’étais en prison quand j’ai écrit ce livre, les troupes françaises occupent la Ruhr. Ce fut le moment de plus grande tension entre les deux pays. Oui, nous étions ennemis! Et j’étais avec mon pays, comme il sied, contre yours.As j’ai a été avec mon pays contre le vôtre durant quatre ans et demi dans les tranchées! je me mépriserais si je n’étais pas tout l’allemand quand il s’agit de conflits … Mais maintenant, il n’ya pas de conflit. Vous voulez que je fasse des corrections dans mon livre , comme un écrivain qui prépare une nouvelle édition de ses œuvres? Mais je ne suis pas un écrivain, je suis un politicien. Mon correcte? j’apporte chaque jour dans mon entière tendue vers la politique étrangère de l’amitié avec la France … Ma correction , je vais écrire le grand livre de l’histoire! ‘
En 1938, une traduction est autorisée par Editions Fayard. Il est léger, expurgée, ou carrément falsifiés. Une phrase comme: ‘[…] la nation impérialiste France est l’ennemi mortel de l’Allemagne […]»Demeure, mais à travers une citation de l’un des discours rapporté, il ya quelques pages plus loin«La frontière entre l’Allemagne et la France est enfin fixed.French et les peuples allemands avec des droits égaux ne devrait plus se voir comme des ennemis héréditaires, mais pour se respecter mutuellement. ‘
Rééditions
Après la guerre, Fernand Sorlot fait la réédition de l’ouvrage, alors que ce n’est pas seulement les Français qui ont été les années 1930-1940 sur ce livre, mais aussi les jeunes, surtout ceux qui, dans une enquête connue, a répondu: ‘Hitler? Savoir. ‘La LICA en 1978, Fernand Sorlot poursuit avant qu’elle applaudi pour avoir osé publier Mein Kampf. Après le procès, la LICA obtient 80 000 francs de dommages et intérêts, bien qu’il ne pouvait justifier ‘tout dommage subi par elle ou par ses membres, en raison de cette réédition.’
Statut juridique actuel
Allemagne
‘