Colette besson
colette besson, né le 7 avril 1946 à Saint-Georges-de-Didonne (Charente-Maritime), est décédé le 9 août 2005 à La Rochelle, était un athlète français. En 1968, elle remporte la médaille d’or au 400 mètres aux Jeux olympiques de Mexico.
Carrière sportive
Il est nécessaire en 1967 en tant que champion de France du 400 m 54 ’02 fonctionnant sur une base individuelle. Commençant en 1968, il est exclu de l’équipe de France pour avoir refusé de participer à un camp de formation obligatoire, de sorte qu’elle a été sélectionnée pour les championnats d’Europe .
Ayant rejoint le Bordeaux EC, et entraînée par Yves Durand Saint-Omer, elle tire parti de la longue grève de 1968, pour se préparer à une longue période à une altitude à Font-Romeu – dormir dans une tente au camping municipal. Jeux Olympiques de Mexico en 1968, elle a créé une belle surprise et de devenir champion olympique dans les 52 400m ’03, battant le favori, le Britannique Lilian Board sur le fil, après une fin extraordinaire de la course, également mise en nouveau record en Europe et l’approche d’un un dixième de seconde du record du monde.
Ses larmes sur le podium lors de la présentation de sa médaille d’or a aussi créé beaucoup d’excitation en France, même parmi le Président de la République en exercice, le général Charles de Gaulle.
24 ans après le Mexique, un autre français, né en 1968, Marie-José Perec, devient à son tour champion olympique du 400 m, devant ses yeux, au stade de Barcelone en 1992.
Record du monde le 18 septembre 1969 à Athènes, lors des Championnats d’Europe d’athlétisme, une autre Française Nicole Duclos avance dans les 400 derniers mètres d’un cheveu, avec 51 ‘7, mais a empoché la Duclos Nicole Comme imperceptiblement comme elle avait déjà sa rivale. Lors des championnats de même dans le 4 x 400 m avec Bernadette Martin et Eliane Jacq, Septembre 20, elle était de nouveau battu sur le fil, mais par le conseil anglais, avec le même temps 3 min 30 s 8, nouveau record du monde.
Ses clubs successifs furent l’ASG Royan (1961-1966), le Club étudiant de Bordeaux (1968-1972), le CSM Epinay-sur-Seine (1973), et de nouveau sur Bordeaux EC (1977). Elle a couru comme des individus en 1967.
En 1971, elle a remporté trois médailles lors des Jeux Méditerranéens d’Athènes, dont l’or au 400 mètres, elle déclare alors: «J’ai besoin de courir de temps en temps, comme manger, respirer, dormir […] J’ai toujours couru pour le plaisir et elle ne change pas. ‘.
En 1972, elle a été éliminée en séries aux Jeux de Munich, où elle avait effectué des tests sur 800 m ce qui lui permet de capturer deux fois le record de France.
Après sa carrière sportive
Après sa carrière sportive en 1977, colette besson a rejoint son mari Jean-Paul Noguès au Togo en tant qu’entraîneur de l’équipe nationale d’athlétisme. Ensuite, il est conseiller régional de la Martinique et Tahiti. Enfin, il est professeur d’éducation physique à la réunion et à Paris.
En 1994, elle a été nommée directrice de la Fondation Gaz de France, à partir de 2002, il préside le conseil d’administration du Laboratoire national pour la lutte contre le dopage à Châtenay-Malabry, et fut nommé inspecteur de l’Education pour l’Académie de Paris la même année. Elle est devenue membre du Comité directeur de la section athlétisme de l’Racing Club de France en 2003.
En 2003, il a été diagnostiqué avec un cancer du poumon. Elle reste défend activement la candidature de Paris pour les Jeux Olympiques de 2012, mais il est décédé le 9 août 2005 à La Rochelle à la suite de ce cancer.
En 2006, la ville de La Rochelle a commandé une sculpture en son honneur par l’artiste visuel Veronica Selleret. Un panel de Ménilmontant (Paris) porte son nom.
Après sa carrière sportive
Après sa carrière sportive en 1977, colette besson a rejoint son mari Jean-Paul Noguès au Togo en tant qu’entraîneur de l’équipe nationale d’athlétisme. Ensuite, il est conseiller régional de la Martinique et Tahiti. Enfin, il est professeur d’éducation physique à la réunion et à Paris.
En 1994, elle a été nommée directrice de la Fondation Gaz de France, à partir de 2002, il préside le conseil d’administration du Laboratoire national pour la lutte contre le dopage à Châtenay-Malabry, et fut nommé inspecteur de l’Education pour l’Académie de Paris la même année. Elle est devenue membre du Comité directeur de la section athlétisme de l’Racing Club de France en 2003.
En 2003, il a été diagnostiqué avec un cancer du poumon. Elle reste défend activement la candidature de Paris pour les Jeux Olympiques de 2012, mais il est décédé le 9 août 2005 à La Rochelle à la suite de ce cancer.
En 2006, la ville de La Rochelle a commandé une sculpture en son honneur par l’artiste visuel Veronica Selleret. Un panel de Ménilmontant (Paris) porte son nom.
Bibliographie
1964: Betty Cuthbert • 1968: colette besson • 1972: Monika Zehrt • 1976: Irena Szewinska • 1980: Marita Koch • 1984: Valerie Brisco-Hooks • 1988: Olha Bryzhina • 1992:Marie-José Perec • 1996: Marie-José Pérec • 2000: Cathy Freeman • 2004: Tonique Williams-Darling • 2008: Christine Ohuruogu ‘
‘