Style litteraire
La littérature mot, dérivé de la littérature latine du Littera (lettre) apparaît au début de la douzième de la avec un sens technique de «parole écrite» et ensuite de passer à la fin du Moyen Age à la signification de la «connaissance des livres’ avant d’atteindre XVIIe – XVIIIe siècles sens aujourd’hui, primaire: toutes les œuvres écrites ou orales avec une activité esthétique ou de participer à leur développement.
La littérature est définie en effet comme un aspect spécifique de la communication verbale – orale ou écrite – qui implique l’exploitation des ressources de la langue pour multiplier les effets sur le destinataire, qu’il soit lecteur ou auditeur. Littérature – dont les frontières sont nécessairement vagues et varient d’évaluations personnelles – se caractérise pas par ses supports et ses genres, mais par sa fonction esthétique: la mise en forme du message prend préséance sur le contenu, dépassant ainsi l’outil de communication limitée à la transmission de l’information, même complexes.Aujourd’hui, la littérature est associée à la civilisation des livres par lesquels nous parlons auteurs à distance, mais il concerne aussi les différentes formes d’expression orale comme la poésie traditionnelle des peuples sans écriture – dont nos chansons sont des cousins éloignés – ou le théâtre, pour être reçue par la voix et les acteurs du corps. La technologie numérique, toutefois, peut être de transformer le médium traditionnel de la littérature et la nature.
Le concept de littérature a été régulièrement contestée par des écrivains tels que par les critiques et les théoriciens: cela est particulièrement vrai depuis la fin du XIXe siècle quand ils ont cherché à redéfinir – comme l’art – la littérature fonctionnalités (par exemple avec la notion d’engagement de Sartre, Qu’est-ce que la littérature? ) et de la nature (réflexion sur l’écriture et la lecture de Roland Barthes ou d’études de linguistes comme Roman Jakobson) et de renouveler les critères esthétiques (le «Il faut être absolument moderne» de Rimbaud à New Roman travers le surréalisme, par exemple).
Néanmoins, riche de sa diversité ainsi qu’un nombre illimité formelle de ses sujets qui disent constamment revitalisé la condition humaine, la littérature est la première rencontre entre celui qui, par ses paroles, a déclaré que lui et son monde, et celui qui reçoit et partage cette révélation.
Histoire de la parole
Étymologie latine
Le mot français «littérature» vient d’un mot latin dérivé de la littérature Littera «lettre» au sens de matériel graphique utilisé pour transcrire une langue.
Dictionnaire Gaffiot marque une évolution de la signification du mot latin: c’est d’abord (par exemple, Cicéron, le premier siècle avant JC.) Une série de lettres constituant l’acte d’écrire ou d’un ensemble de lettres de l’alphabet constitué (Tacite), le sens s’est ensuite élargi en l’ premier siècle après JC. AD (par exemple, Quintilien et Sénèque) que dans la grammaire, la philologie, c’est-à-dire, l’étude technique et des textes savants écrits, se terminant par Tertullien dans le thirdcentury tôt dans le sens de la connaissance, l’érudition dans le texte écrit.
Premiers certificats en français
Selon le TLF, le mot est attesté dans le début du XIIe siècle (en 1121) avec le sens latin d’origine de «parole écrite». Le mot «littérature» ne peut pas trouver le sens de la fin des années latin ‘l’apprentissage, les connaissances acquises à travers les livres» à la fin du XVe siècle ‘: le TLF cite l’exemple de J. de Vignay et Philippe de Commynes).
Evolution de la signification au XVIIe – XVIIIe siècles
Selon Philippe Caron, le mot «littérature» conserve le sens général de «connaissances obtenues par les livres’ jusqu’au XVIIe siècle: on dit ‘ont littérature» comme on dit aujourd’hui ‘ont la culture», il couvre tous les domaines de connaissances générales, et en 1699, les mathématiques Fontenelle présenter comme «un genre de littérature.’
Mais dans la seconde moitié du siècle, avec le sens général, le mot s’applique plus à une connaissance limitée, celle des «belles-lettres» liés à la belle langue. Ce changement reflète l’évolution sociale des élites est établi sous Louis XIV, où la notion d’un honnête homme, capable d’une vie raffinée sociale faite de valeur des pratiques culturelles comme la connaissance des œuvres littéraires, en particulier ceux de la qui alimentent le théâtre antique classique tout en poètes exploiter les types définis par Aristote comme la poésie épique.
