Les misérables de victor hugo
Ce roman, l’un des plus populaires de la littérature française, a donné lieu à de nombreuses adaptations au cinéma. Victor Hugo a décrit la vie misérable à Paris et la France provinciale du XIXe siècle et se concentre plus spécifiquement de ne pas forçat Jean Valjean, qui n’est pas sans rappeler du dernier jour du condamné d’une Beggars condamné ou Claude. C’est un roman historique, social et philosophique dans lequel on retrouve les idéaux du romantisme et ceux de Victor Hugo sur la nature humaine. L’auteur lui-même attache une grande importance à ce roman, écrit en Mars 1862, son Lacroix éditeur: ‘Ma conviction est que ce livre sera l’un des principaux sommets, sinon le principal, de mon travail.’
Le roman
Genesis
Préoccupé par le bon équilibre entre justice sociale et la dignité humaine, Victor Hugo a écrit en 1829 Le Dernier Jour d’un Condamné, long monologue et réquisitoire contre la peine de mort. Il a continué en 1834 avec Claude Beggars.In 1845, il a commencé une grande épopée première fois qu’il a appelé la misère, dans lequel le personnage principal se nomme Jean Tréjean. Il interrompt sa tâche en Février 1848, mais dans le même temps écrit son Discours sur la misère (1849).
Pendant son exil, après la rédaction des Contemplations (1856) et la Légende des Siècles (1859), il remonte à la rédaction de Les Misérables, à Guernesey en 1860. Le livre est achevé et publié en 1862 par l’éditeur Lacroix.
Motivation
Les Misérables est à la fois un roman réaliste, un roman épique, un hymne à l’amour et un roman social.
Roman réaliste, Les Misérables décrit un monde de gens humbles. C’est une peinture très précise de la vie en France et le Paris pauvre début du XIXe siècle. Son succès populaire est parfois lié à la charge avec laquelle les personnages sont peints dans le roman.
Roman épique, Les Misérables dépeint au moins trois grandes fresques: la bataille de Waterloo (qui pour l’auteur, la fin de l’époque napoléonienne et le début de l’ère bourgeoise, quand il réalise qu’il est un républicain), les émeutes à Paris en Juin 1832, traversant les égouts de Paris par Jean Valjean. Mais le roman est comme des batailles épiques avec la description de l’âme: les luttes de Jean Valjean entre le bien et le mal, il a été acheté à sa négation, la lutte entre le respect de Javert à la loi et le respect de la loi morale sociale.
Les Misérables est aussi un hymne à l’amour, l’amour chrétien intransigeant évêque Myriel qui, au début du roman, demande sa bénédiction à la G conventionnel (le Père Grégoire sans doute); amour de Fantine et Eponine déçus; paternelle amour de Jean Valjean de Cosette, l’amour partagé de Marius et Cosette. Mais c’est aussi une page de littérature française dédiée à la mère patrie. Au moment où il écrit ce livre, Victor Hugo était en France exile.From aidé par des amis à une vérification si coin existe, transcrit dans la vision du roman des endroits qu’il aimait et en conservant la nostalgie.
Mais la motivation principale de Victor Hugo est le plaidoyer social. «Si la faute regrettable et le mélange infâme (…) Qui est-il?’ Selon Victor Hugo, c’est la faute de la pauvreté, l’indifférence et un système impitoyable répression. Idéaliste, Victor Hugo est convaincu que l’éducation, le soutien et le respect de l’individu sont les seules armes de la société qui peuvent empêcher l’infortuné de devenir infâme. Le roman se penche sur le problème du mal … Il s’avère que tous ses Hugo vie était face à la peine de mort, il vit des exécutions à la guillotine. Un des thèmes du roman est «le crime de la loi.«Si l’œuvre montre comment la contrainte sociale et morale peut conduire les hommes à leur perte si aucune solution n’est trouvée à la reconstruction, il est particulièrement grande dans l’espoir générosité humaine que Jean Valjean est l’archétype. Presque tous les autres personnages incarnent l’exploitation de l’homme par . Le point culminant de l’homme Hugo est un appel à l’humanité de constamment travailler à temps meilleurs:
‘Tant qu’il y aura, du fait des lois et des coutumes, créer artificiellement une damnation sociale, de la civilisation dans le milieu, la pègre, et compliquant un destin inévitable humaine qui est divin, que les trois problèmes du siècle, la dégradation de l’homme par le prolétariat, la déchéance de la femme par la faim, l’atrophie de l’enfant par la nuit, ne seront pas résolus, comme dans certaines régions, l’asphyxie sociale est possible, en d’autres termes, et une perspective plus large encore, tant qu’il y aura sur terre l’ignorance et la misère, des livres sur la nature de celui-ci peut ne pas être inutile. ‘(Victor Hugo, Hauteville House, 1862)
Influences
Robert Laffont et Valentino Bompiani rapport dans Le Nouveau Dictionnaire des oeuvres de tous les temps, la présence dans les Misérables, l’influence de Balzac (La Comédie humaine), d’Eugène Sue (Les Mystères de Paris) et romans-feuilletons.
L’intertextualité de travail de Balzac à celle de Victor Hugo est en effet rapporté par de nombreux analystes. Victor Hugo, se réfère explicitement à plusieurs reprises dans son roman dans le monde de Balzac, qui était un contemporain avec lequel les échanges ont été nombreux. Elle reconnaît en particulier celle de curé de la paroisse du village avec lequel Monseigneur Myriel a des points de common.Just que la relation entre Vautrin et Jean Valjean (le second étant le côté positif de l’autre) est assez évidente, le monde et les coutumes des les condamnés étant décrit dans Splendeurs et misères des courtisanes, l’étude révèle l’intertextualité misérable que le condamné est également informé d’un autre personnage de Balzac, Farrabesche.
Selon Evelyne Pieiller, Les Mystères de Paris, roman à succès publié en série 1842-1843, avec des descriptions des bidonvilles de Paris, ouvre la voie au travail des Misérables de Victor Hugo. Eugène Sue est en effet une première idée des plus démunis, sans manichéisme et l’adresse du peuple. Victor Hugo, il rend hommage dans son roman et se poursuit de la même manière, contre l’injustice sociale.
La relation entre Victor Hugo et le monde du soap opera sont plus contradictoires.Il ne veut pas être publié dans Les Misérables roman-feuilleton, comme cela a été l’utilisation de nombreux romans populaires, car alors il est en conflit avec ceux au pouvoir et condamne la censure de la presse par le government.It nécessite, cependant, que son travaux sont publiés dans un format peu coûteux pour rester accessible. D’autre part, il trouve le style des romans feuilleton souvent pas travaillé.
Enfin, un homme de son temps, écrire une histoire contemporaine, inspirée par les chiffres Victor Hugo de son temps au camp de ses personnages. Les Mémoires de Vidocq, publié en 1828, qui a inspiré Vautrin personnage de Balzac, semble fonctionner en partie dans les deux personnages qui sont antagonistes Jean Valjean et Javert. Le premier est le Vidocq ex-détenu et la seconde Vidocq, chef du siège de la police de sécurité. C’est, du moins, une observation faite par de nombreuses études. Cependant, Victor Hugo ne reconnaîtra jamais l’influence de Vidocq sur la création de ces personnages.
Accueil
Les deux premiers volumes de Les Misérables sont publiés 3 avril 1862 à grand renfort de publicité, des extraits de morceaux choisis dans des journaux et des critiques dithyrambiques. Le résultat apparaît le 15 mai 1862.A cette époque, Victor Hugo est considéré comme l’un des premiers écrivains français de son siècle et les rushes du public à lire son nouveau roman.
Les réactions sont différentes. Certains considèrent cela immoral, d’autres trop sentimental, d’autres trop complaisants avec les révolutionnaires. Les frères Goncourt ont exprimé leur profonde déception, disant que le roman très artificielle et très décevant. Flaubert y est ‘ni vérité ni grandeur.’ Baudelaire fait une des critiques élogieuses dans les journaux mais en privé, l’appeler un «livre immonde et inepte». Lamartine condamne les impuretés de la langue, la démagogie cynique, ‘Les Misérables est un talent sublime, une intention honnête et un livre très dangereux de deux manières: non seulement parce qu’il a trop peur d’heureux, mais parce que c’est trop de l’espoir aux pauvres».
Cependant, le livre devient une grande success.Translated populaires de l’année de sa publication dans plusieurs langues (italien, grec, portugais), il reçoit dans ces pays, de la part des lecteurs, un accueil triomphal.