Au XVIIIe siècle le mot «littérature» est tout à fait synonyme de «Belles Lettres», c’est-à-dire des œuvres reconnues par les gens de goût, et constituant la culture mondaine de l’époque constitué une meilleure éducation et le monde des salons littéraires et des académies, et à Voltaire: «La littérature se réfère à travers l’Europe une connaissance des œuvres de goût.’Un autre exemple montre que le mot«littérature»Avec le sens commun d’aujourd’hui est maintenant bien établi dans le milieu du siècle des Lumières: en 1753, Charles Batteux le titre de son livre«la littérature de cours, ou Principes de la littérature»et réédité en 1764 ne laissant que«Principes de . littérature»La même année, parut«L’école de la littérature»de Laporte Père dont le sous-titre de la deuxième partie est clair:«Des règles spéciales de chaque type de littérature en prose et en vers».
Le mot est encore en évolution lente de 1750 à un sens plus large de «créer la langue écrite’ en laissant un rôle plus important dans les jugements subjectifs libre de l’esthétique restrictive: que serait plus tard la liberté créative du poète romantique, même si ce doit être un maudit poète, la conception et préfiguré dans son Discours préliminaire de l’Encyclopédie de d’Alembert affirmant que les œuvres sont essentiellement ‘de l’invention qui n’a pas que ses lois de génie’. Paul-Louis Courier défini de la même façon dans les années 1820 comme une œuvre littéraire», produit par l’instinct et le sens de la beauté ‘Ainsi, le sentiment de l’auteur et pas nécessairement celle de l’établissement.
Histoire de la parole
Étymologie latine
Le mot français «littérature» vient d’un mot latin dérivé de la littérature Littera «lettre» au sens de matériel graphique utilisé pour transcrire une langue.
Dictionnaire Gaffiot marque une évolution de la signification du mot latin: c’est d’abord (par exemple, Cicéron, le premier siècle avant JC.) Une série de lettres constituant l’acte d’écrire ou d’un ensemble de lettres de l’alphabet constitué (Tacite), le sens s’est ensuite élargi en l’ premier siècle après JC. AD (par exemple, Quintilien et Sénèque) que dans la grammaire, la philologie, c’est-à-dire, l’étude technique et des textes savants écrits, se terminant par Tertullien au début du troisième siècle, dans le sens de la connaissance, l’érudition dans le texte écrit.
Premiers certificats en français
Selon le TLF, le mot est attesté dans le début du XIIe siècle (en 1121) avec le sens latin d’origine de «parole écrite». Le mot «littérature» ne peut pas trouver le sens de la fin des années latin ‘l’apprentissage, les connaissances acquises à travers les livres» à la fin du XVe siècle ‘: le TLF cite l’exemple de J. de Vignay et Philippe de Commynes).
Evolution de la signification au XVIIe – XVIIIe siècles
Selon Philippe Caron, le mot «littérature» conserve le sens général de «connaissances obtenues par les livres’ jusqu’au XVIIe siècle: on dit ‘ont littérature» comme on dit aujourd’hui ‘ont la culture», il couvre tous les domaines de conn
aissances générales, et en 1699, les mathématiques Fontenelle présenter comme «un genre de littérature.’
Mais dans la seconde moitié du siècle, avec le sens général, le mot s’applique plus à une connaissance limitée, celle des «belles-lettres» liés à la belle langue. Ce changement reflète l’évolution sociale des élites est établi sous Louis XIV, où la notion d’un honnête homme, capable d’une vie raffinée sociale faite de valeur des pratiques culturelles comme la connaissance des œuvres littéraires, en particulier ceux de la qui alimentent le théâtre antique classique tout en poètes exploiter les types définis par Aristote comme la poésie épique.
Au XVIIIe siècle le mot «littérature» est tout à fait synonyme de «Belles Lettres», c’est-à-dire des œuvres reconnues par les gens de goût, et constituant la culture mondaine de l’époque constitué une meilleure éducation et le monde des salons littéraires et des académies, et à Voltaire: «La littérature se réfère à travers l’Europe une connaissance des œuvres de goût.’Un autre exemple montre que le mot«littérature»avec le sens commun d’aujourd’hui est maintenant bien établi dans le milieu du siècle des Lumières: en 1753, Charles Batteux le titre de son livre«la littérature de cours, ou Principes de la littérature»et réédité en 1764 ne laissant que«Principes de littérature. «La même année, parut«L’école de la littérature»de Laporte Père dont le sous-titre de la deuxième partie est clair:«. Des règles spéciales de chaque type de littérature en prose et en vers ‘
Le mot est encore en évolution lente de 1750 à un sens plus large de «créer la langue écrite’ en laissant un rôle plus important dans les jugements subjectifs libre de l’esthétique restrictive: que serait plus tard la liberté créative du poète romantique, même si ce doit être un maudit poète, la conception et préfiguré dans son Discours préliminaire de l’Encyclopédie de d’Alembert affirmant que les œuvres sont essentiellement ‘de l’invention qui n’a pas que ses lois de génie’. Paul-Louis Courier défini de la même façon dans les années 1820 comme une œuvre littéraire», produit par l’instinct et le sens de la beauté’ Ainsi, le sentiment de l’auteur et pas nécessairement celle de l’établissement.