Utilisation de la langue vernaculaire dans Les Misérables
Selon Pascal Melka, dans Victor Hugo, un combat pour les opprimés. Étude de son développement politique, dans Les Misérables, Victor Hugo était de retour dans la littérature vernaculaire.Il utilise l’argot et est en hausse de consacrer un chapitre à philosopher sur le mot de Cambronne, «peut-être le plus beau mot n’a jamais été prononcé.’ Tout cela était naturellement un scandale dans l’opinion traditionnelle. Voici comment Victor Hugo est justifiée:
‘Quand il s’agit de sonder une plaie, un gouffre ou une société, depuis quand est-ce mal d’aller trop loin, aller au fond? Nous avons toujours pensé qu’il était parfois un acte courageux, et au moins une action simple et utile, digne de l’attention qu’il mérite le devoir accepté et accompli sympathiques. Ne pas tout explorer, ne pas tout étudier, s’arrêter en chemin, pourquoi? ‘
Le roman
Genesis
Préoccupé par le bon équilibre entre justice sociale et la dignité humaine, Victor Hugo a écrit en 1829 Le Dernier Jour d’un Condamné, long monologue et réquisitoire contre la peine de mort. Il a continué en 1834 avec Claude Beggars. En 1845, il a commencé une grande épopée première fois qu’il a appelé la misère, dans lequel le personnage principal se nomme Jean Tréjean. Il interrompt sa tâche en Février 1848, mais dans le même temps écrit son Discours sur la misère (1849).
Pendant son exil, après la rédaction des Contemplations (1856) et la Légende des Siècles (1859), il remonte à la rédaction de Les Misérables, à Guernesey en 1860. Le livre est achevé et publié en 1862 par l’éditeur Lacroix.
Motivation
Les Misérables est à la fois un roman réaliste, un roman épique, un hymne à l’amour et un roman social.
Roman réaliste, Les Misérables décrit un monde de gens humbles. C’est une peinture très précise de la vie en France et les pauvres de Paris au début de succès vingtième century.His populaire est parfois liée à la charge avec laquelle les personnages sont peints dans le roman.
Roman épique, Les Misérables dépeint au moins trois grandes fresques: la bataille de Waterloo (qui représente l’auteur, la fin de l’époque napoléonienne et le début de l’ère bourgeoise, quand il réalise qu’il est républicain), les émeutes à Paris en juin 1832, traversant les égouts de Paris par Jean Valjean. Mais le roman est comme des batailles épiques avec la description de l’âme: les luttes de Jean Valjean entre le bien et le mal, il a été acheté à sa négation, la lutte entre le respect de Javert à la loi et le respect de la loi morale sociale.
Les Misérables est aussi un hymne à l’amour, l’amour chrétien intransigeant évêque Myriel qui, au début du roman, demande sa bénédiction à la G conventionnel (le Père Grégoire sans doute); amour de Fantine et Eponine déçus; paternelle amour de Jean Valjean de Cosette, l’amour partagé de Marius et Cosette. Mais c’est aussi une page de littérature française dédiée à la motherland.By l’époque où il écrit ce livre, Victor Hugo était en exil. De la France a aidé par des amis à une vérification si coin existe, transcrit dans la vision du roman des endroits qu’il aimait et en conservant la nostalgie.
Mais la motivation principale de Victor Hugo est le plaidoyer social. «Si la faute regrettable et le mélange infâme (…) Qui est-il?’ Selon Victor Hugo, c’est la faute de la pauvreté, l’indifférence et un système impitoyable répression. Idéaliste, Victor Hugo est convaincu que l’éducation, le soutien et le respect de l’individu sont les seules armes de la société qui peuvent empêcher l’infortuné de devenir infâme. Le roman se penche sur le problème du mal … Il s’avère que tous ses Hugo vie était face à la peine de mort, il vit des exécutions à la guillotine. Un des thèmes du roman est «le crime de la loi.«Si l’œuvre montre comment la contrainte sociale et morale peut conduire les hommes à leur perte si aucune solution n’est trouvée à la reconstruction, il est particulièrement grande dans l’espoir générosité humaine que Jean Valjean est l’archétype. Presque tous les autres personnages incarnent l’exploitation de l’homme par . Le point culminant de l’homme Hugo est un appel à l’humanité de constamment travailler à temps meilleurs:
‘Tant qu’il y aura, du fait des lois et des coutumes, créer artificiellement une damnation sociale, de la civilisation dans le milieu, la pègre, et compliquant un destin inévitable humaine qui est divin, que les trois problèmes du siècle, la dégradation de l’homme par le prolétariat, la déchéance de la femme par la faim, l’atrophie de l’enfant par la nuit, ne seront pas résolus, comme dans certaines régions, l’asphyxie sociale est possible, en d’autres termes, et une perspective plus large encore, tant qu’il y aura sur terre l’ignorance et la misère, des livres sur la nature de celui-ci peut ne pas être inutile. ‘(Victor Hugo, Hauteville House, 1862)
Influences
Robert Laffont et Valentino Bompiani rapport dans Le Nouveau Dictionnaire des oeuvres de tous les temps, la présence dans les Misérables, l’influence de Balzac (La Comédie humaine), d’Eugène Sue (Les Mystères de Paris) et romans-feuilletons.
L’intertextualité de travail de Balzac à celle de Victor Hugo est en effet rapporté par de nombreux analystes. Victor Hugo, se réfère explicitement à plusieurs reprises dans son roman dans le monde de Balzac, qui était un contemporain avec lequel les échanges ont été nombreux. Elle reconnaît en particulier celle de curé de la paroisse du village avec lequel Monseigneur Myriel a des points de common.Just que la relation entre Vautrin et Jean Valjean (le second étant le côté positif de l’autre) est assez évidente, le monde et les coutumes des les condamnés étant décrit dans Splendeurs et misères des courtisanes, l’étude révèle l’intertextualité misérable que le condamné est également informé d’un autre personnage de Balzac, Farrabesche.
Selon Evelyne Pieiller, Les Mystères de Paris, roman à succès publié en série 1842-1843, avec des descriptions des bidonvilles de Paris, ouvre la voie au travail des Misérables de Victor Hugo. Eugène Sue est en effet une première idée des plus démunis, sans manichéisme et l’adresse du peuple. Victor Hugo, il rend hommage dans son roman et se poursuit de la même manière, contre l’injustice sociale.
La relation entre Victor Hugo et le monde du soap opera sont plus contradictoires.Il ne veut pas être publié dans Les Misérables roman-feuilleton, comme cela a été l’utilisation de nombreux romans populaires, car alors il est en conflit avec ceux au pouvoir et condamne la censure de la presse par le government.It nécessite, cependant, que son travaux sont publiés dans un format peu coûteux pour rester accessible. D’autre part, il trouve le style des romans feuilleton souvent pas travaillé.
Enfin, un homme de son temps, écrire une histoire contemporaine, inspirée par les chiffres Victor Hugo de son temps au camp de ses personnages. Les Mémoires de Vidocq, publié en 1828, qui a inspiré Vautrin personnage de Balzac, semble fonctionner en partie dans les deux personnages qui sont antagonistes Jean Valjean et Javert. Le premier est le Vidocq ex-détenu et la seconde Vidocq, chef du siège de la police de sécurité. C’est, du moins, une observation faite par de nombreuses études. Cependant, Victor Hugo ne reconnaîtra jamais l’influence de Vidocq sur la création de ces personnages.
Accueil
Les deux premiers volumes de Les Misérables sont publiés 3 avril 1862 à grand renfort de publicité, des extraits de morceaux choisis dans des journaux et des critiques dithyrambiques. Le résultat apparaît le 15 mai 1862.A cette époque, Victor Hugo est considéré comme l’un des premiers écrivains français de son siècle et les rushes du public à lire son nouveau roman.
Les réactions sont différentes. Certains considèrent cela immoral, d’autres trop sentimental, d’autres trop complaisants avec les révolutionnaires. Les frères Goncourt ont exprimé leur profonde déception, disant que le roman très artificielle et très décevant. Flaubert y est ‘ni vérité ni grandeur.’ Baudelaire fait une des critiques élogieuses dans les journaux mais en privé, l’appeler un «livre immonde et inepte». Lamartine condamne les impuretés de la langue, la démagogie cynique, ‘Les Misérables est un talent sublime, une intention honnête et un livre très dangereux de deux manières: non seulement parce qu’il a trop peur d’heureux, mais parce que c’est trop de l’espoir aux pauvres».
Cependant, le livre devient une grande success.Translated populaires de l’année de sa publication dans plusieurs langues (italien, grec, portugais), il reçoit dans ces pays, de la part des lecteurs, un accueil triomphal.