Le sens moderne
En 1800, le sens moderne est devenu le sens commun du mot «littérature» s’applique à des textes qui ‘ils’ donnent une qualité esthétique qui peuvent être discutées, si le procès d’une institution a appris exprimant le goût commun, mais aussi de l’auteur individuel ou d’un lecteur c’est le travail qui a fait de Mme de Staël dans son livre emblématique ‘Dans la littérature» en 1799.
Le milieu du XIXe siècle, grammairien Bernard Jullien distingue encore «littérature» et «grammaire» pour lui, le point ultime de la «grammaire haut’ depuis les temps anciens que la description des mécanismes du langage pour répondre aux critères de la beauté dans la formalité et le style des textes. Littérature que «la classe et a étudié les oeuvres (style pertinentes)’ va au-delà: il prend en charge l’étude et le questionnement au fond, le contenu des œuvres, telles que des thèmes et des points de vue choisis par les auteurs, qui ne veut évidemment pas d’interférence avec la morale que essais témoignent faite au même moment à Baudelaire et Flaubert pour indécents en 1857. Bientôt la «grammaire» est limitée à la description de la langue, en devenant un outil pour la littérature qui va s’occuper de l’observation et l’appréciation des aspects formels et le contenu des œuvres.On peut noter que la «science» comme le nouveau langage stylistique ou de reprendre dans la seconde moitié du XXe siècle le rôle de la grammaire supérieurs dans l’étude des textes.
Enfin, le domaine de la «littérature» au XXe siècle élargi à tous les travaux écrits, non sans débat sur le canon littéraire: nous discutons à la fois le contenu (station de romans sentimentaux, la pornographie et l’érotisme) que la forme (roman sans ponctuation, le vers libre , l’écriture automatique). Nous utilisons donc des catégories plus raffiné que la fiction historique, science-fiction ou paralittérature littérature sans enlever différends sur les qualifications de certains types d’œuvres littéraires comme le roman de gare, l’histoire d’image ou de la bande dessinée. Il conteste également la notion de genre et de types de textes et de leur hiérarchie que nous avons ré-évaluer les œuvres du passé (exemple récent: Charles Dantzig Dictionnaire égoïste de la littérature française, 2005).
Le sens moderne
En 1800, le sens moderne est devenu le sens commun du mot «littérature» s’applique à des textes qui ‘ils’ donnent une qualité esthétique qui peuvent être discutées, si le procès d’une institution a appris exprimant le goût commun, mais aussi de l’auteur individuel ou d’un lecteurc’est le travail que fait Mme de Staël dans son livre emblématique ‘Dans la littérature» en 1799.
Le milieu du XIXe siècle, grammairien Bernard Jullien distingue encore «littérature» et «grammaire» Pour lui, le point ultime de la «grammaire haut’ depuis les temps anciens que la description des mécanismes du langage pour répondre aux critères de la beauté dans la formalité et le style des textes. Littérature que «la classe et a étudié les oeuvres (style pertinentes)’ va au-delà: il prend en charge l’étude et le questionnement au fond, le contenu des œuvres, telles que les thèmes et les enjeux de vue choisis par les auteurs, qui ne veut évidemment pas d’interférence avec les procédures judiciaires comme en témoignent les faits dans le même temps à Baudelaire et Flaubert, atteinte aux bonnes moeurs en 1857. Bientôt la «grammaire» est limitée à la description de la langue, en devenant un outil pour la littérature qui va s’occuper de l’observation et l’appréciation des aspects formels et le contenu des œuvres. On peut noter que la «science» comme le nouveau langage stylistique ou de reprendre dans la seconde moitié du XXe siècle le rôle de la grammaire supérieurs dans l’étude des textes.