Utilisation de la langue vernaculaire dans Les Misérables
Selon Pascal Melka, dans Victor Hugo, un combat pour les opprimés. Étude de son développement politique, dans Les Misérables, Victor Hugo était de retour dans la littérature vernaculaire.Il utilise l’argot et est en hausse de consacrer un chapitre à philosopher sur le mot de Cambronne, «peut-être le plus beau mot n’a jamais été prononcé.’ Tout cela était naturellement un scandale dans l’opinion traditionnelle. Voici comment Victor Hugo est justifiée:
‘Quand il s’agit de sonder une plaie, un gouffre ou une société, depuis quand est-ce mal d’aller trop loin, aller au fond? Nous avons toujours pensé qu’il était parfois un acte courageux, et au moins une action simple et utile, digne de l’attention qu’il mérite le devoir accepté et accompli sympathiques. Ne pas tout explorer, ne pas tout étudier, s’arrêter en chemin, pourquoi? ‘
Résumé
L’action prend place en France en début du XIXe siècle encadrée par les deux grandes batailles ont été la bataille de Waterloo (1815) et les émeutes de Juin 1832. Il s’ensuit, cinq volumes, la vie de Jean Valjean, le retour de la prison jusqu’à sa mort. Tournent autour de lui, certains personnages vont donner leur nom à différents volumes du roman, témoin de la misère de ce siècle, misérables eux-mêmes ou à proximité de la pauvreté: Fantine, Cosette, Marius, mais aussi les Thénardier (dont Éponine et Gavroche) et le représentant de la Javert loi.
Volume I: Fantine
Le livre commence par un portrait d’un évêque, Monseigneur Myriel. Il vit très modestement dans son diocèse de Digne avec sa sœur et Baptistine un serviteur, madame Magloire. La droite religieuse est que juste ce qui est nécessaire pour distribuer le reste de ses économies pour les pauvres. Doté d’un immense amour, il laisse la porte grande ouverte et fraterniser avec ceux que la société rejette.
Ce dernier est présenté comme un homme ne pouvait échapper à un destin tragique: poussés par la faim, il est forcé de voler du pain pour nourrir sa famille. Initialement condamné à cinq ans de prison, il voit sa peine prolongée à chacune de ses tentatives d’évasion. Après dix-neuf ans, mais il recouvre la liberté du passé condamné, matérialisée par un passeport jaune qui doit être reconnue à la mairie de chaque ville qu’il traverse le Chase. Rejeté par tous, il doit son salut à répondre à Monseigneur Myriel qui lui offre la nourriture et de repos jusqu’à ce qu’il cherchait en vain. Mais Jean Valjean déchiré par son passé sous l’emprise d’un sentiment de haine et d’injustice et de ne pas conscient de ses actes, de voler l’argenterie de l’évêque. S’échapper par la fenêtre, il est repris par la police et renvoyés de force chez Monseigneur Myriel. Avant la police religieuse d’épargne Jean Valjean en lui faisant croire qu’il lui a offert son assiette.
Transformé dans les Alpes, Jean Valjean réapparaît à l’autre bout de la France, sous le nom de M. Madeleine. Il s’agit d’un rachat complet. M. Madeleine, enrichi honnêtement, est devenu le bienfaiteur et le maire de Montreuil-sur-Mer.
Symétriquement à la montée de Jean Valjean, sa rédemption pourrait dire, nous assistons à la chute de Fantine, la fille-mère à nourrir sa fille unique, Cosette, expire en décadence, jusqu’à ce que la prostitution et la mort.
Peut-on croire Valjean Madeleine sauvé, restauré à la société? Victor Hugo ne le veut pas. Pour lui, l’honnêteté ne peut souffrir la compromission. En vertu d’une longue nuit d’hésitation (tempête dans un crâne), M. Madeleine se donnera en place pour éviter un pauvre, un peu simple d’esprit, Champmathieu, d’être condamné à sa place. Tous les avantages aurait été en mesure d’apporter M. Madeleine ne pouvait pas compenser, selon Victor Hugo, l’injustice ne fait pour Champmathieu. Jean Valjean s’échappe de la justice, cependant, est retourné dans la clandestinité pour répondre à une dernière promesse: pour sauver le malheureux résident actuellement Cosette Thénardier.
Volume II: Cosette
Dans ce livre, deux livres cadre de l’action, l’un est consacré à la bataille de Waterloo et l’autre à la vie monastique.