Enfin, le domaine de la «littérature» au XXe siècle élargi à tous les travaux écrits, non sans débat sur le canon littéraire:nous discutons la fois le contenu (station de romans sentimentaux, la pornographie et l’érotisme) que la forme (roman sans ponctuation, le vers libre, l’écriture automatique). Nous utilisons donc des catégories plus raffiné que la fiction historique, science-fiction ou paralittérature littérature sans enlever différends sur les qualifications de certains types d’œuvres littéraires comme le roman de gare, l’histoire d’image ou de la bande dessinée. Il conteste également la notion de genre et de types de textes et de leur hiérarchie que nous avons ré-évaluer les œuvres du passé (exemple récent: Charles Dantzig Dictionnaire égoïste de la littérature française, 2005).
Histoire de la parole
Étymologie latine
Le mot français «littérature» vient d’un mot latin dérivé de la littérature Littera «lettre» au sens de matériel graphique utilisé pour transcrire une langue.
Dictionnaire Gaffiot marque une évolution de la signification du mot latin: c’est d’abord (par exemple, Cicéron, le premier siècle avant JC.) Une série de lettres constituant l’acte d’écrire ou d’un ensemble de lettres de l’alphabet constitué (Tacite), le sens s’est ensuite élargi en l’ premier siècle après JC.AD (par exemple, Quintilien et Sénèque) que dans la grammaire, la philologie, c’est-à-dire, l’étude technique et des textes savants écrits, se terminant par Tertullien au début du troisième siècle, dans le sens de la connaissance, l’érudition dans le texte écrit.
Premiers certificats en français
Selon le TLF, le mot est attesté dans le début du XIIe siè
cle (en 1121) avec le sens latin d’origine de «parole écrite». Le mot «littérature» ne peut pas trouver le sens de la fin des années latin ‘l’apprentissage, les connaissances acquises à travers les livres» à la fin du XVe siècle ‘: le TLF cite l’exemple de J. de Vignay et Philippe de Commynes).
Evolution de la signification au XVIIe – XVIIIe siècles
Selon Philippe Caron, le mot «littérature» conserve le sens général de «connaissances obtenues par les livres’ jusqu’au XVIIe siècle: on dit ‘ont littérature» comme on dit aujourd’hui ‘ont la culture», il couvre tous les domaines de connaissances générales, et en 1699, les mathématiques Fontenelle présenter comme «un genre de littérature.’
Mais dans la seconde moitié du siècle, avec le sens général, le mot s’applique plus à une connaissance limitée, celle des «belles-lettres» liés à la belle langue.Ce changement reflète l’évolution sociale des élites est établi sous Louis XIV, où la notion d’un honnête homme, capable d’une vie raffinée sociale faite de valeur des pratiques culturelles comme la connaissance des œuvres littéraires, en particulier ceux de la qui alimentent le théâtre antique classique tout en poètes exploiter les types définis par Aristote comme la poésie épique.
Au XVIIIe siècle le mot «littérature» est tout à fait synonyme de «Belles Lettres», c’est-à-dire des œuvres reconnues par les gens de goût, et constituant la culture mondaine de l’époque a fait une meilleure éducation et les salons du monde littéraire et des académies, et à Voltaire: «La littérature se réfère à travers l’Europe une connaissance des œuvres de goût.’ Un autre exemple montre que le mot «littérature» avec le sens commun d’aujourd’hui est maintenant bien établi dans le milieu du siècle des Lumières: en 1753, Charles Batteux son titre «littérature de cours, ou Principes de la littérature» livre et réédité en 1764 ne laissant que les «Principes de la littérature». La même année, parut «L’école de la littérature» de Laporte Père dont le sous-titre de la deuxième partie est clair: «. Des règles spéciales de chaque type de littérature en prose et en vers’
Le mot est encore en évolution lente de 1750 à la signification plus large de «créer la langue écrite’ en laissant une place grandissante dans les jugements subjectifs libres de se lier esthétique: ce fut plus tard la liberté créative du poète romantique, même si ce doit être un poète maudit, le design et préfigurée dans son Discours préliminaire de l’Encyclopédie d’Alembert d’affirmant que les œuvres sont principalement ‘de l’invention qui n’a pas que ses lois de génie’. Paul-Louis Courier défini de la même façon dans les années 1820 comme une œuvre littéraire», produit par l’instinct et le sens de la beauté’ Ainsi, le sentiment de l’auteur et pas nécessairement celle de l’établissement.
Sources
Paris, Place de Clichy, 1914. Envoûté par la musique d’un défilé militaire, Ferdinand Bardamu, jeune rebelle, décide l’excès d’héroïsme, de s’engager dans la guerre contre les Allemands. Mais le front, c’est l’enfer et l’absurdité. Il perd rapidement son enthousiasme et découvre avec horreur des horreurs de la guerre. Il ne comprend pas pourquoi il doit prendre sur le Germans.It est également conscient de sa propre lâcheté.
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