Victor Hugo avec traite le deuxième volume de Les Misérables par la bataille de Waterloo a eu lieu sept ans plus tôt. Le lien vers l’intrigue est ténue: Les Thénardier aurait sauvé le père de Marius à la fin de cette bataille. Sous cette lumière sous prétexte dramatique, place Victor Hugo est une réflexion proche de son cœur sur la bataille de Waterloo, une bataille qui a vu la chute d’un personnage qu’il admire Napoléon 1er. Pendant longtemps, Victor Hugo est hanté par cette bataille. Ce sera d’inspirer l’expiation du poème du livre V de la punition. Il a refusé à plusieurs reprises de visiter le site et seulement en 1861, il a visité le champ de bataille et c’est là qu’il a terminé cette épopée.
La parenthèse (avant-dernier livre) qui est de penser à la vie, la foi et la prière monastique, d’être surprenant dans un Hugo Victor révolutionnaires, est aussi une profession de foi. Réquisitoire violent contre le carcan Eglise, elle est aussi une apologie de la méditation et la vraie foi. «Nous sommes pour la religion contre la religion.’ Disait Victor Hugo.
Le reste de ce volume est consacré à la chasse pour Jean Valjean. Victor Hugo, mis dans cette histoire toutes ses qualités en tant que romancier au service d’un thriller dramatique prenant, brisant le rythme, changement d’orientation.Un mélange de période calme (avec Cosette à Montfermeil et à la maison Gorbeau) et a continué haletant.
Javert delà de la fin du tome I, Jean Valjean est rattrapé à Paris mais a eu le temps de mettre de côté une somme d’argent importante. Envoyés aux galères, il s’échappe, revient à retrouver Cosette et s’installe à Paris dans le Gorbeau. Javert se trouve et se poursuit à travers les rues de Paris la nuit. Jean Valjean trouve son salut dans le couvent de Picpus petits sous la protection de M. Fauchelevent, un soldat, il avait sauvé la vie de Montreuil sur Mer, après un épisode dramatique de l’enterrement de faux, Jean Valjean déplacé au couvent avec Cosette sous le nom Fauchelevent Ultimate. Victor Hugo, Jean Valjean a une baisse de sublimes n’a pas perdu les qualités morales qu’il possédait comme M. Madeleine: permet de sauver un marin de la noyade, il s’échappe du bagne, c’est à cause de sa générosité, il a été repéré par Javert. Cependant, il peut accuser de Victor Hugo cordes dramatiques un peu plus grand: l’intersection de-le champ de bataille de Thénardier et père de Marius ou la rencontre miraculeuse et opportune de Jean Valjean et père Fauchelevent.
Volume III: Marius
L’action se déroule entre 1830 et 1832. Le père Fauchelevent est mort. Cosette avait quitté le couvent à l’âge de 15 ans.Le volume s’ouvre et se referme sur le personnage de Gavroche. Victor Hugo a commencé une longue digression sur le gamin de Paris, l’âme de la ville dont la figure est Gavroche Thénardier fils de l’homme mais aussi dans les rues.
Victor Hugo, axe tandis que le second volume sur la personne de Marius qu’il reconnaît jeunes. Il a même avoué avoir écrit avec Marius ses quasi-memories.We découvrir Marius, petit-fils d’un royaliste, le fils d’un bonapartiste, qui choisit son camp à 17 ans, laissé les amis de son grand-père et fréquente le groupe ABC révolutionnaire idéaliste, et la misère côtoie.
Son destin croise celui dont il tombe amoureux de Cosette. On peut noter à cet égard la tendresse de Victor Hugo décrit avec humour et dérision ses premiers émois de l’amour. Ignorant toute vraisemblance dramatique de Victor Hugo provoque le pseudonyme de Jean Valjean rencontre Madeleine – Fauchelevent – Leblanc – Fabre avec alias Jondrette Thénardier – Fabantou – Genflot en face de Marius témoin invisible de la confrontation, dans le même Gorbeau rencontré dans le tome II. Beautiful face à face avec les noms des deux personnages qui se cachent beaucoup de justice, mais dont l’un est descendu à la profondeur de l’infamie, tandis que l’autre accède à la noblesse morale.Tous à la fin du livre est digne des mystères de Paris avec un gang de voleurs et de meurtriers, d’embuscade en otage des victimes et l’action de la police menaçait et l’apparence de Javert.Marius découvre que le sauveur de son père est un gangster infâme et le père de celle qu’il aime se cache de la police.
Volume IV: Le roman et l’épopée rue panache de la rue Saint-Denis
Toute action de ce volume est soutenue par l’émeute de Juin 1832 et la barricade de la rue Saint-Denis. Victor Hugo, croit qu’il est encore quelque peu le cœur du roman. Le premier livre des lieux des événements dans le contexte historique de la situation insurrectionnelle à Paris en 1832 au début.
Puis en parallèle plusieurs vies qui vont converger dans les rues de Chanvrerie. Victor Hugo a dit le premier personnage d’Éponine, Marius amour déçu, ange du bonheur quand elle dit Marius à Cosette ou l’adresse de la maison quand elle défend ce dernier contre l’attaque de Thénardier et sa bande, ange du mal quand elle envoie Marius la barricade et elle cache la Cosette lettre. Éponine martyr de l’amour quand elle intercepte la balle destinée à Marius et elle meurt dans ses bras.
L’auteur a alors relancé la carrière de Jean Valjean et Cosette depuis leur entrée dans le couvent de la Petit-Picpus. Nous assistons à l’émergence de Cosette. A la pointe de la prieure du couvent, «Il va être laid,» répondit l’observation de la dame de la Toussaint est jolie. ‘Avec les informations d’Éponine, l’idylle entre Cosette et Marius peut reprendre rue panache engagée par une lettre d’amour (un cœur sous un rocher) et se poursuit jusqu’au départ anticipé de Jean Valjean et Cosette dans les rues de« Homme-Armé.
Victor Hugo termine ensuite le personnage de Gavroche, gamin des rues, spontané et généreux, capable d’actes gratuits (la bourse volée et donné à Montparnasse Mabeuf, en aidant à l’évasion de son père). Nous avons aussi découvert que son père et responsable quand il s’accumule dans l’éléphant de la Bastille, les deux garçons perdus, il ignore qu’il est le frère.
Tous les protagonistes de l’histoire, ou presque, convergent alors vers la rue de la Chanvrerie et la barricade de la rue Saint-Denis: des amis de l’ABC conviction révolutionnaire Mabeuf Marius et de désespoir, d’amour Éponine, Gavroche curiosité, Javert pour espionner et Jean Valjean pour sauver Marius.
Volume V, Jean Valjean
La cinquième partie est celle de la mort et l’oblitération. Décédé sur les barricades des insurgés qui ont débuté à la fin du volume précédent par celui de Eponine et M. Mabeuf, et continue avec celle de Gavroche suivie par l’annihilation de la barricade. Jean Valjean est comme un ange gardien: ses coups ne tuent pas les gens, il a l’intention d’exécuter Javert, mais lui permet d’échapper et sauver Marius au dernier moment de la barricade.
Le sauvetage épique se produit dans les égouts de Paris (l’intestin du Léviathan) que Victor Hugo décrit dans l’abondance. Échapper à des poursuites et de l’impasse, Jean Valjean dans les égouts des Thénardier, mais pour tomber dans le filet de Javert. Marius, sauvé, sera étendu à son grand-père.
Puis nous sommes témoins du suicide de Javert et Jean Valjean, Jean Valjean erasing.Javert effet pause quand il était au volant, en reconnaissance du fait que Jean Valjean avait sauvée lors de l’attaque de la barricade, mais en faisant cela Javert ne supporte pas d’avoir manqué à ses devoir de la police peu scrupuleux, qui impose le devoir de ne pas libérer un suspect pour des raisons personnelles, dont il ne reste.Incapable de supporter cette déréliction tombe du devoir, et ont remis en question le principe qui est supérieur à lui dans l’obéissance à la hiérarchie, il a décidé de mettre fin à sa vie en sautant dans la Seine (chapitre Javert déraillé – Comme une avant-gardiste pour son époque) .
La romance entre Cosette et Marius prend la forme d’un mariage. Jean Valjean s’estompe progressivement la vie du couple, encouragé par Marius voit en lui un voleur et un meurtrier. Marius est détrompé par Thénardier dans les dernières lignes du roman et assiste avec Cosette, confus et reconnaissant envers les derniers moments de Jean Valjean.
Les caractères
Le roman est plein de personnages. Beaucoup d’entre eux font une brève apparition et le retour à l’oubli. C’est une volonté délibérée de Victor Hugo: Il cherche à démontrer que la pauvreté est anonyme. Cette omission est particulièrement pertinente dans le cas de la sœur de Jean Valjean et ses sept enfants:
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